• Rennes-le-Château : Les secrets de la Tour Magdala. (Albert Fagioli - 18/11/2008)


    Rennes-le-Château : Les secrets de la Tour Magdala (Albert Fagioli - 8/11/2008)

    Il aura fallu à M. Fagioli deux déclics pour résoudre l'une des énigmes de la Tour Magdala.
    1° En lisant bêtement un livre il y a trois ans. Un livre qu'il avait déjà depuis plusieurs années, qu'il avait reçu par un collègue de travail qui était Témoin de Jéhovah.
    Ce livre est Les Saintes Ecritures - Le nouveau Testament en 1661 pages.

    2° En lisant l'article paru dans le Figaro Magazine du 7 juillet 2001, sur l'histoire des fouilles sur Rennes-le-Château.

    Passage de 1 Pierre 24 :

    Vous approchant de lui comme d'une pierre vivante, rejeté par les hommes, il est vrai, mais choisie et précieuse auprès de Dieu.
    5 Vous aussi comme des pierres vivantes, vous êtes en train d'être bâtis maison spirituelle, pour une sainte prêtrise, afin d'offrir des sacrifices spirituels agréables à Dieu par Jésus-Christ.
    6 En effet on trouve dans l'Ecriture :

    '' Voici que je pose en Sion une pierre, choisie, une pierre angulaire de fondement, précieuse ; Et celui qui exerce la foi en elle ne sera absolument pas déçu. ''
    7 C'est donc pour vous qu'il est précieux, parce que vous êtes des croyants ; Mais pour ceux qui ne croient pas " La même pierre qu'avaient rejeté les bâtisseurs est devenue la tête de l'angle , et une pierre d'achoppement et une masse rocheuse cause de scandale ". Ceux-là trébuchent parce qu'ils désobéissent à la parole. Et c'est bien à cela qu'ils ont été destinés ...

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    Pour le second déclic, il s'agit d'un article du Figaro Magazine :

    (Figaro Magazine, le 7 juillet 2001).

    Rennes-le-Château.
    Vrai ou faux ?
    Le Trésor du Curé
    Des scientifiques canadiens et américains ont débarqué dans ce village de l'Aude à la recherche du mystérieux trésor qui attire chaque année 100 000 curieux.
    Par Léopold Sanchez.L'histoire commence comme un film d'aventures dont le scénario aurait été imaginé par Jacques Tati. Voilà un peu plus d'un an, Jean-François Lhuilier, maire de Rennes-le-Château, un petit village de l'Aude où l'on recherche depuis un siècle le trésor qui aurait permis à son pauvre curé de vivre sur un grand pied, reçoit une lettre d'un certain Jean-Louis Genibrel, citoyen américain résidant à Long Beach en Californie :


    « Je sais qu'au début de la construction de la tour Magdala, à Rennes-le-Château) (... le grand-père de mon oncle, qui était le chef de chantier, a aidé l'abbé Bérenger Saunière à enterrer au moins une boîte et d'autres objets sous la fondation de la tour, exactement sous la pierre de coin. »

    Canular ou mystification ? Le maire est habitué à ce genre de courrier.

    - Je reçois une dizaine de lettres par an de personnes affirmant savoir où est enterré le trésor de l'abbé Saunière ! Déclare-t-il en brandissant la fameuse lettre.
    Des spécialistes pratiquent une échographie du terrain.Seulement, le mystificateur en question a de la suite dans les idées. Quelque temps plus tard, il téléphone à monsieur le maire qui s'empresse de lui signifier que les fouilles sont strictement interdites sur le périmètre de Rennes-le-Château. Et pour cause, ce modeste village attire chaque année quelque 100 000 curieux à la recherche d'un trésor, au sujet duquel on a écrit plus de quatre cents livres, traduits dans toutes les langues, tourné des dizaines de films (dont le dernier, produit par Comes Communication, sera diffusé à la rentrée), sans compter les sites sur Internet, les conférences dans le monde entier...
    A la différence de ses prédécesseurs, le mystérieux interlocuteur américain ne propose pas de fouiller, mais de venir avec une équipe de spécialistes pour pratiquer une échographie du terrain. La cause est entendue. Le 17 avril, les habitants de Rennes-le-Château voient débarquer sur la place du village une équipe de trois spécialistes canadiens (les mêmes qui ont supervisé les recherches échographiques dans la pyramide de Kheops) et de quatre archéologues de la John Merril Fondation (une fondation privée de San Francisco finançant divers travaux de fouilles dans le monde). Le groupe est supervisé par le professeur Robert Eisenmann, un des plus grands spécialistes d'archéologie chrétienne chargé de l'étude des rouleaux de la mer Morte à l'université de Long Beach. En y ajoutant les trois Italiens dépêchés par le Vatican et dirigés par une pulpeuse théologienne, le docteur Serena Tajé, on comprend mieux la surprise du maire en voyant, en ce mercredi matin, sa petite mairie envahie par une armée d'étrangers.
    - Surtout, précise-t-il, qu'ils sont arrivés avec des camions, du matériel de recherches très sophistiqué dans trois malles blindées... Il devait y en avoir au moins pour 500 000 francs !
    Quelques instants plus tard, les scientifiques sont au travail, sondant, avec un échographe, la base de la tour Magdala et ses abords. Ils n'iront pas plus loin. Le grand-père de mister Genibrel n'a pas menti ! Sur l'écran de l'ordinateur, on voit se dessiner un objet quadrangulaire : apparemment un coffre de 90 centimètres sur 103 centimètres, localisé à 4 mètres de profondeur. L'équipe est euphorique. Mais ce n'est pas tout ! Répétée dans l'église, la recherche échographique signale également une crypte murée à 2,50 mètres sous le niveau de la nef.
    Très excité par ces découvertes, le maire se dépêche de prévenir l'évêque de Carcassonne, le préfet, le directeur de la Drac (Direction régionale des affaires culturelles), Arnault de la Briffe et I'architecte des Bâtiments de France. Devant l'intérêt unanime des autorités, on décide d'entamer une procédure de recherche scientifique et archéologique pour laquelle la fondation John Merril avance déjà un premier investissement de 100 000 dollars.
    Afin de préparer les fouilles qui débuteront en septembre prochain, tous les protagonistes se réunissent à Rennes-le-Château, le 14 juin, sous la direction scientifique du professeur. Andrea Baratolo, éminent spécialiste en archéologie ancienne.
    Les premières observations de cet archéologue, qui a notamment participé aux travaux de recherches sur le forum romain et sur d'autres lieux antiques du pourtour méditerranéen, sont étonnantes :

     


    - Nous sommes à la veille de découvrir l'acropole de la civilisation gauloise !
    Déclare enthousiaste le professeur Barattolo.

     

    Il ajoute :
    - Mon impression est confirmée par la présence de fragments de céramiques antiques dans la collection du musée archéologique. Il ne s'agit pas de pièces telles qu'on les fabriquait en Sicile l'exportation, mais d'objets de luxe importés directement d'Athènes vers le V siècle avant notre ère !
    Un coffre aurait été enterré sous les fondations de la tour Magd
    Ce qui laisse supposer l'existence d'un site gaulois beaucoup plus important que Bibracte ou Alésia. Le musée possède également une riche collection de céramiques antiques, armes et outils gaulois, monnaies celtiques et romaines, dont une pièce datante d'Auguste ornée d'un crocodile, ou d'autres avec des têtes de taureau...

    - J'espère, poursuit le professeur Barattolo que nous allons trouver, sous la nef, les fondations d'un temple romain et, plus en dessous les restes d'un sanctuaire celtique attestant de l'importance de Rennes-le-Château dans la Gaule pré romaine. Ce qui serait tout à fait normal, vu la position clef de ce site sur la route reliant l'Ibérie à la province narbonnaise.

    Quant au coffre ? Les rayons gamma ont signalé qu'il ne contient pas de métal. Que peut-il donc révéler ? Des documents ? On sait depuis longtemps et c'est là le plus extraordinaire car le surnaturel est chose courante à Rennes-le-Château !, non par des témoignages de personnes ayant connu l'abbé Saunière mais par le truchement de rêves divinatoires inspirés à un chercheur dont nous tairons le nom, qu'un coffre aurait été enterré sous les fondations de la tour Magdala au moment où elle a été construite, entre 1887 et 1890. La lettre de l'Américain et la récente découverte de l'équipe de chercheurs de la fondation John Merri viennent donc confirmer cette piste.
    Mais qui était donc ce petit curé de campagne, Bérenger Saunière ?
    Mais vers quoi peut-elle mener ? Les opinions divergent suivant les hommes qui les représentent. Pour l'archéologue italien envoyé par le Vatican :

    - Il pourrait s'agir d'un document qui viendrait remettre en cause l'histoire de I'Eglise catholique !

    Une confirmation de la rupture de la hiérarchie pontificale après Benoît XIII.
    La volcanique théologienne, directrice de la mission vaticane, intervient :

    - À moins que ce ne soit un signe tangible de la présence en ce lieu (présence attestée par les textes sacrés) du juge de Jésus, de ce même Hérode Antipas qui s'arrêta ici, à Rennes-le-Château, sur le chemin de l'exil, en compagnie d'une certaine Marie la magdaléenne.

    Elle ajoute :

    - Nous allons peut-être découvrir des éléments concernant le mythe fondateur de l'Eglise.

    Ce qui expliquerait le nom de « tour Magdala » donné à l'endroit où l'abbé Saunière cacha son trésor.
    Le point de vue du maire est beaucoup plus patriotique :

    - Pour moi, c'est la preuve formelle que Rennes-le-Château est la véritable métropole gauloise dont on recherche la trace quelque part sur les bords de la Saône.

    Ce qui anéantirait les efforts de l'État et tous les investissements depuis cent cinquante ans en faveur de Bibracte. La perspective fait jubiler le premier de la commune qui ne cache pas ses opinions monarchistes.
    Quant à la tendance légitimiste, elle est représentée par Jean-Luc Robin. propriétaire d'un restaurant dans la bourgade voisine d'Espéraza. Venu s'installer à Rennes en 1957, ce dernier pense :

    - Cette découverte va permettre d'éclaircir les relations mystérieuses de l'abbé Saunière avec l'aristocratie européenne. En particulier, ses rapports avec la comtesse de Chambord, qui mit à sa disposition 3 000 francs or, ou avec les Habsbourg. Comme le prouvent les billets de train à destination de Vienne, Paris ou Madrid dont on a trouvé la trace dans les affaires personnelles du petit curé de campagne. Qui était l'abbé Saunière, pour avoir attiré un si grand nombre de personnalités à Rennes-le-Château, de l'impératrice Zita de Habsbourg à François Mitterrand, en passant par Debussy et bien d'autres ?

    Parti pauvre comme Job de son Montazels natal, à 4 kilomètres plein sud à vol d'oiseau. Bérenger Saunière prend possession de sa cure en 1885. Il a 33 ans et rien, en dépit d'un physique avantageux et d'une ambition cadrant mal avec des fonctions de curé de campagne, ne semble le destiner à quelque projet fastueux. Et pourtant, il dépense bientôt une fortune pour transformer sa petite église paroissiale en un monument sulpicien qui n'aurait pas déparé une coquette sous-préfecture, ou pour reconstruire le modeste presbytère, qui était en ruines. et en faire la superbe Villa Bethania avec ses plafonds à fresques. son tableau de Mucha offert par l'artiste qui était un familier du prêtre. Sans oublier les jardins avec serres et bassins. l'élégante terrasse dominant le paysage. le kiosque à musique et la tour-bibliothèque dans laquelle l'abbé fut retrouvé mort, un jour, par sa bonne, Marie Dénamaud, avec qui il vivait maritalement au su de tout le monde. Ce qui ne l'empêchait pas de chercher ailleurs des petites satisfactions auxquelles la prêtrise commande de renoncer...
    - Pour se lancer dans ces travaux, il a bien fallu que notre petit curé trouve quelque chose, poursuit le restaurateur d'Espéraza. Ce n'est pas avec ses émoluments qu'il aurait pu construire tout cela. Pourquoi la veuve de l'héritier du trône de France lui remet-elle une somme aussi importante ? D'autant plus qu'elle est apparentée à cette famille des Habsbourg qui est à I'époque, détentrice des pouvoirs politique financier, économique et religieux en Europe. L'empereur d'Autriche a un droit de veto sur l'élection du pape. Pourquoi quelqu'un d'aussi important s'intéresse-t-il au sort d'un petit curé 9.L'Eglise veut détruire tout document compromettant
    L'abbé Saunière aurait-il mis par hasard le nez sur un secret dont il aurait su monnayer le silence en échange d'une existence confortable et de la discrétion de l'Eglise face à sa vie privée, peu conforme avec des principes religieux ?
    Ce qui expliquerait cette confidence de l'envoyée du Vatican. la théologiquement sexy Serena Tajé, au maire de Rennes-le-Château qui nous l'a répétée : « Je suis missionnée par l'Eglise pour détruire tout document compromettant que nous pourrions trouver ! »
    Comme le précise Jean-Luc Robin :
    ‑ Pour embrouiller un peu plus l'histoire de l'abbé, je vous signale que le précepteur du comte de Chambord s'appelait d'Hautpoul de BIanchefort et qu'il était apparenté à la famille qui régnait sur Rennes-le-Château. Il a peut-être raconté à son élève, le futur roi de France, ce qui s'était passé dans le village ait moment de la Révolution française, soixante ans auparavant. En 1793, son ancêtre la comtesse de Blanchefort avait confié au prêtre réfractaire de Rennes, l'abbé Bigou, les archives de sa famille qui comptait un grand maître de l'ordre du Temple. Que contenaient ces papiers ? Elle lui remettrait également la fortune de la famille, en numéraire et en bijoux, afin de la soustraire à la tourmente révolutionnaire. Est-ce cette fortune que l'abbé Saunière a découverte dans sa cure ? D'autant plus que la comtesse ne fut pas la seule à confier tous ses biens à l'abbé Bigou. Les plus grandes, familles du Languedoc firent de lui le dépositaire de leurs valeurs, en attendant des jours meilleurs.
    Comme l'explique le maire :

    - Une personne d'autorité a dû donner l'ordre à l'abbé Saunière d'arrêter ses recherches. Il a donc refermé la porte sur son secret, mais, en contrepartie, il a vécu librement, comme il l'entendait.

    D'où venait l'argent qu'il a dépensé ? Qui avait intérêt à ce qu'il garde le silence ? Ce sont là des questions que l'on croyait à jamais sans réponse jusqu'à ce que la lettre d'un mystérieux Américain ne vienne faire rebondir cette incroyable histoire qui est peut-être à la veille de son dénouement.


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    Aux lecteurs maintenant d'en tirer des conclusions, arrivez-vous aux mêmes conclusions que M. Fagioli.

    Qui y a-t-il de vrai dans l'article du Figaro Magazine ? C'est là qu'on voit le travail d'un bon détective, qui sait interpréter les bons indices et écarter les mauvais, également partir dans la bonne direction.
    Pour monsieur Fagioli, monsieur Génibrel dit la vérité, il a bien répété ce que le grand père de son oncle avait écrit sur un document qui fut transmis aux descendants après sa mort. Sûrement que Saunière lui avait demandé de garder les secrets, mais une fois qu'il était mort celui-ci pouvait être transmis sans qu'il craigne la foudre de Dieu, ou la malédiction de Saunière. C'est sûr que Génibrel n'a pas tout dit à messieurs Eisenman, Baratolo, Lhuillier. Peut-être n'a-t-il pas réussi à interpréter ses documents, comme pour l'histoire du testament de Marthille que vient de résoudre monsieur Fagioli. Qu'il attribue au duc d'Enghien et pas Savary. Personne à ce jour n'avait réussi à percer cette énigme vieille de plus de 80 ans.
    Chiffre 80 qui concerne également l'un des trésors cités dans le testament du duc d'Enghien et qui concerne aussi l'une des énigmes de Rennes-le-Château.

    Voici un autre article récupérer sur Internet qui est intéressant à lire : Article d'un certain Edouard.

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    L'Église de Dieu.

    " Le Dieu, qui a fait le monde, et tout ce qui s'y trouve, étant le Seigneur du ciel et de la terre, n'habite pas dans des temples faits de main d'homme. Il n'est pas servi par des mains humaines, comme s'il avait besoin de quoi que ce soit, Lui qui donne à tous la vie, la respiration, et toutes choses." - Actes 17, 24.

    Ce Dieu est merveilleux dans tout ce qu'Il fait ! Parmi les hommes, nul n'est semblable à Lui ; Nul n'a son intelligence et sa sagesse, Parmi toutes les constructions qui ont été dessinées par la main de l'homme, nulle n'est comparable à celle de notre Dieu !

    Depuis la création du monde, les constructions les plus grandioses, les plus riches, les plus belles, ont été dessinées par les meilleurs architectes ; Construites par des ouvriers aux talents multiples, avec les meilleurs matériaux sur le marché. Mais, avec les années, ces constructions se détériorent, doivent être rénovées et parfois être complètement détruites.
    Mais, dès avant la création du monde, le Seigneur notre Dieu ; Comme un sage architecte, a fait le plan pour une maison qui lui appartienne, et dans laquelle Il habiterait ; Une maison qui serait une demeure éternelle, - Hébreux 11, 10.

    Le Seigneur avait annoncé cette bonne nouvelle à son peuple, par la bouche de ses prophètes. Ils ont prophétisé là venu de celui qui devait bâtir le temple de Dieu.

    "Voici, les jours viennent dit le Seigneur, où je susciterai à David un germe juste (un héritier) ; Il régnera en Roi et prospérera, Il pratiquera la justice et l'équité dans le pays. Voici le nom dont on l'appellera : L'Éternel notre justice." - Jérémie 23, 5.

    "Voici, les jours viennent, dit le Seigneur, où j'accomplirai la bonne parole que j'ai dite sur la maison de Juda. En ces jours et en ce temps-là, je ferai éclore à David un germe de justice (un héritier) ; Il pratiquera la justice et l'équité dans le pays," - Jérémie 33, 14.

    "Voici, un homme, dont le nom est Germe, germera dans son lieu, et bâtira le temple de l'Éternel. Il bâtira le temple de l'Éternel ; Il portera les insignes de la majesté ; Il s'assiéra et dominera sur son trône, il sera sacrificateur sur son trône, et une parfaite union régnera entre l'un et l'autre," - Zacharie 6, 12.

    Voici un homme, dont le nom est Germe, il bâtira le temple de l'Éternel. Cet homme portera les insignes de la majesté, aura de la magnificence et de la gloire, il sera Roi ! L'Éternel envoi le meilleur ; Celui qui peut vraiment accomplir toute sa volonté, en ce qui concerne la construction de son temple ! Il y a deux mille ans, dans la ville de Bethléhem naissait le Germe de Dieu ; On lui donna le nom de Jésus, et c'est Lui qui fut désigné pour bâtir le temple de Dieu. À l'heure choisie par son Père, Jésus se présenta à son peuple, comme l'envoyé de Dieu, pour construire son temple. Jésus a choisi les hommes que son Père lui avait désignés ; Les hommes qui seraient capables en suivant son plan, de bâtir le temple de Dieu. Il en a choisi douze, à qui il a enseigné tout le conseil de Dieu ; Selon le plan que son Père lui avait montré ; Afin que lorsqu'Il serait parti ; Ces ouvriers, ces travailleurs, puissent continuer à construire et à édifier l'Église de Dieu.

    "Les Juifs prenant la parole dite à Jésus : Quel miracle nous montres-tu, pour agir de la sorte ? Jésus répondit : Détruisez ce temple et en trois jours je le relèverai. Les Juifs lui dirent : Il a fallu quarante six ans pour bâtir ce temple et toi en trois jours tu le relèveras ? Mais il parlait du temple de son corps," - Jean 2, 18.

    Les Juifs étaient fiers de leur temple. Un temple que leurs pères avaient bâti de leurs propres mains, à la sueur de leur front, et dont la construction avait duré quarante-six ans. Mais, Dieu n'habite pas dans des temples faits de mains d'hommes, comme disent les Écritures. Les temples qui sont bâtis par la main des hommes, ne résisteront pas ; Ils seront détruits ! Mais le temple de Dieu, durera éternellement. Jésus a dit : Détruisez-le, et en trois jours, je le relèverai. Sur la terre, Jésus était le temple du Dieu vivant. Toute la plénitude de Dieu, habitait en Lui.

    "Et vous, leur dit Jésus, qui dites-vous que je suis ? Pierre répondit : Tu es le christ, le Fils du Dieu vivant. Jésus, reprenant la parole, il dit : Tu es heureux, Simon, fils de Jonas ; car ce ne sont pas la chair et le sang qui t'ont révélé cela, mais c'est mon père qui est dans les cieux. Et moi je te dis que tu es Pierre et que sur ce roc, je bâtirai mon Église, et les portes du séjour des morts ne l'emporteront pas contre elle," - Matthieu 16, 18.

    Jésus annonce à Pierre, qu'Il va construire son Église. Jésus dit qu'un homme prudent bâti sa maison sur le roc ; et si les pluies viennent à tombées, que les torrents viennent, que les vents soufflent et se jettent contre sa maison, elle ne tombera pas; parce qu'elle est fondé sur le roc, - Matthieu 7, 24.
    Jésus, montre à Pierre, que l'Église de Dieu, doit être bâti sur le roc ; que ce roc, c'est le Christ, le Fils de Dieu ! Pierre venait de démontrer sa foi, en confessant de sa bouche, que Jésus était le Christ, le Fils de Dieu.

    Pierre déclara : "Jésus est la pierre rejétée par vous qui bâtissez, et qui est devenue
    la principale de l'angle." - Actes 4, 11.

    "Voici, je mets en Sion, une pierre angulaire, choisie, précieuse ; et celui qui croit en elle, ne sera pas confus." - 1 Pierre 2, 6.

    La pierre angulaire d'un édifice, est la pierre de coin. C'est la pierre qui réunie ensemble dans un coin, les deux murs qui se rencontrent, et les maintients ensembles. Cette pierre est la plus importante des pierres d'un édifice ; et toute pierre qui occupe cette place de coin ; depuis la base jusqu'au haut de l'édifice, est une pierre angulaire. C'est pour cela que Jésus fut présenté comme la pierre de l'angle ; étant celui sur qui repose l'édification de l'Église de Dieu ! Et c'est sur Lui que doivent s'appuyer tous ceux qui ont la foi. L'Église de Dieu est construite avec des pierres précieuses ; des pierres vivantes ; Le fondement c'est Jésus, et les pierres précieuses (tous les croyants) doivent s'appuyer sur Lui parce qu'Il est la pierre angulaire.

    L'apôtre Paul :"Selon la grâce de Dieu qui m'a été donné, j'ai posé le fondement comme un sage architecte, et un autre bâtit dessus. Car personne ne peut poser un autre fondement, que celui qui a été posé, savoir Jésus-Christ," - 1 Corinthiens 3, 7.

    L'apôtre Pierre : "Approchez-vous de Lui pierre vivante, rejetée par les hommes, mais choisie et précieuse devant Dieu, et vous-mêmes, comme des pierres vivantes, édifiez-vous pour former une maison spirituelle." - 1 Pierre 2, 4.

    L'apôtre Pierre : "Ainsi donc, vous n'êtes plus des étrangers, ni des gens du dehors ; mais vous êtes concitoyens des saints, gens de la maison de Dieu. Vous avez été édifiés sur les fondements des apôtres et des prophètes, Jésus-Christ Lui-même étant la pierre angulaire. En Lui tout l'édifice, bien coordonné, s'élève pour être un temple saint dans le Seigneur. En lui vous êtes aussi édifiée, pour être une habitation de Dieu en Esprit." - Éphésiens 2, 19.

    L'apôtre Paul : "Ne savez-vous pas, que vous êtes le temple de Dieu, et que l'Esprit de Dieu habite en vous ? Si quelqu'un détruit le temple de Dieu, Dieu le détruira ; car le temple de Dieu est saint, et c'est ce que vous êtes." - 1 Corinthiens 3, 16.

    L'apôtre Paul : "Car, nous sommes le temple du Dieu vivant, comme Dieu l'a dit : J'habiterai et je marcherai au milieu d'eux ; je serai leur Dieu et ils seront mon peuple." - 2 Corinthiens 6, 16.

    Voilà l'Église de Dieu !

    Edouard.

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    Je pense que ces quelques lignes sont très intéressante, Edouard est sûrement un homme d'église (prêtre, abbé, curé...etc)
    Et ces quelques lignes nous éclaires sur l'un des secrets de la Tour Magdala :
    Vous aurez un choix à faire sur quatre (une chance sur quatre)
    N,S,E,O ou bien NE,NO,SE,SO
    Mais M. Fagioli détient la bonne clef qui mène à la bonne pierre de Coin. Attention il pourrait y avoir une mauvaise interprétation pour celle-ci. En dessous. En dedans. Au dessus. A côté. A l'opposé
    Sachez qu'aucun détecteur ne pourra vous donnez des indications sur son emplacement.

    Par contre en ce qui concerne l'autre clef, il n'est pas si sûr. Il aimerait savoir si des gens possédent des photos du possible point noir ou rouge placé sur un autre carrelage de la Tour Magdala (qui n'existe plus). Il aimerait savoir dans quel endroit de la Tour il était et comment il était placé (hauteur, au mur, au sol...Etc). Apparemment l'autre indice qu'a laissé Saunière, ne se trouve par dans la Tour, mais à l'autre extrémité dans l'Orangeraie. D'après monsieur Antoine Captier se carrelage n'existe plus. M. Fagioli tient à signaler que le moindre détail compte à son sujet. Comme il demandait un peut plus bas, il aimerait avoir des photos de la construction de la Tour Magdala, avec la date à laquelle elles ont été prises.

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    Voici un autre article intitulé " Le Masque de Saint-Pierre " " Le nom de Pierre. Sur ce rocher..."
     par Regard (Bibliothèque Chrétienne Online) ou http://www.regard.eu.org/Livres.11/Masque_de_Pierre/03.html

    " Tout d'abord de l'interprète assurément le mieux qualifié, de celui qui, sans aucun doute, doit avoir le mieux compris la pensée de Jésus, de Jésus lui-même !
    Après la parabole des vignerons (St Luc XX. 9-19) où le Sauveur laisse entendre que son peuple va le rejeter, Il ajoute :
    « Que signifie donc ce qui est écrit : La pierre, qu'ont rejetée ceux qui bâtissaient, est devenue la pierre angulaire ? Quiconque tombera sur cette pierre sera brisé... »
    Ce passage n'était autre que la prophétie antique (Psaume CXVIII. 22 ; Isaïe LV. 8) concernant la personne du Messie.
    Jésus fait l'application à soi-même de cette prophétie ; elle ne peut concerner en même temps quelqu'un d'autre.

    La « pierre angulaire », c'est donc Jésus-Christ.
    Qui peut, après Jésus, nous donner la meilleure interprétation de cette parole ? N'est-ce point celui-là même à qui le Sauveur, dans la circonstance qui nous occupe, l'a adressée, St Pierre ?

    Tout d'abord, dans le Livre des Actes des Sts Apôtres, après la Pentecôte, Simon Pierre, reprenant cette même prophétie, déclare : « Jésus est la pierre, rejetée par vous qui bâtissez, et qui est devenue la pierre angulaire. Et le salut n'est en aucun autre ; car il n'y a pas sous le ciel un autre nom qui ait été donné aux hommes, par lequel nous devions être sauvés » (Actes IV. 11 à 13).
    La pierre angulaire de l'Eglise n'est donc point l'homme, c'est Jésus lui-même.

    L'apôtre prend encore le soin, dans sa première Épître, de bien définir qui est cette pierre. Peut-on, sans manquer de respect pour l'autorité du Saint-Esprit, comme pour celle de l'apôtre, négliger une affirmation telle que celle dont voici le texte littéral :
    - « Approchez-vous de Lui, pierre vivante, méprisée des hommes, il est vrai, mais choisie et précieuse devant Dieu ; et vous-mêmes, comme des pierres vivantes, entrez dans la structure de l'édifice pour former un temple spirituel... Car il est dit dans l'Écriture : « Voici je pose en Sion une pierre angulaire, choisie, précieuse, et celui qui met en elle sa confiance ne sera pas confondu ». À vous donc l'honneur, vous qui croyez ; mais pour les incrédules « la pierre qu'ont rejetée ceux qui bâtissaient, c'est elle qui est devenue une pierre d'angle, un rocher de scandale » (I Pierre Il. 4-7).

    Et qui peut apporter encore, ici, un témoignage probant ? L'apôtre St Paul. Il écrit aux Éphésiens : « Ainsi donc, vous n'êtes plus des étrangers, ni des hôtes de passage, mais vous êtes concitoyens des Saints et membres de la famille de Dieu, édifiés que vous êtes sur le fondement des apôtres et des prophètes, dont Jésus-Christ lui-même est la pierre angulaire » (Ephés. II. 20).

    Et St Paul dit encore : « Personne ne peut poser un autre fondement que celui qui est déjà posé : Jésus-Christ » (I Corinth. III. 11).
    Quelle affirmation peut être plus catégorique que celle-là ?

    Ainsi donc, puisque Jésus-Christ est à la fois la pierre angulaire de l'Eglise, d'après sa propre interprétation comme d'après celle de St Pierre, et le fondement de cette même Église, d'après St Paul, c'est par conséquent que Lui, Jésus, et Lui seul, est l'un et l'autre.

    Au risque d'être taxé d'illogisme en faisant intervenir ici l'opinion des Pères de l'Eglise, nous rappelons que St Cyrille, St Hilaire, St Jérôme, St Ambroise, St Chrysostome, et surtout St Augustin, pour ne citer que ceux-là, n'ont enseigné ni les uns ni les autres que l'Eglise fût fondée sur Pierre.
    - « Que veut dire, demande St Augustin dans son 10e traité sur la 1re Épître de St Jean « sur cette pierre, j'édifierai mon Église » ? Cela veut dire, sur cette foi, sur ce que tu as dit : Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant ». Et dans son 124e traité sur St Jean, on lit encore : « Sur cette pierre que tu as confessée, j'édifierai mon Église ; car Christ était la pierre »."

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    Il était d'usage de cachet lors de la construction d'un édifice un coffret ou une boite contenant des documents ou des objets concernant la construction du bâtiment. Il se peut qu'on retrouve également des documents beaucoup plus anciens et qui ne concerne pas toujours l'édifice.
    Voici quelques exemples :

    - La Sainte Chapelle de Paris :
    En 1843, la découverte, sous le maître-autel de la sainte Chapelle, d'une boîte en plomb contenant un coeur humain, fit naître entre plusieurs érudits une polémique des plus vives sur Ia question de savoir si ce coeur était réellement celui de saint Louis. L'Académie des inscriptions prononça en dernier ressort que rien n'autorisait une semblable affirmation. (Fernand Bournon).

    - Les boites de plomb scellées découvertes à l'intérieur de la statue équestre de Henri IV révèlent leur mystère 19 novembre 2004 :
    Renaud Donnedieu de Vabres, ministre de la culture et de la communication, a procédé aujourd'hui à 16 heures rue de Valois à l'ouverture des boîtes de plomb scellées découvertes à l'intérieur de la statue équestre de Henri IV, située sur le Pont Neuf à Paris.
    Ces boites ont été découvertes dans le cadre de la restauration du Pont Neuf et de la statue équestre de Henri IV, érigée en 1818 par le sculpteur François-Frédéric Lemot, et qui se dresse à la pointe de la Cité sur le terre-plein qui surplombe le jardin du Vert-Galant.
    Boîte 1
    - Récit du transport et de la mise en place de la statue de la Fonderie du Roule au Pont Neuf. Transport mouvementé commencé le 14 août 1818, interrompu le 15 et 16 août (fête du 15 août et dimanche) repris et achevé le 17 août. Signature du document par Marbois, marquis et pair de France et président du comité des souscripteurs pour la réédification de la statue d'Henri IV et par Lemot (le sculpteur de la statue). Liste des membres du comité sur peau de vélin
    - " Archives du Royaume " : ampliation sur parchemin du procès verbal dressé le 23 août 1614 lors de l'inauguration de l'ancienne statue
    - Procès verbal de l'inauguration du 25 août 1818 pour l'inauguration de la nouvelle statue en présence de Louis XVIII et de la famille royale
    - " Notice des objets renfermés dans le corps de la statue " détaillant le contenu des quatre boîtes
    Boîte 2
    " Les économies royales " de Sully, 2 volumes in-folio, édition connue sous le titre de W. Verts, reliées en veau fauve avec dentelle compartimentée aux armes de France par Simier.
    Boîte 3
    Un exemplaire de " La Henriade " 2 volumes, peau de vélin, édition de Beaumarchais, reliés par Simier, en maroquin bleu avec dentelle...
    Boîte 4
    - Un exemplaire de la " Vie de Henri IV " par Péréfixe, édition Renouard, exemplaire sur vélin papier, reliure en chèvre grain long vert, filet et roulette, dos orné 5 nerfs avec inscription Simier R (relieur)
    - 2 rangées superposées de 26 médailles en tout
    Inventaire des médailles
    Médailles de 18 lignées (taille des médailles), comptabilité des exemplaires en argent et en en bronze : retour de Louis XVIII, entrée du roi dans Paris, charte constitutionnelle, la Légion d'honneur, le 3 mai 1814, les pompes funèbres de Louis XVI, Marie Antoinette, mariage du duc de Berry, portrait de Malherbe,
    Médailles de 22 lignées, comptabilité des exemplaires en argent et en bronze : Paix du 12 mai 1814, 20 mai 1815, retour du 8 juillet 1815, 21 janvier 1815, la statue équestre d'Henri IV.
    Boîte 5
    Boîte cylindrique en plomb à couvercle, à l'intérieur papier collé contre la paroi à la colle.
    Boîte 6
    Petite boîte cylindrique à couvercle, à l'intérieur papier roulé, peut être sorti mais pas déplié.
    Boîte 7
    Etui en bois, à l'intérieur, parchemin roulé peut être sorti mais pas déplié.

    - À Sainte-Savine :
    Le 28 septembre 1923, à l'occasion de la réfection du clocher, une boite de plomb scellée, datant de 1549 est découverte sous le coq.

    - À Agen :
    Le 25 août 1839, son Altesse Royale M. le Duc d'Orléans pose la première pierre du pont-canal d'Agen.
    Créé par M. de Baudre, Inspecteur-divisionnaire des Ponts et Chaussées, l'ouvrage est destiné à franchir le fleuve Garonne pour assurer la continuité du tracé du Canal latéral.
    Les travaux d'excavation nécessaires à la construction de l'ouvrage donnent lieu à de surprenantes découvertes archéologiques.
    Le ''Journal du Lot-et-Garonne'' rapporte en effet, la ''découverte, non loin d'Agen, de corps de suppliciés enchaînés à des colliers de fer''. Lors de la construction des piliers du pont-canal, une boite en bois de cèdre renfermant des monnaies d'or et d'argent est scellée dans la pile. Cette boite contenait également trois médailles en argent, platine et bronze, frappées pour l'occasion à l'effigie du Roi Louis-Philippe.

    - Le pont d'Onnex :
    Un petit trésor caché dans une boite à mines.
    A ce sujet, un hasard a voulu que lors de la rénovation du pont en 2001, on trouve, dissimulée  dans une boite à mines, une bouteille contenant un manuscrit dévoilant précisément les noms et fonctions des personnes qui achevèrent la construction du pont. Voici donc la reproduction de cette intéressante découverte.    
    «  Ouvrage commencé par Mr Albert PROUTEAU , PARIS, terminé en régie par les Ponts et Chaussées.
    Ingénieur principal : Mr PICHOT.
    Ingénieur subdivisionnaire : Mr MARCHAND.
    Onnex, le dix août MCMXXXVII
    Etaient présents le 10 août 1937 lors du bétonnage destiné à sortir le tablier, MM :
    ROUX Jean, surveillant  - METRAL Jules, chef de chantier.
    AZOLIN Antoine qui fit le coffrage avec DEMOLIS Jules.
    MARIN Secondo fabriqua les boites à mines, qui avec        MADDALENA Carlo, ALLIATA Carlo et BUAROTTI Joseph, cimentèrent le pont.
    TISSOT Albert, BERTONE Jean, MOUCHET Jules, BAUSSIERE Fernand, LAYDERNIER Honoré, BUFFARD Albert, RABONI François, BACHET Albert, MOUCHET Marcel, BERGERET Henri, GENEVE Auguste, s'aidèrent au travail.
    PELLEREY Jean poussa le wagonnet.
    Etabli par Jean PELLEREY , le 10 août 1937
    Vu et vérifié par le surveillant et le chef de chantier soussignés, »
    Suivent les signatures  de ROUX et METRAL
    Terminé en 1937, le pont aura coûté 355.000 Fs dont 183.000 Fs à la charge de la commune et 172.000 Fs reçus de l'Etat sous forme de subvention.
    En 1937, c'est grande fête à Onnex !

    On pourrait  citer  encore d'autres cas de découverte.

    Une chose est sûr, c'est que Bérenger Saunière n'a pas dérogé à cette coutume. Que sont ces documents ?
    De quand ils datent ? Mentionne-t-il les noms des Architectes, des maçons, des ouvriers...Etc. ? Je ne crois pas !

     

     

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