• C'est la très romantique histoire d'amour entre le duc d'Enghien et Charlotte de Rohan qui a incité Albert Fagioli à aller à la découverte de cette extraordinaire histoire dont le testament et le fabuleux trésor de Marthille constituent le prolongement spectaculaire. Les étonnantes révélations d'Albert Fagioli constituent un ultime rebondissement qui permettra enfin de résoudre l'énigme de Marthille.
    Pendant les années 1920, le trésor de Marthille a marqué les esprits et tenu en haleine les lecteurs des quotidiens. Pourtant, en dépit des efforts, les fouilles n'ont jamais rien donné et l'affaire a fini par sombrer dans l'oubli. L'origine du fameux trésor n'avait pas davantage pu être identifiée. Grâce au travail patient d'Albert Fagioli, l'énigme trouve à présent une issue surprenante : Marthille était l'une des cachettes où les puissants Condé ont abandonné leurs biens lorsqu'ils ont été contraints de quitter la France en 1789. L'héritier des Condé n'était autre que le duc d'Enghien exilé à Ettenheim dans le pays de Bade...

    C'est une histoire riche en rebondissements et en surprises que dévoile Albert Fagioli. Grâce à lui, l'énigme de Marthille prend une autre tournure et s'inscrit pleinement dans l'histoire de France.

    À qui le duc d'Enghien légua-t-il son immense fortune ?
    A-t-il réellement caché son fabuleux trésor de famille ?
    Pourquoi ne sait-on rien sur son testament occulte ?
    Où a-t-il refait surface ?
    En a-t-il écrit un second ?
    Qui l'a eu entre les mains ?
    Le duc d'Enghien a-t-il était marié clandestinement à Charlotte de Rohan-Rochefort, celle qui l'aimait ?
    Est-il passé en France après son émigration ?
    Le duc d'Enghien a-t-il eut une descendance ?
    Pourquoi le duc d'Enghien rédigea-t-il un testament en 1802 ?
    Pourquoi le duc d'Enghien avait-il sur lui en arrivant à Vincennes, un Almanach Royal et une canne de type bambou ?
    Le cardinal de Rohan-Guémené a-t-il transmit avant de mourir un secret d'église concernant la cache d'un fabuleux trésor ?
    Pourquoi le testament original n'a jamais été restitué à la famille du duc d'Enghien ?
    Pourquoi la lettre d'Adieux à Charlotte de Rohan-Rochefort, contenant une mèche de cheveux et son alliance n'ont jamais été restituées ?

    Cet essai, fruit de près de dix années de recherches, lève le voile sur le formidable secret que le duc d'Enghien a emporté avec lui lors de son exécution dans les fossés du Château de Vincennes le 21 mars 1804. Aujourd'hui, l'énigme est enfin résolue. Sa clé se trouve à Marthille, petit village de cent cinquante habitants situé non loin de Morhange, à une cinquantaine de kilomètres de Metz. À partir de 1925, la presse régionale se fit largement l'écho de l'extraordinaire découverte d'un certain Masculier jeune homme discret qui trouva par hasard un testament de quatre pages inséré dans la couverture d'un livre de messe. Le testateur y révisait ses dernières volontés, peu de temps avant d'être fusillé. Ce document devait permettre la récupération d'un immense trésor réparti en trois caches. Mais malgré d'importantes et longues recherches, rien ne fut jamais découvert.


    Pourquoi ? L'actuelle révélation du mystère du testament caché du duc d'Enghien répond à cette question et à bien d'autres.

    Ce livre élucide l'une des plus grandes énigmes trésorières du XXe siècle. En 1927, Marthille, petit village mosellan situé à une cinquantaine de kilomètres de Metz, défraya la chronique par la découverte fabuleuse d'un certain Gaston Masculier. C'est en 1925 que ce jeune homme discret remarqua par hasard, dans l'épaisseur d'un livre de messe, un testament de quatre pages, dont la dernière était écrite en lettres de sang. L'auteur y exprimait ses dernières volontés dans l'urgence, peu de temps avant son exécution. Masculier affirma que le mystérieux prisonnier se nommait Savary. Il ne montra le manuscrit à personne, sinon à un ami de confiance, avec lequel il signa un contrat de confidentialité, en août 1925. Il déclara ensuite à la presse qu'ils avaient recopié puis détruit l'original. Mais les deux amis avaient eu beaucoup de mal à le décrypter, car de nombreuses lettres situées dans les pliures du parchemin étaient illisibles, certaines parties n'étaient pas rédigées et dans ces blancs se trouvaient des chiffres. Le testament était manifestement codé. (CODES des Condé).
     
    Cet essai répond à toutes les questions restées sans réponse à l'époque et lève le voile sur la véritable identité du testateur. Il est le fruit de plus de dix années de recherches, qui m'ont permis de révéler des documents dormant dans des boîtes à bijoux depuis plus de quatre-vingts ans. 
     
    Il livre les clés de l'énigme et rend à l'histoire le nom du véritable testamentaire. (Le duc d'Enghien) .
    Il s'agit en effet de la révision du testament du duc d'Enghien, fils du duc de Bourbon, petit-fils du prince de Condé, dont il commença la rédaction dans la prison de Strasbourg. Il la termina tant bien que mal dans celle de Vincennes, avec la seule encre et plume à sa disposition, à savoir son propre sang et un morceau de bois. Enghien lui donna la même date que son premier testament, rédigé en 1802 et confisqué par les agents de Bonaparte lors de son arrestation. Il y léguait toute sa fortune à sa femme et à sa fille. Il stipula notamment qu'au cas où ceux-ci viendraient à disparaître, il cédait tout à l'église, ce qui incita Masculier à détruire l'original. (C'est ce qui fut dit à la presse de l'époque).
     
    Il est émouvant, deux cents ans après cette triste page de l'Histoire de France, d'évoquer cette arrestation illégale en territoire étranger commanditée par le Premier Consul. Celui-ci ordonna en effet la capture d'un prince du sang dans un pays neutre. Le général Ordener fut désigné comme exécuteur des basses oeuvres. Bonaparte réunit à la hâte un tribunal militaire pour juger et condamner le malheureux prince. Un certain général Savary fut nommé pour superviser et faire appliquer un verdict sans surprise, la mort par fusillade, et c'est ce qu'il fit, à la lettre et avec un zèle déplacé... On comprend pourquoi le nom de ce Savary fut cité dans les dernières lignes du testament : le duc y dénonça ainsi son bourreau, le chef de la police chargé de l'exécuter. 
     
    On commémora le bicentenaire de sa mort le 21 mars 2004, jour de la Sainte Clémence, clémence dont a tristement manqué le jeune prince en ce matin de mars 1804... 
    Ce livre révélera également une descendance secrète entre Charlotte de Rohan Rochefort et le duc d'Enghien, (petit-fils du prince de Condé, fils du duc de Bourbon).« descendance féminine ».


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