• La One The Line de mon employeur, revue trimestrielle interne au groupe Crown. Automne 2006 (Par Eric Delon)

    " Un historien passionné par les trésors cachés à Custines "

    " Mécanicien régleur depuis un an et demi sur le site, Albert Fagioli a un vice caché : L'histoire des trésors cachés "

    " Page 8 "


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  • L'Est Magazine du dimanche 26 février 2006, de l'Est Républicain. (Par François Moulin)

    " Ruée vers l'or, au bois des Seigneurs "

    " Dans les années 1920, une troupe de chercheurs lorrains tenta de déterrer le trésor de Marthille constitué de lingots, de pièces et de diamants. "

    " La rocambolesque affaire du trésor de Marthille débute en 1925 par la découverte d'un parchemin. Un certain Gaston Masculier, fils d'un commerçant de Metz, s'apprête à détruire un vieux missel acheté par son père dans une brocante. Mais soudain, de la doublure du livre, s'échappe un document. Intrigué, le jeune homme déplie délicatement les quatre pages manuscrites accompagnées d'un plan. La fin du texte a été écrit avec un liquide rouge..."

    " Faute de moyens suffisants, Masculier et son ami renoncent à effectuer seuls des recherches. Ils décident de révéler l'affaire à des hommes disposant d'assez d'argent pour entreprendre des travaux de grande ampleur. Ils s'adressent à des notables de Pont-à-Mousson qui pourraient se charger de l'opération. Ainsi, dans un café de la Place Duroc, courant 1926, se réunissent comme des comploteurs, Adrien Fidel, ancien notaire, maire de la ville de 1919 à 1923, et les dénommés Auguste Romier et Vernon, un industriel et un commerçant. Deux autres rentiers mussipontains s'associent à l'opération baptisée du nom de code " Marguerite" pour ne pas attirer l'attention d'autres chercheurs..."

    " Plusieurs dizaines de milliers de francs de l'époque vont être engloutis dans des fouilles titanesques : en dix huit mois, le Bois des Seigneurs est balafré de rigoles et de tranchées sur plus de 600 mètres de long pour évacuer les eaux de l'étang puis, des dizaines de bénévoles attirés par une " petite récompense " s'y ruent pour creuser et arracher au sol le magot tant convoité..."

    " L'Est-Républicain consacra en 1927, une série d'articles au groupe de chercheurs d'or originaire de Pont-à-Mousson."

    " Page 12 ".


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  • L'Est Magazine du dimanche 26 février 2006, de l'Est Républicain. (Par François Moulin)

    " Ruée vers l'or, au bois des Seigneurs " 

    " Château et abbaye "
    " L'historien de la Lorraine, Dom Calmet, évoque dans sa fameuse " Notice ", parue en 1757, les villages de Destry et de Marthille..."

    " Un testament du duc d'Enghien ? "

    " Qui était l'auteur du testament dit de "Marthille" retrouvé à Metz ? Et pourquoi aurait-il caché son trésor en Lorraine ? Plusieurs pistes ont été examinées depuis trois quarts de siècles..."

    " Arrêté et conduit en forteresse, il aurait pu rédiger ce testament et l'insérer dans son livre de messe..."

    " L'hypothèse la plus récente est défendue par un Mosellan, Albert Fagioli : Selon lui, ce trésor appartiendrait à la famille de Condé, et précisément au duc d'Enghien. Ce passionné - qui affirme avoir eu connaissance du document original retrouvé dans le missel - estime que la mention (B. d. ML) qui figure sur le document doit-être lue de "Droite à gauche" et signifie Louis-Antoine-Henri de Bourbon (Le A et le H se mêlant pour former un M), soit le nom complet du duc d'Enghien..."

    " Quand à l'allusion à Savary, selon les tenants de "l'hypothèse du duc d'Enghien", elle permettait au prince fusillé de désigner son bourreau, le chef de la police qui fut chargé de l'exécuter."

    " Page 13 ".


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  • Mon troisième article concernant mes recherches sur l'histoire du trésor de Marthille et de ce fabuleux testament de quatre pages.

    Le Républicain-Lorrain du dimanche 27 mars 2004, dans le 7EBDO. (Par Stéphane Malnory)

    "  Un fabuleux testament. "

    " Le testament qui a poussé des Lorrains à chercher un trésor à Marthille appartiendrait à Louis Antoine Henri de Bourbon, duc d'Enghien. Selon les estimations, le magot est estimé entre 6 et 10 millions d'euros... "

    " Année faste pour Gaston Masculier : 1925.
    Cette année-là, le Messin découvre un testament prometteur, qu'il attribue à un certain Jean-François Savary. Le document révèle l'existence d'une véritable fortune à découvrir..."

    " Un pas-de-géant pour passer le cap du XXI° siècle et voici Albert, habitant de la région messine. L'homme, qui tient à rester discret sur son identité, s'intéresse à cette histoire. Il pense détenir le secret du document, qu'il attribue au duc d'Enghien. Selon lui, il aurait existé deux testaments. Le premier, que le duc gardait sur lui, aurait été confisqué lors de son arrestation. Nul ne sait ce qu'il a pu en advenir. Le second fut inséré dans l'épaisseur d'un livre que le duc prit avec lui lorsqu'il fut emprisonné à Strasbourg..."

    " Le prince était intelligent. Il dévoilait tout dans son testament mais seul quelqu'un de sa famille pouvait le déchiffrer car il y avait beaucoup de blancs entre les lignes et dans certains vides étaient inscrits des chiffres",
    Note Albert.
    En somme, il est nécessaire d'avoir une sorte de grille de lecture pour déchiffrer ce testament. Un véritable jeu de piste..."

    " Je me suis toujours demandé pourquoi, dans un village près de chez moi, tant d'investissements avaient été menés pour un trésor non trouvé ".
    Bonne question..."


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  • Mon second article concernant mes recherches sur l'histoire du trésor de Marthille et de ce fabuleux testament de quatre pages.

    Le Prospecteur n° 55, juin 2004. (Albert Fagioli)

    " Du nouveau sur le fabuleux trésor de Marthille "

    " Voici une histoire de trésor caché qui fit couler beaucoup d'encre dans les années dix neuf cent trente... "

    " Un jeune messin s'est penché sur une histoire de trésor caché en Lorraine peu après la révolution. Son intérêt pour cette question faisait suite à la découverte d'un testament de quatre pages inséré dans la couverture d'un livre de messe : Ce que l'on nomme un paroissien. Le testateur avait rédigé ses dernières volonté peu de temps avant d'être fusillé..."

    " Les inventeurs du testament donnèrent à la presse le nom de Louis-François de Savary comme étant la personne qui avait rédigé celui-ci. Vous comprendrez bien pourquoi ils n'ont jamais divulgué son nom véritable..."

    " J'ai réalisé une sorte de mémoire (Projet de manuscrit) sur le secret que le duc d'Enghien a emporté avec lui lors de son exécution dans les fossés du Château de Vincennes. Je n'ai pas encore donné de titre définitif à ce manuscrit. Ce pourrait être :
    - " Le duc d'Enghien et le secret de son testament ".
    - " Le duc d'Enghien et le testament de la dernière heure ".
    - " Ou ??? "

    Je me trouve, à présent, le dépositaire du secret de son fameux et dernier testament. En effet, le duc en avait rédigé deux ; Le premier fut écrit en 1802, il le gardait dans un portefeuille qu'il portait toujours sur lui. Celui-là, fut confisqué par le général Ordener lors de son enlèvement à Ettenheim. Il a dut être immédiatement expédié à Paris avec tous ses papiers à l'intention de Bonaparte, alors Premier Consul. C'est, du moins, ce qu'affirment les Archives. Qu'est devenu ce document ? On l'ignore.
    A-t-il été détruit ? Probablement. A-t-il été déposé dans quelques dossiers à présent poussiéreux et oublié sur une quelconque étagère ? Je n'y crois pas beaucoup.
    Qui a pris connaissance de ce testament ? Le Premier Consul, certainement, et qui d'autre ?..."

    " Il semble avoir complété son testament à la hâte en trempant sa plume dans son propre sang en nommant Savary. Les seules choses qui furent également écrites avec du sang (Ce que les inventeurs prendront pour de l'encre rouge) sont les deux croquis joints aux pages du testament qui révèlent la manière d'atteindre ce trésor et la signature du testateur..."

    " Page 14 "


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  • Le Prospecteur n° 55, juin 2004. (Par Albert Fagioli)

    " Du nouveau sur le fabuleux trésor de Marthille. "

    " Le duc avait mis beaucoup de choses dans son deuxième testament. Il y avait même des croquis explicatifs à la fin de celui-ci. Le prince qui était un homme d'une grande intelligence dévoilait à vrai dire, dans son testament, tout ce qui pouvait permettre de retrouver son trésor mais sous une forme que seul un membre de sa famille, pouvaient déchiffrer. Il y avait beaucoup d'espace entre les lignes, certains vides comportent un chiffre ; certains mots sont écrits en abrégé.
    De nombreuses lettres sont devenues illisibles par la suite des nombreuses années passées dans la reliure du livre. Les plis du papier ont pratiquement fait disparaître ceratains signes ce qui rendit des plus difficile la tâche de déchiffrement de nos deux inventeurs..."

    " Je sais, désormais, pourquoi les inventeurs de ce testament n'ont jamais abouti dans leurs recherches et même, s'y sont tous ruinés. Ils finirent leur vie assez misérablement avec une petite pension et moururent peu de temps après leur 70e anniversaire. Je ne sais pas si c'est le destin ou la providence, mais ces deux personnages sont décédés, la même année. Comme si leur vie était scellée par un secret que Dieu avait peut-être mis entre leurs mains, ils savaient aussi que ce trésor représentait une fortune considérable.
    La preuve, un document fût conservé pendant un grand nombre d'années en compagnie de bijoux de famille. Les ancêtres des propriétaires de ce contrat, car c'est de lui qu'il s'agit, prétendaient que grâce à ce document, un beau jour, ils deviendraient très riches.
    C'est ma passion pour cette histoire qui est parvenue à faire sortir ce document de la cassette au fond de laquelle il dormait depuis presque un siècle. Je leur ai dit en substance :
    " Pourquoi n'avoir pas essayé d'effectuer de nouvelles recherches, plus poussées au sujet de ce document ? "
    Ils m'ont affirmé que, sans mon intervention, ce papier serait resté encore longtemps dans la cassette, avec les bijoux familiaux ; Peut-être même aurait-il fini à la poubelle après leur mort..."

    " En 1804, aucune des dernières volontés du prince ne fut exaucée :
    - Manger un bon repas avant son exécution !
    - Voir le Premier Consul pour pouvoir se justifier des fausses accusations dont on l'accablait !
    - Écrire une dernière lettre pour sa femme, Charlotte de Rohan !
    - La lecture de son testament dont le contenu était destiné à sa fille ainsi qu'à Charlotte, comme le souhaitait le duc d'Enghien dans sa correspondance avec son épouse.
    - Et surtout la demande de voir un prêtre.

    Le 21 mars 2004, marquait le bicentenaire de sa mort. Ce jour tombait un dimanche, fête de la Saint clémence, une chose dont le prince ne bénéficiera pas en ce froid matin de mars 1804, un peu avant l'aube. Son trésor se trouve encore dans un endroit bien caché..."


    " Page 15 "


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  • Mon premier article concernant mes recherches sur l'histoire de Marthille et de ce fabuleux testament de quatre pages.

    La revue " Trésors de l'Histoire " n° 201, avril/mai 2004. (Par Emmanuel Combrinon)

    " Des éléments inédits sur le trésor de Marthille "

    "Page 19 "

    " Recherché avec vigueur en 1926 et 1927, le trésor de Marthille (Moselle) n'a pu être découvert, faute de moyens techniques performants, bien que son existence ait clairement été  révélée par plans et documents. De nouveaux éléments, récemments portés à notre connaissance, nous permettent depuis peu de proposer à son sujet de nouvelles pistes de recherches parfaitement inédites.
    A la clef... "

    Voir ma thèse à la page 21.

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  • Mon premier article concernant mes recherches sur l'histoire de Marthille et de ce fabuleux testament de quatre pages.

    La revue " Trésors de l'Histoire " n° 201, avril/mai 2004. (Par Emmanuel Combrinon)

    " Des éléments inédits sur le trésor de Marthille "

    "Page 20 "

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  • Mon premier article concernant mes recherches sur l'histoire de Marthille et de ce fabuleux testament de quatre pages.

    La revue " Trésors de l'Histoire " n° 201, avril/mai 2004. (Par Emmanuel Combrinon)

    " Des éléments inédits sur le trésor de Marthille "

    " Page 21 "

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  • Mon premier article concernant mes recherches sur l'histoire de Marthille et de ce fabuleux testament de quatre pages.

    La revue " Trésors de l'Histoire " n° 201, avril/mai 2004. (Par Emmanuel Combrinon)

    " Des éléments inédits sur le trésor de Marthille "

    "Page 22 "


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