• L'église de Manom, jeudi 14 janvier 2010. (Serge Philippi, curé de Thionville et de Manom) (Albert Fagioli)

    " C'est le jeudi 14 janvier 2010 que monsieur Fagioli c'est fait ouvrir les portes de l'église de Manom. Il avait fait la demande auprès de monsieur le maire (Jean Klop) et le curé de la paroisse (Serge Philippi). Il voulait vérifier s'il y avait bien une crypte sous le choeur de l'église et en localiser l'emplacement précis et les dimensions. De nombreuses personnes étaient présentes lors de sa visite. Il est venu avec un étrange outil en fer pour certains et pour d'autre le nom exact est "un dowser".

    Il a effectué plusieurs passages au niveau du choeur et ressenti la présence d'une crypte d'environ 5m par 7m. Elle fait quasiment tout le choeur.

    Il a également retrouvé la trace d'un souterrain du côté gauche de l'église qui passe sous celle-ci, puis devant la cour du presbytère en direction...

    Ses recherches se sont arrêté là."

    Les personnes présentes :

    1° adjoint au maire de Manom, Mr Claude Imbert.

    Mr le curé de Thionville et de Manom, Serge Philippi.

    Mr le président du Conseil de Fabrique et propriétaire du Château de La Grange, le comte Marie-François de Selancy.

    Mr Jean-Claude Strunck, habitant de Manom depuis plusieurs générations.

    Mme Bernadette Breistroff, habitante de Manom.

    Mr Edouard Bâle, habitant de Manom, secrétaire de la paroisse de Manom.

    Mr Vincent Trimbour, journaliste du Républicain Lorrain.

    Mr Julio Pelaez, photographe du Républicain Lorrain.

     

    Voir les photos : http://www.kizoa.fr/diaporama/d685103k6538941o1/eglisemanom 

     

    La crypte  à l'époque a du recevoir environ une douzaine de cercueils ou sarcophages. Les archives disent que les sept premiers ont été brisés par les troupes révolutionnaires. Vous imaginez l'emplacement pour mettre au moins sept cercueils... Sans les empiler...

     


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  • Histoire des Seigneurs et de la Seigneurie de La Grange, tome second, 1899. (Jean-Charles Kohn, chanoine) (Archives Départementales de la Moselle)

    " Il s'agit de deux grands tomes sur les Seigneurs et la Seigneurie de La Grange. Dans le premier tome on retrouve les arbres généalogiques des Seigneurs ;

    - Descendance de Philippe du Chêne et de Soleuvre.

    - Famille de Brandenbourg.

    - Famille d'Argenteau.

    - Famille de Foucquet.

    - Famille de Klinglin.

    - Famille de Berthier. (2 tables)

    I : Etymologie et ancienne forme du nom de la Seigneurie.

    II : Les premiers Seigneurs de La Garange. (1° Guillaume de La Grange, 2° Frédéric de La Grange, 3° Waleran de La Grange)

    III : Famille de Soleuvre.

    IV : Louis de Chinery. 

    V : Famille de Brandenbourg.

    VI : Famille d'Argenteau.

    VII : Florimond-Claude, comte de Mercy.

    VIII : Famille Gomé.

    IX : Famille de Foucquet.

    X : Branche des Foucquet de la Bouchefolière.

    XI : Famille de Berthier.

    On retrouve également de nombreuses pièces justificatives et testaments des Seigneurs...

     

    Dans le second tome  on retrouve :

    I : Situation politique de La Grange, topographie, population.

    II : Forteresse et Château.

    III : La Féodalité.

    IV : Les droits du Seigneur.

    V : La dîme.

    VI : La justice.

    VII : Institution d'Etat dans le Luxembourg se rattachant à la justice.

    VIII : Anciennes monnaies et mesures.

    IX : Biens Seigneuriaux.

    X : Le terrage à Garsch et Manom.

    XI : La religion et le clergé. L'inquisition. Sépultures.

    XII : Valeur des choses. Dépenses. Vie et moeurs.

     

     


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    Histoire des Seigneurs et de la Seigneurie de La Grange, tome second, 1899. (Page 247) (Jean-Charles  Kohn, chanoine) (Archives Départementales de la Moselle)

    " ... Aussi ces seigneurs tenaient-ils à être enterrés dans l'église paroissiale, ce qui pourrait cependant étonner à première vue, parce que La Grange possédait une chapelle Castrale. C'est sous l'entrée du choeur de l'église paroissiale de Manom que se trouvait anciennement le caveau des seigneurs de La Grange. On y pouvait y remarquer les  tombeaux des deux anciens seigneurs, probablement de la famille de Brandenbourg et notamment de Pierre-Ernest de Brandenbourg qui fit une fondation au profit de la dite église.

    Ensuite on y trouvait les tombeaux de François-Brice Gomé des Hazard, secrétaire du Roi, seigneur de La Grange, décédé en 1725 ;

    De la dame Françoise Orry, épouse du précédent, décédée en 1742 ;

    De René-François de Foucquet, lieutenant-général des armées du Roi et des Trois-Evéchés (Metz, Toul et Verdun), mort en 1784, à l'âge de 84 ans ;"


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  • Histoire des Seigneur et de la Seigneurie de La Grange, tome second, 1899. (Page 248) (Jean-Charles Kohn, chanoine) (Archives départementales de la Moselle)

    " Celui de la dame Georges de Lesseville, son épouse, morte en 1762, à l'âge de 29 ans ; Deux enfants de René-François de Foucquet et de son épouse de Lesseville y repose également ;

    Celui de René-Louis de Berthier, décédé le 8 janvier 1811, à l'âge de 10 mois.

    Deux autres tombeaux renferment les cendres de Renée-Louise de Foucquet, vicomtesse de Berthier, décédée le 12 juin 1845, à l'âge de 68 ans et d'Anne-Pierre de Berthier, décédé le 10 septembre 1848, à l'âge de 78 ans.

    Les sept premiers cercueils avaient été brisés par les troupes révolutionnaires et leurs inscriptions misent en morceaux. Depuis ces cercueils ont été remplacés par des sarcophages en pierre ; Les reste mortels de chaque individu on été reconnus et ensevelis par deux docteurs en médecine. Les inscriptions rétablies et le caveau ainsi restauré, la bénédiction éclésiastique fut donné après un service solennel, le 20 juillet 1843.

    La litre funéraire, avec les armes du comte de Foucquet, était encore visible en 1848 ; Elle a été badigeonnée depuis. En 1845 le caveau a été fermé du côté du choeur et une ouverture  extérieure a été pratiquée, mais masquée par une chapelle gothique.

    Depuis la reconstruction de l'église de Manom, le caveau de la famille de Berthier de Sauvigny a été transféré dans un cimetière voisin de celui de la commune."

     


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  • Le Répulicain Lorrain, mercredi 3 février 2010, page2, éditions Thionville/Hayange. (Da Vinci Code à Manom) (Photo Julio Pelaez) (Vincent Trimbour)

    " Esotérisme"

    " Da Vinci Code à Manom "

    " Albert Fagioli utilise un curieux outil en fer pour trouver des cryptes que personne ne connaît. Ainsi qu'un don, assure-t-il. En l'église de Manom , l'étrange chercheur de trésors est venu poursuivre son rêve :

    Trouver le trésor du duc d'Enghien."

    " Ou on se prend au jeu, et on plonge dans les dédales de ses recherches, ou on se dit que ça n'est pas très, très sérieux, tout cà. Qu'importe la perception de la passion d'Albert Fagioli, cet habitant de Charly-Oradour consacre tout son temps libre à la quête de trésors d'un temps passé. Il dort, mange, respire du labyrinthe de galeries, du manuscrit caché, du mystère dérobé..."

    " Albert Fagioli s'est fait ouvrir les portes de l'église de Manom, suivi du curé, de membres du Conseil de Fabrique, du premier adjoint de la ville et du comte de Selancy. "" Je sens une crypte !""

    Le passionné d'énigmes avait demandé cette autorisation afin de venir prouver l'existence d'une crypte et surtout de la localiser..."

    " Après quelques déambulations dans le choeur, Albert Fagioli a fini parannoncer: "7m sur 5m, trois de profondeur"..."

    " Une détermination que n'aurait pas reniée Dan Brown."

    " L'auteur de livres reconnus par ses pairs, Albert Fagioli a également un blog où il expose toutes ses recherches : http://albert-fagioli.blogg.org "


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  • Le Républicain Lorrain, mercredi 3 févrie 2010, page1, éditions de Thionville/Hayange. (Manom un secret sous la nef) (Photo Julio Pelaez) (Vincent Trimbour)

    " Manom un secret sous la nef "

    " On y croist on y croit pas. Albert Fagioli, lui, ne jure que par son don et son dowser, qui lui permettront de retrouver des cryptes cachées et, in fine, le trésor du duc d'Enghien.

    Manuscrits, instinct et histoire ont guidé ses pas vers l'église de Manom. Où il est venu révéler l'existence de cavités et sous-terrains inconnus. Du moins est-ce ce qu'il assure..."

     

    ***Monsieur Fagioli tient à donner quelques rectifications suite à cet article paru dans le Républicain Lorrain. Certes,  il n’est pas très facile d’expliquer 15 années de travail en seulement une quinzaine de minutes. Et il n’est pas facile, non plus, d’expliquer le maniement d’un dowser pour des personnes qui sont novices en la matière ou néophytes. De plus le journaliste n’a  pas pu  lire l’ouvrage sur le duc d’Enghien, et encore moins eut le temps d’aller dans les méandres du  blog de Mr Fagioli. Il doit faire un article assez rapidement avec ce qu’il a entendu et noté sans mélanger les résultats des recherches de celui-ci  (certains pourraient en perdre leur latin). De Marthille à Rennes-le-Château, de l’église de Rennes-le-Château à l’église de Manom…

    Prochainement sur ce blog il y aura une présentation d’un « Dowser », surtout pour les néophytes qui ne connaissent pas cet outil. (« Dowser », mot anglais qui veut dire «  Sourcier ») ***

    Rectification à cet article.

    Monsieur Fagioli n’a jamais dit qu’à Manom il y avait un trésor cité  dans le testament du duc d’Enghien. Manom est   l’un des fiefs de la famille de Fouquet. Et le seul lien avec l’église de Rennes-le-Château, c’est qu’elle possède également une crypte qui se trouve sous le chœur.

    Il avait demandé l’autorisation de venir vérifier sur place la présence d’une crypte au niveau du chœur de l’église. On peut dire que  c’est  le hasard qui a voulu qu’il vienne à Manom pour effectuer cette démonstration devant quelques habitants. C’est également le hasard qui a voulut qu’il y ait sous le chœur de l’église de Manom, une crypte, car il va prochainement déposé un dossier de fouille internationale auprès des instances de la DRAC de Montpelier pour des sondages dans l’église de Rennes-le-Château pour découvrir les deux cryptes qui se trouvent sous l’église (l’une sous la nef et l’autre sous le chœur), puis il préparera un autre dossier pour la DRAC de Metz concernant un autre site en Lorraine.

    Pour Mr Fagioli c’était un moyen de présenter au public l’un des dons qu’il possède concernant la recherche de cavités cachées. Il a bien eu la confirmation de celle-ci, ainsi que sa dimension. Et il a également retrouvé la présence d’un souterrain qui démarre du côté gauche de l’église, qui passe en dessous de celle-ci, puis devant la cour du presbytère en direction…

    Ce souterrain ne communique pas avec la crypte qui se trouve sous le chœur.

    Ses recherches se sont arrêtées là.

    Les archives de Manom parlent bien d’une crypte sous le chœur :
    Voir encore une fois sur le site de la paroisse de Manom :

    http://saintefamille.over-blog.org/pages/Historique_Eglise_Notre_Dame_de_Manom-324033.html

    Prochainement il y aura également des passages du livre du chanoine Jean Charles Kohn, les deux tomes sur « l’Histoire des seigneurs et de la seigneurie de La Grange », Luxembourg, P. Worré-Mertens, 1899. (Qui font mention de la crypte de Manom)

    Qui y a-t-il aujourd’hui ou que reste-t-il dans cette crypte, qui a été murée il y a environ 150 ans ?

    Quel serait l’intérêt de réouvrir celle-ci ? Peut-être pour le patrimoine de la ville de Manom !

    Y’a-t-il encore des anciens cercueils qui furent remplacé par des sarcophages en pierre par la suite?

    Y’a-t-il que les restes de l’ancien cimetière qui était autour de l’église ?  (Les ossements)

    Car d’après certains historiens et l’ancien maire de Manom, d’avant guerre, (Mr Captien), tous les sarcophages ont été déplacés vers le nouveau cimetière qui se trouve un peu plus loin, lors des travaux dans l’église et l’inauguration de celui-ci, depuis 150 ans. Voir le petit livret d’environ 90 pages sur l’Histoire de Manom, réalisé par Mr Captien, dont une page est consacrée à la crypte de l’église.

     D’après lui, tous les seigneurs reposeraient maintenant dans la grande chapelle de la famille des Fouquet , puis des Berthier de Sauvigny et maintenant des Selancy. (Voir les plaques)

     

    Sera-t-on un jour que reste-t-il dans cette crypte ?

     


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