• L'APARC, " Association pour la Préservation de l'Ame de Rennes-le-Château ", " Le Rapport Fagioli ", 31 mars 2010. (André Galaup)

    Voir sur le site de L'APARC : http://www.aparc-rennes-le-chateau.com/le_rapport_fagioli.htm 

    Mr Fagioli tient à remercier Mr André Galaup pour la présentation de son rapport sur le site de L'APARC, qui apporte de nouveaux documents d'Archives et d'autres à venir  sur les Mystères de Rennes-le-Château.

    On vient d'apprendre que le Conseil Général vient d'envoyer un courrier à la Mairie de Rennes-le-Château suite à l'envoi du rapport Fagioli au Président du Conseil Général (Mr Marcel Rainaud), il y a plusieurs semaines.

    Fagioli espère que ces travaux apporteront une nouvelle pierre à l'énigme de Rennes et qu'ils contribueront à faire connaître les vestiges enfouis depuis des millénaires sous l'ancienne cité. (Sans parler d'un hypothétique trésor...)

    A votre avis y a-t-il que des découvertes à faire en Egypte ???  En France on n'a pas de Pyramide (A part la Pyramide du Louvre) mais on a d'autres vestiges à découvrir, tel que des cryptes et tombeaux d'hommes célèbres !!!

    Fagioli pourrait bien demander l'appui d'un célèbre Archéologue Egyptien, le Dr Zahi Havass, qui est un spécialiste des fouilles en Egypte... Il vient d'avoir ses coordonnées par l'intermédiaire de l'Ambassade d'Egypte en France.

    Son site avec des belles photos sur les découvertes en Egypte : http://www.drhawass.com/

    Voir également sur Twitter : http://twitter.com/ZahiHawass 

    Fagioli est abonné au Twitter du Dr Zahi Hawass : http://twitter.com/home 

    Fagioli a également un Facebook : http://www.facebook.com/ 

     

     


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  • Réponse de la Sous-Préfecture de Limoux suite à l'envoi de son rapport, le 8  octobre 2009, N°90/NMB. (Olivier Tainturier, Sous-Préfet)

    Monsieur,

    Par courriels des 28 mai et 5 octobre 2009, vous m'avez fait parvenir divers documents relatifs à vos recherches entreprises sur le site de l'église paroissiale de Rennes-le-Château.

    Par le présent courrier, je vous apporte confirmation que j'ai bien pris note de votre démarche archéologique et des divers contacts étabis avec la Direction Régionale des Affaires Culturelles et de la Mairie de Rennes-le-Château.

    Je vous prie d'agréer Monsieur, l'expression de mes sentiments distingués.

    Le Sous-Préfet : Olivier TAINTURIER.


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  • Réponse de la Mairie de Rennes-le-Château suite à l'envoi de son rapport, le 15 juin 2009. (Alexandre Painco, Maire de Rennes-le-Château)

     

    Objet : Suite au courrier de la DRAC.

    Monsieur,

    Je reçois ce jour une lettre de la DRAC du Languedoc-Roussillon qui me fait part de la réponse qui vous a été faite à propos de vos recherches.

    Il va de soi que, le dossier demandé étant constitué, nous nous efforcerons d'être disponibles pour la suite qui seraient autorisées par la DRAC.

    Dans l'immédiat nous ne pouvons rien faire sinon attendre l'évolution de la situation et vous souhaiter bon courage pour le montage du dossier.

    Je vous prie d'agréer, Monsieur, l'expression de ma considération distinguéee.

     

    Le Maire : Alexandre PAINCO.


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  • Réponse de la DRAC du Languedoc-Rousillon suite à l'envoi de son rapport, le 4 juin 2009. N/réf : PhG/EJ/09-1604. (Henri Marchesi, Conservateur Régional de l'Archéologie) (Page 1)

     

    OBJET : 11- Rennes-le-Château- Projet d’étude dans l’église paroissiale.

     

    Monsieur,

    Vous avez communiqué auprès de la DRAC Languedoc-Roussillon une présentation assez détaillée de vos recherches sur le site de l’église paroissiale de Rennes-le-Château (Aude). Ce travail vous a permis de conclure à l’existence de cinq souterrains (un sixième probable). Vous abordez également la possibilité d’une cachette dans la tour Magdala qui renfermerait selon vous entre 15 et 20 parchemins dissimulés par l’abbé Saunière.

    Les recherches que vous avez entreprises jusqu’à maintenant sont uniquement fondées sur des analyses de textes dans le cadre d’un travail auquel vous vous consacrez depuis de très nombreuses années. Votre demande semble indiquer que vous souhaitez désormais vous engager dans une phase de travail sur le terrain afin de pouvoir confirmer vos premières hypothèses.

    Comme vous le savez très certainement, ce type de travaux relève des dispositions prévues par le législateur dans le Code du Patrimoine (Titre 1°, art. L. 510-1, relatif à la définition du patrimoine archéologique et Titre III, arts. L. 531 et suivants, relatifs aux fouilles archéologiques programmées et aux découvertes fortuites). C’est dans ce contexte réglementaire que doivent désormais s’inscrire vos recherches. Il va donc vous falloir constituer un dossier de demande d’opération archéologique qui sera soumis à l’examen de la Commission Inter-régionale de la Recherche Archéologique (CIRA). L’avis scientifique rendu par cette instance permettra l’instruction administrative de votre demande.

    Afin de constituer ce dossier un certain nombre de pièces est indispensable : L’autorisation écrite du (ou des) propriétaire(s) spécifiant la (ou les) parcelles(s) concernée(s) et précisant, dans la mesure du possible, le lieu de dépôt provisoire et la destination définitive du matériel archéologique qui sera découvert ; la situation précise du lieu où doivent être réaliser les recherches (extrait de la carte IGN au 1/25.000ème indiquant la localisation du site et du plan cadastral avec indication des zones de fouilles) ; le curriculum-vitae du responsable scientifique ; l’attestation de participation signée de chaque membre de l’équipe scientifique ; le projet scientifique de l’opération ; le descriptif des travaux envisagés ; la description des moyens matériel qui seront mis en œuvre ; et enfin, la photocopie du contrat d’assurance couvrant les risques encourus par le responsable de l’opération, les membres du personnel du chantier (salariés ou bénévoles) et les visiteurs de passage, à adresser au service régional de l’archéologie dès réception de l’autorisation et au plus tard une semaine avant le début de l’opération. Lorsque vous aurez réuni ces pièces, il conviendra de remplir le formulaire de demande. Vous trouverez ci-joints plusieurs modèles qui vous aideront dans la constitution du dossier.

    Lorsque vous aurez réuni ces pièces, il conviendra de remplir le formulaire de demande. Je sais que vous êtes en contact avec un de mes collaborateurs, Philippe Galant, auquel vous faites régulièrement part de l’avancement de votre démarche. Aussi, je lui ai demandé de vous aider dans l’élaboration de ce dossier en répondant aux questions que vous pourriez avoir au cours de sa constitution. C’est là une des missions de mon service à laquelle je suis très attaché.

    Ce type de travaux entrant dans le cadre de la recherche archéologique programmée, votre dossier complet doit être déposé auprès de mon service au plus tard au 30 novembre 2009 dans le cas où vous envisageriez la réalisation de vos travaux au cours de l’année 2010.

    Néanmoins et afin d’assurer une bonne gestion des opérations, je vous demanderais de me confirmer votre volonté d’engager ces travaux en 2010 par courrier afin que je puisse les inscrire dans la pré-programmation que j’établirai dès le mois de septembre 2009.

    En espérant avoir répondu à votre attente, je vous prie d’agréer, Monsieur, l’expression des mes sentiments les plus respectueux.

     

    Le Conservateur régional de l’archéologie : Henri MARCHESI

     


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  • Réponse de la DRAC du Languedoc-Roussillon suite à l'envoi de son rapport, le 40 juin 2009. N/réf : PhG/EJ/09-1604. (Henri Marchesi, Conservateur Régional de l'Archéologie) (Page 2)

     

    OBJET : 11- Rennes-le-Château- Projet d’étude dans l’église paroissiale.

     

    Monsieur,

    Vous avez communiqué auprès de la DRAC Languedoc-Roussillon une présentation assez détaillée de vos recherches sur le site de l’église paroissiale de Rennes-le-Château (Aude). Ce travail vous a permis de conclure à l’existence de cinq souterrains (un sixième probable). Vous abordez également la possibilité d’une cachette dans la tour Magdala qui renfermerait selon vous entre 15 et 20 parchemins dissimulés par l’abbé Saunière.

    Les recherches que vous avez entreprises jusqu’à maintenant sont uniquement fondées sur des analyses de textes dans le cadre d’un travail auquel vous vous consacrez depuis de très nombreuses années. Votre demande semble indiquer que vous souhaitez désormais vous engager dans une phase de travail sur le terrain afin de pouvoir confirmer vos premières hypothèses.

    Comme vous le savez très certainement, ce type de travaux relève des dispositions prévues par le législateur dans le Code du Patrimoine (Titre 1°, art. L. 510-1, relatif à la définition du patrimoine archéologique et Titre III, arts. L. 531 et suivants, relatifs aux fouilles archéologiques programmées et aux découvertes fortuites). C’est dans ce contexte réglementaire que doivent désormais s’inscrire vos recherches. Il va donc vous falloir constituer un dossier de demande d’opération archéologique qui sera soumis à l’examen de la Commission Inter-régionale de la Recherche Archéologique (CIRA). L’avis scientifique rendu par cette instance permettra l’instruction administrative de votre demande.

    Afin de constituer ce dossier un certain nombre de pièces est indispensable : L’autorisation écrite du (ou des) propriétaire(s) spécifiant la (ou les) parcelles(s) concernée(s) et précisant, dans la mesure du possible, le lieu de dépôt provisoire et la destination définitive du matériel archéologique qui sera découvert ; la situation précise du lieu où doivent être réaliser les recherches (extrait de la carte IGN au 1/25.000ème indiquant la localisation du site et du plan cadastral avec indication des zones de fouilles) ; le curriculum-vitae du responsable scientifique ; l’attestation de participation signée de chaque membre de l’équipe scientifique ; le projet scientifique de l’opération ; le descriptif des travaux envisagés ; la description des moyens matériel qui seront mis en œuvre ; et enfin, la photocopie du contrat d’assurance couvrant les risques encourus par le responsable de l’opération, les membres du personnel du chantier (salariés ou bénévoles) et les visiteurs de passage, à adresser au service régional de l’archéologie dès réception de l’autorisation et au plus tard une semaine avant le début de l’opération. Lorsque vous aurez réuni ces pièces, il conviendra de remplir le formulaire de demande. Vous trouverez ci-joints plusieurs modèles qui vous aideront dans la constitution du dossier.

    Lorsque vous aurez réuni ces pièces, il conviendra de remplir le formulaire de demande. Je sais que vous êtes en contact avec un de mes collaborateurs, Philippe Galant, auquel vous faites régulièrement part de l’avancement de votre démarche. Aussi, je lui ai demandé de vous aider dans l’élaboration de ce dossier en répondant aux questions que vous pourriez avoir au cours de sa constitution. C’est là une des missions de mon service à laquelle je suis très attaché.

    Ce type de travaux entrant dans le cadre de la recherche archéologique programmée, votre dossier complet doit être déposé auprès de mon service au plus tard au 30 novembre 2009 dans le cas où vous envisageriez la réalisation de vos travaux au cours de l’année 2010.

    Néanmoins et afin d’assurer une bonne gestion des opérations, je vous demanderais de me confirmer votre volonté d’engager ces travaux en 2010 par courrier afin que je puisse les inscrire dans la pré-programmation que j’établirai dès le mois de septembre 2009.

    En espérant avoir répondu à votre attente, je vous prie d’agréer, Monsieur, l’expression des mes sentiments les plus respectueux.

     

    Le Conservateur régional de l’archéologie : Henri MARCHESI

     


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  • Rennes-le-Château, " Le rapport FAGIOLI ", mai 2009. (Albert Fagioli)

    Voilà bientôt une année que Mr Fagioli a transmit son rapport intitulé " Les chemins de l'histoire ". Il avait transmit ce rapport à la DRAC de Montpellier, à la mairie de Rennes-le-Château, et au sous préfet de l'aude. Il a pensé qu'il était temps de rendre public ce rapport. Celui-ci a également était envoyé à madame la Ministre Christine Albanel et dernièrement au nouveau Ministre de la Culture, monsieur Frédéric Mitterrand.

    On peut dire aujourd'hui qu'il y a eut, comme étude sur l'église de Rennes-le-Château, " Le rapport Cholet ", puis " le rapport Saussez " et maintenant " Le rapport Fagioli ".

    ""Rennes-le-Château.""

    Les chemins de l’histoire.

     

    C’est en novembre 2008, sur mon blog que j’ai communiqué mes premiers comptes rendus de  recherches effectuées sur le site de Rennes-le-Château.

    Recherches qui avaient pour cadre, les possibles emplacements de deux cryptes et cinq départs de souterrains et les deux entrées de cryptes dans l’église placée sous le vocable de Marie-Madeleine (Volontairement, je ne précisais pas les possibles points terminaux)

    De ces recherches il en résulte que :

    -Trois départs de souterrains sont sur le même niveau de la grande crypte que je situe dans la nef, avec un accès direct par le cimetière qui jouxte l’église.
    -Les autres souterrains se situent à un niveau inférieur à la grande crypte.

     

    Voir croquis ou sont repères par A,B,C ,D ,E les cinq souterrains.

     

    Je tiens à préciser que ces données sont le fruit de recherches faites sur papier et archives à plus de 1000 kilomètres de Rennes-le-Château. Je n’avais aucune connaissance du lieu au préalable.

     

    Pour confirmer mes dires en début d’année 2009, je prenais contact avec la Mairie de Rennes-le-Château et sollicité l’autorisation d’une recherche plus poussée sur le terrain, a l’aide d’un  "Dowser"  matériel utilisé par les sourciers pour vérifier l’authenticité de mes révélations faites sur la toile.

    Je faisais part aux élus, de mon intention d’effectuer ces recherches sur le terrain en présence

    de témoins et le 5 mai profitant de quelques jours de congés je découvrais Rennes.

    Trois témoins oculaires , Messieurs André GALAUP , président de l’APARC (Association pour la Préservation de l’Ame de Rennes-le-Château) et Michel VALLET, auteur , éditeur et Philippe GOLOUBENKO, chargé de la Culture au sein de l‘équipe municipale, ont pu suivre mes travaux tout au long de la journée et attester des localisations de plusieurs départs et emplacements des cryptes dans l’église confortant mes dires.

     

    LES DIFFERENTS RELEVES :

    Faute de temps, aucun relevé précis au décamètre n’a pu être effectué par rapport aux murs de l’église, mais l’essentiel fut enregistré. Lors d’une prochaine visite, des relevés de points précis pourront être fournis à l’intention des Archéologues et Scientifiques qui voudront participer à des prochaines fouilles non destructives pour le moment. Ils pourront ainsi avoir des zones très précises à sonder avec leurs Radars de sol de type GPR. En espérant qu’ils puissent atteindre une certaine profondeur, qui leur sera communiqué plus tard.

    Les souterrains A, B, D sont au même niveau que la crypte. Les souterrains C et E sont à des niveaux inférieurs.

    -Le souterrain A s’arrête au niveau de l’ossuaire.

    -Le souterrain B prend la direction de l’arrière du château des Hautpoul. Je n’ai pas pu définir son point terminal car n’ayant pas eu l’accès aux jardins mitoyens au cimetière pour définir son tracé.

    -Le souterrain C prend la direction du sud du village, vers le jardin de Saunière. Idem que le précédent, je n’ai pas pu définir le point terminal, faute d’avoir accès aux propriétés se situant dans son passage.

    -Le souterrain D s’arrête sous la Villa Béthania.

    -Le souterrain E prend la direction du nord-ouest, en passant sous l’ancienne tombe de Saunière et se dirige en dehors de Rennes à plusieurs centaines de mètres de l’église. Ce souterrain fut recherché en dehors de Rennes en présence de monsieur Vallet. Monsieur Galaup n’étant pas présent à ce moment car il resta avec nous jusqu’en début d’après-midi. Je terminais donc ma prospection et visite du site avec monsieur Vallet.

    Il existe également un accès direct à cette crypte sur le côté gauche du clocher. Ce souterrain ne fait que quelques mètres.

    J’ai également localisé avec précision la petite crypte ou Tombeau des Seigneurs d’environ 3X3 mètres, qui se trouve près de l’autel. Par rapport à mon croquis fait sur mon blog, elle se trouve plus ou moins décalé d’environ 1 mètre par la gauche. Apparemment cette crypte à bien été confirmée par le rapport des archéologues américains et italiens (Le Professeur Robert Eisenman de l’université de Long-Beach et le Professeur Andréa Barattolo de l’université de Macerata), avec l’aide d’un Radar de sol, de type GPR, en 2001 et 2002, et en 2008 par Sir Richard Heygate (anglais).

    Ce compte rendu se trouve également dans le nouveau Musée de Rennes-Le-Château, sur la planche n°9. Trois campagnes de sondages eurent lieu dans l’église (avril 2001, mars 2002 et mai 2008.)

    A ce jour,  on ignorait la présence d’une seconde crypte dont je donne l’emplacement et d’où partent les souterrains.

    Lorsque Saunière parle de la découverte d’un tombeau, on pense : « Tombeau des Seigneurs près de l’autel », mais il pourrait bien s’agir d’un tombeau situé dans la grande crypte, dont l’accès devait se trouver soit sous la pierre tombale de la marquise d'Hautpoul ou à proximité. Cette crypte se trouve à un niveau plus bas que celle située près de l’autel.

    Nous devrions avoir un  un sixième souterrain dont l’entrée se trouverait dans le cimetière et  part en direction du village. Ce souterrain ne communique avec aucun des cinq cités précédemment. Il n’y a qu’une seule entrée et qui mène à une autre crypte, cave ou grotte.
    Cet accès était soit une tour ou un puit. Dans cette troisième crypte se trouve un dépôt monétaire…

    Le bilan de mon séjour a été très instructif pour les deux personnes présentes et moi-même, grâce à la confirmation de la présence de ces cinq souterrains, d’une entrée pour accéder à la grande crypte, des deux cryptes sous l’église, et la présence d’un sixième souterrain débouchant sur une troisième crypte.

    Un prochain dossier viendra compléter celui-ci avec des cotations par rapport aux constructions.

     

    En ce qui concerne un possible emplacement d’un coffret en bois caché par Saunière dans la Tour Magdala, contenant entre 15 et 20 parchemins. Il s’agit d’un travail en parallèle qui n’a rien à voir avec l’emplacement des souterrains. Voir sur mon blog les détails. Des appareils de types utilisés pour détecter des vides dans les pyramides seraient le bien venu pour trouver la bonne pierre de coin…Mais à mon avis il n’y en a qu’une.

    Rapport FAGIOLI sur l’église de Rennes-Le-Château, ses souterrains et ses cryptes.

    Albert Fagioli, né en 1963, à Metz, historien, auteur d’un « Essai Historique », " Le Testament du duc d’Enghien ou le secret du fabuleux trésor de Marthille ", aux Éditions Coprur à Strasbourg, en avril 2008.

    À effectué un travail de recherche concernant l’histoire du trésor de Marthille, en Lorraine, département 57. Ces recherches commencées en 1995, mon permis de « résoudre » cette énigme et de faire éditer mes travaux par la sortie d’un essai en avril 2008.

    Ce livre est en vente tant au Château de Chantilly, qu’au Château de Vincennes, ainsi que dans la ville d’Ettenheim en Allemagne (où vivait le duc d’Enghien).

    Blog : http://albert-fagioli.blogg.org ""

    Voici donc le rapport Fagioli.
    Mr Fagioli tient encore à remercier le personnel de la mairie et messieurs Galaup et Valllet.

     

    Voici également un passage de son livre concernant une des énigmes du testament du duc d'Enghien. (page 214)

    " Dans le château tu puiseras de l'eau pour tes chevaux, dont tu auras besoins par la suite.
    Prends'en plus qu'il ne te faut.
    N'oublie pas tes chariots.
    A 80 pieds tu prendras la direction du nord-est.
    Puis à l'aide d'une bougie tu feras les 90 pieds qui te mèneront à 4....r.
    Fait attentions aux gardiens.
    Sache que seul un initié pourra percer cette énigme sans perdre la vie."

    S'agit-il du Château de Rennes-le-Château ???

    Une énigme qui pourrait intéresser beaucoup de personnes !!! Comme les deux autres du testament du dernier des Condé...

    Pour Fagioli ce testament du duc d'Enghien pourrait être " Le testament le plus cher au monde " par ces révélations et ses trésors...

    A suive prochainement, les premières réponses de la DRAC et de la mairie de Rennes-le-Château. Et également de l'Etat français...

     


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  • Plan sommaire de l'église et propriété de l'Abbé Bérenger Saunière, curé de Rennes-le-Château de 1885 à 1917, l'or de Rennes, 1968. (Gérard de Sède)

    Mr Fagioli a retrouvé un plan sommaire de Rennes-le-Château qui est tiré du livre  "L'or de Rennes" de Gérard de Sède, de 1968, Editions René-Julliard.

    On peut voir sur ce plan le possible emplacement d'une ancienne église nommé "Saint-Pierre". Mr Fagioli vous demande de faire une superposition du croquis qu'il avait publié en novembre 2008 sur ce blog.

    http://albert-fagioli.blogg.org/themes-rennes_le_château___la_fin_d_un_mythe_-219837-offset-15.html 

    Vous pouvez remarquer que le souterrain C va en direction de l'église Saint-Pierre.

    Où va ce souterrain ?

    Où se trouve le point terminal de ce souterrain ?

    Vous verrez bientôt sur ce blog la copie du rapport intitulé "Les chemins de l'histoire", qu'il a envoyé en mai 2009, à la DRAC de Montpellier, à la mairie de Rennes-le-Château et au sous-préfet de Limoux.

    Dans celui-ci vous verrez qu'il n'a pas effectuer les recherches des points terminaux des souterrains B et C faute de temps et de moyen. (discrétion)

    Il indiquait même que le souterrain C et E se trouvait sur un niveau plus bas que la grande crypte de l'entrée de l'église.

    Souterrain E, car celui-ci sort de Rennes-le-Château.

    Souterrain C, car il prend la direction du sud et il y a une forte déclivité de terrain entre les deux églises.

    Si l'église Saint-Pierre est l'ancienne église de Rennes, il est tout à fait normal qu'il y ait eu un souterrain qui va de l'ancien château à l'église. Alors peut-être qu'il y a une petite crypte sous le choeur de l'ancienne église de Saint-Pierre. Si on continu le tracé du souterrain  C on peut voir qu'il arrive vers l'emplacement du choeur de l'église Saint-Pierre, encore une autre coïncidence.

    D'après ses recherches, dans le passé, Rennes-le-Château était une belle cité avec un château qui n'a rien à voir avec le château moderne des Hautpoul. L'ancien château se trouvait juste à l'emplacement du domaine de Saunière. Il y avait des tours et un Donjon, le domaine des seigneurs de ces lieux se trouvait bien le plus au nord de Rennes-le-Château (Le point le plus haut du domaine). De ce Donjon on pouvait accéder à une crypte et de celle-ci par l'intermédiaire de souterrains rejoindre plusieurs endroits du village et également sortir de celui-ci par un passage secret se trouvant dans l'ancien château.

    Le château avait certainement une chapelle Castrale et qui devait-être sûrement l'emplacement du choeur actuel de l'église Marie-Madeleine.

    Comme l'église de Manom en Moselle, dans le passé il n'y avait qu'une petite chapelle à l'emplacement de l'église actuel et elle se trouvait sur l'emplacement du choeur. Par la suite elle a été agrandie et élargie.

    L'ancien cimetière de Rennes-le-Château ne devait pas être à l'emplacement actuel. Il devait être :

    Soit dans la partie la plus basse où se trouve l'église Saint-Pierre.

    Soit en dehors du village.

    La partie haute du domaine était réservée aux seigneurs de Rennes.

    Chercher et imaginer la cité de Carcassonne en miniature et transporter là sur le domaine de Rennes... Avec quelques modifications...

    Transporter également les vestiges encore existant de Montségur à Rennes...

    Imaginer les remparts ou les doubles remparts qu'il devait y avoir.

    Pourquoi il existe des châteaux encore en bon état aujourd'hui et d'autres où l'on ne retrouve plus une pierre ?

    Saunière n'a-t-il pas voulu nous montrer comment Rennes-le-Château était au temps de sa splendeur, en construisant deux tours et ses remparts !!!

     

     


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  • Trésors du monde, Trésors de France, Trésors de Paris, enterrés, emmurés, engloutis, Editions Fayard, 1972. (Trésor de Rennes-le-Château) (Robert  Charroux)
    (Pages 247, 248, 249, 250, 251, 252, 253, 254, 255, 256, 257, 258, 259)

    Voici les compléments concernant l’affaire de Rennes-le-Château dans une réédition dix ans plus tard, Editions Fayard,en 1972.

     

     

    ""Des documents découverts récemment éclairent l'aventure d'un jour nouveau : il s'agirait de plusieurs trésors et l'un d'eux serait le trésor des Templiers ! ""

     

    LA DALLE MYSTERIEUSE

    Pour retrouver celui de Bérenger Saunière, il faudrait connaître le texte gravé sur la pierre tombale de « Marie de Negre d'Ablès, dame de Blanchefort, seigneuresse de la paroisse, décédée le 17e jour de janvier 1781 à l'âge de 61 ans ».
    Elle était la mère de noble Marie d'Hautpoul-Blanchefort qui le 26 septembre 1752 avait épousé son cousin, messire Joseph d'Hautpoul, chevalier et marquis.
    Cette pierre tombale se trouve dans l'ancien ossuaire du cimetière, mais Bérenger Saunière en a soigneusement gratté l'inscription.
    — Comme il est regrettable qu'un homme cultivé comme vous n'ait pas pris la précaution de prendre copie de l'inscription, remarqua un jour l'historien Ernest Cros !
    Le curé répondit que cette dalle convenait pour son projet de construction d'ossuaire et qu'en conséquence il n'avait aucune raison de la conserver, mais il éluda l'essentiel de la question.
    Toujours selon M. Cros, l'auteur de l'inscription funéraire était soit un membre de la famille d'Hautpoul, soit l'abbé Antoine Bigou, curé de Rennes de 1774 à 1790 et déporté en vertu de la loi du 26 août 1792.
    Il mourut en exil, probablement à Sabadelle, le 21 mars 1794.
    Avant de partir, il avait terminé, dans l'église, l'aménagement d'une crypte, commencée par la famille de Voisins et qui se situait partie dans le clocher, partie sous le dallage de l'église.
    En 1891, Bérenger Saunière découvrit la cachette et la vida de son trésor.
    Ce point est prouvé par les libéralités dont il fit preuve auprès de ses collègues des environs.
    A l'abbé Grassaud, curé de Caudiès-de-Fenouillèdes, il offrit un très beau calice et régla les notes de ses fournisseurs avec des bijoux de facture ancienne.
    Quand on questionnait Saunière sur le trésor il répondait :
    — On dit que j'ai trouvé un trésor ! Me l'an donat ley panât, ley trapat, en tôt cas bas teni !
    Voici, partiellement reconstitué par Ernest Cros, d'après les déclarations des habitants de Rennes-le-Château, le texte et le dessin du rébus qui fourniraient une des deux clés de l'énigme :
    PS
    REDDIS REGIS
    CELLIS ARCIS
    PRAE CUM

    Interprétation :
    PS : pars ; REDDIS : à Rennes ; REGIS : du roi ; CELLIS : dans les caves ; ARCIS : de la citadelle (autre sens possible) ; PRAE-CVM : des Hérauts (abrégé de « prae-comvm » :  hérauts du Christ, une des désignations des Templiers aux XIII* et XIV" siècles). D'où : « A Rennes, un trésor est caché dans les caves de la citadelle du Roi. Ce trésor appartenait aux Templiers. »

     
    Autre interprétation :
    PS : propriété.
    Régis : du roi.
    Reddis : à Rennes.
    Arcis : de Blanchefort (Blanca fortax, arcis).
    Cellis : dans les caves (ou cryptes).
    Praecum : venant des Templiers.

     

     


    LA PIERRE DE COUMESOURDE


    D'après une tradition tenace, et peut-être sans fondement, la pierre tombale ne donnerait que la première clé de l'énigme du trésor.
    La seconde clé serait gravée sur la dalle de Coumesourde qu'Ernest Cros découvrit en 1928, près de Rennes-le-Château, vers le sommet de la cote 532 de la carte de l'état-major.
    Depuis le XIII" siècle, les familles de Voisins, de Marquesave, d'Hautpoul et de Fleury détinrent, par legs successifs, le secret de l'emplacement d'une ou de plusieurs caches de trésors constitués pendant les troubles de la Révolution.
    Une chronique assure qu'en 1789, avant d'émigrer, les comtes de Fleury gravèrent « les indications énigmatiques du secret sur la dalle tombale de la dame de Blanchefort et aussi sur la pierre de Coumesourde ».
    L'un des trésors revenait de droit au roi (affaire des Infants de Castille, petit-fils de saint Louis).
    Un autre venait des Templiers (affaire des grandes familles du Roussillon appartenant au parti Majorquin), et les nobles ci-dessus mentionnés le considéraient comme leur bien depuis la disparition de l'Ordre.

    Ce trésor, réparti en deux caches, était enterré ou emmuré au XIVe siècle sur les terres de ces familles :
    — Au Bézu, au nord-est de Rennes.
    — Au Val-Dieu, au sud-est du bourg, au Casteillas ou dans le ruisseau de Couleurs.
    La pierre de Coumesourde était dissimulée dans une anfractuosité de rocher et signalée très discrètement par une flèche et une croix pattée, gravées en creux dans la roche.
    Voici le libellé et l'interprétation qu'en fit M. Cros, compte tenu des mots effacés ou illisibles :

    SAE : la Sauzée (Sauzils) ; SIS : les Roches ; + : croix pattée des Templiers : IN MEDIO LI LINEA : la bissectrice de l'angle SAE- * SIS ; UBI M SECAT = là où elle coupe le plus grand côté du triangle ; LINEA PARVA (sous-entendu : ubi M secat) : là où le côté le plus petit coupe le plus grand ; PS PRAECVM : une partie du trésor des Templiers ; + = croix des Templiers, désigne les Tiplies ou le roc du Bézu où cette croix gravée était encore visible en décembre 1958 (le même signe existait aussi en 1958 sur un rocher de Val-Dieu).
    On pourrait donc théoriquement situer le trésor en construisant sur une carte d'état-major, les figures géométriques indiquées par Ernest Cros.
    L'inscription aurait été tracée par un membre de la famille d'Hautpoul-Fleury, avant l'émigration.
    Mais deux difficultés majeures se présentent :
    — le texte de la dalle de la comtesse de Blanchefort, irrémédiablement détruit, n'est reconstitué que de mémoire.
    — dans ce que l'on possède du texte de Coumesourde, il manque des mots entiers, et la position des caractères gravés — extrêmement importante — est très approximative.
    La tâche des chercheurs de trésors est donc de retrouver le texte intégral.
    M. Ernest Cros qui était un disciple johannite (secte chrétienne orientale agréée par les grands baillis du Temple) fit porter la pierre de Coumesourde à Paris, soit dans sa famille, soit plus probablement, pense-t-on, au siège d'une société secrète.
    Depuis cette époque (1945-1946) la pierre est introuvable.
    Si quelqu'un, à qui elle ne peut servir, pouvait ou voulait bien donner des indications sur le texte exact et la disposition des mots gravés, le trésor des Templiers livrerait peut-être ses pièces d'or et ses documents précieux !
    Puisse ces lignes êtres lues par le détenteur de la pierre.

     

    L'INCROYABLE PIERRE ALQUIER !

    En 1960, M. Charles Abbot, ancien fonctionnaire de la police, qui habitait chez Mme L... 225, rue de Charenton, à Paris, nous a fait d'intéressantes révélations.

    Pendant la guerre 14-18, dit M. Abbot, j'étais en convalescence à l'hôpital de Choisy et j'avais, comme voisin de lit, un maçon d'Espéraza (Aude).
    Les journées étaient longues et nous bavardions le plus possible pour tuer le temps.
    C'est ainsi que ce maçon, dont j'ai oublié le nom, me parla du trésor de l'abbé Bérenger Saunière.
    H me dit qu'en 1917, craignant l'arrivée des Allemands, le curé avait fait combler l'ossuaire qui se trouvait, alors, tout de suite à droite en entrant dans le cimetière.

    En réalité, il ne s'agissait pas d'un ossuaire proprement dit, mais d'une fosse d'attente maçonnée où l'on mettait sans doute les cercueils en dépôt provisoire.
    Or, au fond de cette fosse, mon voisin de lit me dit qu'il avait remarqué, avec étonnement, une petite porte ou trappe donnant il ne savait où.
    En y réfléchissant bien, il croyait maintenant que cette affaire était en liaison avec celle du trésor dont on parlait beaucoup à Espéraza et à Rennes.
    Un autre témoignage, mais quelque peu suspect, est celui de M. Pierre Alquier de Perpignan, portefaix au marché de la place de la République, avec qui nous étions en correspondance en 1959, par l'intermédiaire de Mme Marie-Thérèse Rivallier, 23, rue Duchalmeau, car notre informateur ne savait ni lire, ni écrire.
    Il était originaire d'Espéraza et manœuvre dans sa jeunesse, ce qui laisse supposer que son histoire est peut-être véridique.
    Je ne me souviens plus à quelle date, mais c'était au mois de mai, nous a dit Pierre Alquier... peut-être en 1916, car j'étais tout gosse, que le curé Bérenger Saunière me demanda de monter à la cure, pour un travail de confiance.
    C'était bizarre, car j'habitais Espéraza et il devait y avoir, à Rennes et à Couiza, des ouvriers plus vieux et plus qualifiés que moi, mais il est vrai que la main-d'œuvre était rare, vu que les hommes valides étaient tous à la guerre.
    Entre le château et l'église, le curé m'a fait creuser un trou de six à huit mètres. Nous avons trouvé, fermé par une grille de fer toute rouillée, un souterrain qui allait du côté de l'église. Avec ma pioche, j'ai fait sauter la serrure.
    Il y avait ensuite une galerie de trois mètres de longueur environ et nous avons pénétré dans une crypte remplie de trésors, d'armes et de squelettes.
    Je n'ai touché à rien, le curé ne l'a pas voulu.
    Il m'a dit de m'en aller et m'a remis six mille francs d'argent pour ma peine, en me commandant de toujours tenir ma langue.
    Mais il y a bien longtemps de ça !
    A mon avis, la chambre aux trésors devait se situer sous le château du curé.
    La galerie qui y mène sort sous la sacristie et le diable au milieu de la chapelle (?) (1).

    Cette relation bizarre mérite-t-elle d'être prise en considération ?
    Nous en doutons fortement, car Pierre Alquier qui dort habituellement à la belle étoile est bien capable d'inventer une histoire pour peu qu'on le pousse au cabaret !
    De plus, s'il est né en 1908 comme il le dit, il avait huit ans quand le curé l'employa comme terrassier, ce qui est bien peu croyable !
    Quoi qu'il en soit, le trésor a existé, et il existe certainement encore, comme semble le suggérer cette lettre figurant dans les archives de M. Corbu et écrite par un de ses amis au curé :
    « Tu ne peux rien dire publiquement, mais confesse-toi, tu seras absous car tu n'as rien à te reprocher. »
    Hélas ! Bérenger Saunière ne voulut jamais se confesser au sujet du trésor, sinon à sa maîtresse, Marie Denarnaud.
    Pourtant, le secret n'est pas impénétrable.
    Un habitant de Rennes-le-Château qui en sait peut-être long a dit un jour à un membre du Club des Chercheurs de Trésors :
    — Le secret du curé aux milliards est au fond d'une tombe, il s'agit seulement de trouver laquelle...
    Un jour donc, les milliards cachés par le vieux curé seront Peut-être trouvés par le fossoyeur, et ce sera tant pis pour la petite cité perchée sur son piton rocheux : elle perdra le plus clair de son mystère... ou le plus sombre, si l'on préfère !

    (1) Cette indication est certainement fausse. Le « diable » est le bénitier supporté par un diable qui est placé à l'intérieur de l'église, à gauche quand on y entre. La sacristie est loin de ce point. ""

     

    Voici donc les compléments concernant l'énigme de Rennes-le-Château publié par Robert Charroux dix ans après son premier livre, "Trésors du Monde" en 1962. On y parle du possible trésor des Templiers, puis de la dalle mystérieuse, de la pierre de Coumesourde et deux récits, l'un d'un maçon de Bérenger Saunière et l'autre d'un certains Pierre Alquier.

    Ces récit sont-ils vrais ? Ou quels détails sont  vrais dans ces récits ?

     


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  • Trésors du Monde, Editions Fayard, 1962. (Trésor de Rennes-le-Châteaux) (Robert Charroux)
    (page 259, 260, 261, 262, 263, 264, 265, 266, 267)

    Robert Charroux :
    Robert Charroux nous a quittés le 24 juin 1978 en faisant un dernier pied de nez à ses détracteurs, à ces esprits stratifiés d’un monde qu’ils voudraient immuable et statique. Charroux le païen, Charroux le chercheur de vérité, Charroux l’hérétique, est parti en pleine lumière, le jour du solstice d’été ! De son vrai nom Robert Grugeau, il naquit le 7 avril 1909 à Peyroux (Vienne), et fit ses études au collège de Civray. En 1927 il entra au PTT comme surnuméraire. Déjà l’envie d’écrire le démangeait , mais ce n’est qu’en 1942 qu’il rédigea sa première nouvelle sous le nom de Charroux, peu avant de quitter la Poste, en 1943, Robert va choisir un autre pseudo : « Saint Saviol ». Ce ne fut sans doute pas un hasard. C’est ainsi que naquit le Club International des Chercheurs de Trésors, dont il prendra la présidence, secondé par Yvette son épouse, qui quelques années plus tard le suivra dans toutes ses difficiles aventures. Lors de ses recherches, Robert découvrira des vestiges archéologiques non répertoriés et des ruines chargées de ce qu’il nommait de Mystérieux Inconnu. Ces énigmes ne pouvaient laisser sa sensibilités intuitive et lucide sans réaction. Avec frénésie, il parcourra le monde à la découverte d’un passé oublié. Ses premiers voyages donnèrent naissance à « L’Histoire Inconnue des Hommes depuis 100 000 ans » (1967), livre qui lui valut de recevoir des milliers d’informations collectées par des lecteur répartis sur les cinq continents.

    Voir sur : http://cybermees.monserveurperso.com/dotclear/index.php?2006/01/03/67-robert-charroux-grugeau-ecrivain-aventurier 

    ou http://fr.wikipedia.org/wiki/Robert_Charroux 

     

    " Trésor de Rennes-le-Château : huit milliards dans une tombe. "

    Historique est le trésor de Rennes-le-Château, petit bourg de France dans les monts des Corbières, à soixante kilomètres au sud de Carcassonne.
    Son église et ses quelques maisons sont perchées sur un piton rocheux auquel on accède par une rampe sévère de cinq mauvais kilomètres.
    Il a presque fallu un miracle pour qu'un trésor soit caché en ce bout de monde où les autos ne grimpent qu'à grand-peine, sans guère pouvoir se croiser en cours de route.

     

    " Pourtant, il y a un trésor à Rennes-le-Château, un authentique trésor puisqu'il fut trouvé il y a un demi-siècle par le curé Bérenger Saunière, qui après l'avoir entamé — oh ! à peine sans doute —, le légua à sa servante-maîtresse, la jolie Marie Denarnaud, laquelle le légua à son tour à M. Noël Corbu.
    Mais l'héritage de Marie Denarnaud fut incomplet puisqu'elle mourut sans avoir eu le temps de révéler la cachette.
    Depuis, M. Corbu détecte, pioche, creuse, sonde, dans l'espoir de mettre au jour les pièces d'or, d'argent, les bijoux et les pierres précieuses du trésor évalué à huit milliards, et que des historiens sérieux pensent être le trésor de la France du XIIIe siècle.

     

     

    Jadis, il y a sept cents ans, dit Noël Corbu, il y avait à Rennes une ville de trois mille âmes et une ceinture de remparts dont on retrouve encore des ruines.
    En cherchant le trésor j'ai découvert des monnaies anciennes, des poteries, des armes et les squelettes qui équipent mon petit musée.
    Selon des historiens de Carcassonne, la genèse du trésor remonterait à février 1250. A cette date la révolte des pastoureaux déclenchée dans le Nord de la France par le mystérieux « Maître de la Hongrie », battait son plein et la vague des serfs et des gueux déferlait vers le midi.
    Blanche de Castille, régente de France, vint à Rennes-le-Château — que l'on appelait alors Rhedae — pour y mettre à l'abri, dans la puissante citadelle, le trésor de la France que menaçaient à la fois les pastoureaux et les sourdes cabales de la noblesse. Notez, en passant, que la citadelle de Rhedae passait pour imprenable et se situait sur la route d'Espagne, où Blanche de Castille savait pouvoir trouver refuge en cas de danger.
    Elle fit déposer le trésor dans la salle souterraine du donjon. Du moins on le pense.
    Certes, on s'explique mal que le trésor soit demeuré intact si longtemps, surtout durant l'année 1251 au cours de laquelle saint Louis aurait eu tant besoin de subsides que ne pouvait lui envoyer sa mère.

     

    Bref, M. Corbu pense que ce trésor constituait une réserve où l'on ne devait puiser qu'en cas de péril urgent.
    Blanche de Castille mourut en 1252 après avoir révélé le secret à saint Louis qui le confia à son fils Philippe le Hardi.
    Ce dernier mourut à Perpignan sans avoir eu le temps de dire à Philippe le Bel le secret de Rhedae.
    En 1645, on reconstruit Rhedae qui devient Rennes-le-Château ; l'antique forteresse, légèrement déplacée, s'érigeait à l'emplacement de l'actuelle propriété de M. Corbu.
    C'est alors que commence la véritable histoire du trésor perdu et trouvé.
    Trouvé d'abord au XVIIe siècle par un berger du nom d'Ignace Paris, qui ayant égaré une de ses brebis, l'entendit bêler au fond d'une crevasse où il descendit.
    Mais la brebis, apeurée par l'irruption du berger, s'enfuit par une galerie.
    Toujours à sa poursuite, Ignace Paris déboucha dans une crypte « remplie de squelettes et de coffres », les premiers effrayants, les seconds au contraire pleins d'attraits.

    Il remplit ses poches de pièces d'or, s'enfuit épouvanté après coup, et rentra chez lui.
    Sa subite fortune fut vite sue de tout le village, mais Ignace eut la maladresse de ne pas vouloir en révéler l'origine, et accusé de vol il fut tué sans avoir pu divulguer le secret de la crypte.
    Y eut-il éboulement à l'entrée du souterrain ? On ne sait, mais jusqu'en 1892 il ne fut plus question du trésor dont les parents du berger ne devaient pas connaître l'emplacement.

    Un événement fortuit à cette époque, fit entrer en jeu le curé Bérenger Saunière.
    Il avait obtenu la cure de Rennes en 1885, et fut tout de suite adopté par la famille Denarnaud dont la fille Marie avait dix-huit ans et travaillait comme chapelière au bourg d'Espéranza.
    Les Denarnaud, logés à l'étroit, ne tardèrent pas à venir habiter la cure.
    En 1892, le curé Bérenger jouissait de l'estime certaine de ses paroissiens, tant par son zèle que par sa bonne humeur.
    C'est alors qu'il obtint un crédit municipal de deux mille quatre cents francs pour refaire le maître-autel wisigothique et la toiture de son église.
    Le maçon Babon de Couiza se mit au travail et un matin à neuf heures, il appela le curé pour lui montrer dans un des piliers de l'autel quatre ou cinq rouleaux de bois, creux et fermés à la cire.
    — Je ne sais pas ce que c'est ! dit-il.
    Le curé ouvrit l'un des rouleaux et extirpa un parchemin écrit, pense-t-on, en vieux français mêlé de latin, où l'on pouvait à première vue discerner des passages de l'Evangile.

    — Bah, dit-il au maçon, ce sont de vieilles paperasses qui datent de la Révolution. Ça n'a aucune valeur !
    Babon à midi alla déjeuner à l'auberge, mais une pensée le tracassait, si bien qu'il en fit part autour de lui. Le maire vint aux renseignements ; le curé lui montra un parchemin auquel le brave homme ne comprit goutte et l'affaire en resta là.
    Pas tout à fait cependant, car Bérenger Saunière prit sur lui d'arrêter les travaux de l'église.
    Voici d'après M. Corbu ce qui dut se passer ensuite :

     

    Le curé cherche à déchiffrer les documents ; il reconnaît les versets de l'Evangile et la signature de Blanche de Castille avec son sceau royal, mais la suite demeure un rébus. Il va donc à Paris en février 1892 consulter quelques linguistes à qui par prudence il ne donne ses documents que par fragments.
    Je ne puis pas révéler les sources de mon information [c'est Noël Corbu qui parle] mais puis assurer qu'il s'agissait du trésor de la Couronne de France : dix-huit millions en cinq cent mille pièces d'or, des joyaux, des objets du culte, etc.
    Le curé revient à Rennes sans connaître exactement le point de la cachette, mais avec des indications précieuses et suffisantes.
    Il cherche dans l'église. Rien !
    Marie, pour sa part, est intriguée par une vieille dalle du cimetière portant une inscription bizarre ; c'est la pierre tombale de la comtesse Hautpoul-Blanchefort. Si le trésor était dessous ?
    Le curé ferme à clef la porte du cimetière et, aidé de Marie, durant plusieurs jours, se livre à un mystérieux travail. Un soir, ils sont récompensés de leurs efforts et finissent par reconstituer le puzzle, dont les inscriptions de la pierre tombale leur avaient donné les premiers éléments.
    Dès cet instant la situation de Marie Denarnaud change à la cure : elle devient la confidente, la collaboratrice.
    Je crois savoir qu'il existe six entrées menant à la cachette, dont celle du donjon qui déjà en 1892 avait disparu.
    Sur un des parchemins il y a des lignes comptées en toises qui partent du maître-autel. Marie et le curé mesurent avec des ficelles et trouvent un point terminal en un endroit qu'on appelle le « château », terrain vague maintenant ; ils creusent et trouvent le souterrain et la crypte au trésor où jadis le berger Paris avait abouti.

    Les pièces d'or, les bijoux, les vaisselles précieuses sont là ternis par une épaisse couche de poussière, mais intacts.
    Ils arrêtent un plan : le curé ira en Espagne, en Belgique, en Suisse, en Allemagne changer les pièces, et il expédiera l'argent par la poste, à Couiza au nom de Marie Denarnaud.
    C'est ce qu'ils firent non sans danger et difficulté pour rapatrier les capitaux.

    Quoi qu'il en soit, en 1893, le curé Saunière est riche, très riche... tellement, qu'à ses frais il commande toutes les réfections de la toiture et de l'église qu'il embellit de façon somptueuse.
    Il fait réparer le presbytère, construire le mur d'enceinte du cimetière, édifier un kiosque dans un splendide jardin à rocailles et à jets d'eau.
    De plus, il achète de beaux meubles, des robes de grand prix pour Marie ; il fait venir du rhum de la Jamaïque, des singes de l'Afrique, il engraisse ses canards de basse-cour avec des biscuits à la cuillère — pour qu'ils aient la chair plus fine, — élève des chiens d'agrément...
    Bref, c'est la grande vie à Rennes-le-Château où l'on tient table ouverte — et quelle table ! — pour toute la gentry des alentours.
    Le curé achète des terrains, des maisons, mais au nom de Marie Denarnaud, et la jolie brunette aux yeux malicieux, à la taille fine, devient une véritable châtelaine.
    Quand il est en déplacement, le curé lui écrit :
    « Ma petite Marinette, que deviennent nos bêtes ?
    « Fais une caresse à Faust et à Pomponnet [les chiens], bonne santé aux lapins. Adieu Marie. Ton Bérenger... »
    A vrai dire, d'autres belles partagent aussi le cœur du milliardaire. On a avancé les noms d'Emma Calvet, de la belle comtesse de B. et de bien d'autres !
    Car cette fortune subite a tourné la tête au prêtre et l'a fait sombrer dans la mégalomanie ; il rêve de construire un château ! Mais, prudent malgré tout, il a soin de détruire les indications qui l'ont mené à la crypte ; dans le cimetière, il gratte les inscriptions de la dalle funéraire de la comtesse, et met les parchemins dans la salle aux trésors.
    Le maire vient lui faire des reproches au sujet de la tombe saccagée et des richesses dont il dispose, mais le curé rit de ses craintes, lui parle de l'héritage d'un oncle d'Amérique et lui donne cinq mille francs en or.
    Le maire reviendra souvent à la charge... pour le même prix !
    Mgr Billard, évêque de Carcassonne, s'inquiète lui aussi du comportement de son prêtre, mais là encore, avec de l'argent, de bons vins et de la bonne chère les difficultés sont aplanies.

     

    En 1897, Bérenger Saunière fait commencer la construction de la villa Béthania, avec les remparts et la tour qui coûteront la bagatelle d'un million-or ; pour avoir des fleurs à belle année il fait édifier une serre sur le chemin de ronde.
    Le successeur de Mgr Billard, Mgr de Beauséjour, vient jouer les trouble-fête : il demande des explications à Bérenger, le convoque en Cour de Rome et finalement prononce contre lui l'interdiction.
    Un nouveau curé est nommé à Rennes-le-Château, mais Saunière n'en a cure, et dans la chapelle de sa villa continue à dire sa messe qui rassemble d'ailleurs la quasi-totalité des paroissiens si bien que le nouveau venu, écœuré, prend le parti de ne plus faire le rude chemin Couiza-Rennes.
    Bérenger prépare aussi un nouveau plan d'embellissement : il veut surélever la tour, construire une route jusqu'à Couiza, acheter une auto, faire l'adduction d'eau dans tout le village ; son devis se monte à huit millions-or (en 1914) soit environ huit milliards de francs légers. Cet argent, le curé l'a en espèces.
    Le 5 janvier 1917, il signe des bons de commande, mais une cirrhose du foie l'emporte le 22, avant qu'il ait pu donner corps à son projet
    Marie, désolée, dispose le défunt sur la terrasse, assis dans un fauteuil recouvert d'une couverture à pompons rouges et tous les villageois viennent prier et emportent chacun un pompon comme relique du saint homme.
    Marie Denarnaud est désormais seule maîtresse de Rennes-le-Château car tout a été mis à son nom, mais elle finit sa vie quasi cloîtrée, ne recevant plus de visites, et il est probable qu'elle ne revint jamais à la crypte au trésor.

     

    Voilà ce que dit Noël Corbu, troisième personnage du roman et héritier de Marie Denarnaud.
    M. Corbu connut Marie à la fin de sa vie, de 1946 à 1953, tout à fait par hasard.
    Avec sa femme, il prit pension chez elle et sut lui inspirer confiance et amitié.
    — Ne vous faites pas de mauvais sang,  monsieur Corbu, lui dit-elle un jour. Vous aurez plus d'argent que vous ne pourrez en dépenser !
    — D'où le sortirez-vous ? demanda Noël.
    — Ah ça... je le dirai quand je mourrai !
    Le 18 janvier 1953, elle tomba malade, sombra dans l'inconscience et mourut en emportant son secret.
    Voilà donc de nouveau le trésor de Blanche de Castille perdu et bien perdu cette fois, semble-t-il !
    Mais en fait, rien ne prouve que ce trésor soit celui de la mère de saint Louis. Certains avancent qu'il s'agirait du trésor d'Alaric dont la capitale était Rennes-le-Château ; d'autres, et c'est plus vraisemblable, penchent pour le trésor des Cathares en tenant compte du fait que Rennes était leur deuxième citadelle après Montségur.

    Quoi qu'il en soit, le trésor a existé, et il existe certainement encore, comme semble le suggérer cette lettre figurant dans les archives de M. Corbu et écrite par un de ses amis au curé :
    « Tu ne peux rien dire publiquement, mais confesse-toi, tu seras absous car tu n'as rien à te reprocher. »

    Hélas ! Bérenger Saunière ne voulut jamais se confesser au sujet du trésor, sinon à sa maîtresse, Marie Denarnaud.
    Pourtant, le secret n'est pas impénétrable.
    Un habitant de Rennes-le-Château qui en sait peut-être long a dit un jour à un membre du Club des Chercheurs de Trésors :
    — Le secret du curé aux milliards est au fond d'une tombe, il s'agit seulement de trouver laquelle...
    Un jour donc, les milliards cachés par le vieux curé seront Peut-être trouvés par le fossoyeur, et ce sera tant pis pour la petite cité perchée sur son piton rocheux : elle perdra le plus clair de son mystère... ou le plus sombre, si l'on préfère !"

     

     

    Mr Fagioli a réussi à retrouver le premier livre de Robert Charroux aux Editions Fayard de 1962, il  a retrouvé par la suite une réédition intitulé " Trésors du Monde, Trésors de France, Trésors de Paris, enterrés, emmurés, englouties," chez Fayard en 1972.

    On a là une version sur l'histoire de Rennes-le-Château publié en 1962. On parle qu'il y aurait six entrées qui mèneraient à la cachette dont celle du Donjon. Apparemment cela semble très intéressant si on regarde le croquis fait par Mr Fagioli sur l'emplacement d'une crypte dans l'entrée de l'église avec ses départs de souterrains. Nous avons bien six entrées possibles !

     

    http://albert-fagioli.blogg.org/themes-rennes_le_château___la_fin_d_un_mythe_-219837-offset-10.html 

     

    On parle également d'un parchemin sur lequel il y a des lignes comptées en toises partant du maître d'autel. Encore une autre coïncidence concernant des souterrains mais apparemment d'après Fagioli ils ne partent pas du maître d'autel mais de l'entrée de l'église.

     

    Si Mr Fagioli avait écouté toutes les conlusions des chercheurs d'hier à aujourd'hui il aurait placé le croquis de la crypte avec ses souterrains sous le maître d'autel de l'église, mais il n'en fût pas le cas, en novembre 2008.

    http://albert-fagioli.blogg.org/themes-rennes_le_château___la_fin_d_un_mythe_-219837-offset-15.html 

     

    Encore une chose intéressante : " Dont celle du Donjon qui déjà en 1892 avait disparu." Lesquels de ces souterrains conduisaient au Donjon, A, B, C, D, E ?  Où était le Donjon ? Le clocher ! L'ossuaire ! La Villa Béthania ! La tombe des Hautpoul ! Où ... !

     

    Imaginer Rennes-le-Château il y a environ 1000 ans à 1500 ans. Y'avait-il un Donjon ? Y' avait-il des caves ou cryptes ? Y'avait-il des souterrains ? Y'avait-il des remparts, voir des doubles remparts ?

     

    Bizarre qu'aujourd'hui on a retrouvé aucune crypte et aucun souterrain à Rennes-le-Château !!!

     

     

     


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  • La dalle des Chevaliers. (Rennes-le-Château)

    Mr Fagioli a lu et relu sur le site de l’APARC,

    http://www.aparc-rennes-le-chateau.com/etranges_découvertes.htm  un récit de l’abbé Maurice-René Mazières, ancien prêtre de Campagne sur Aude et  grand historien régional.

    Nous  reproduisons tel que l'abbé Mazières  l’a entendu de la bouche même d’un de ses amis, lorsqu’il était prêtre à Campagne  le passage qui demande toute notre attention et toute notre vigilance sur les possibles interprétations des mots.

     "J'ai connu à Campagne sur Aude, un ancien enfant de chœur de Bérenger Saunière, M. Rousset, qui avait une dizaine d'années à cette époque. Ce dernier avait bien souvent fait le récit chez lui et à ses amis de Campagne de l'aventure qui lui était alors arrivée et à six de ses camarades du catéchisme :
        "Demain c'est jeudi, vous viendrez m'aider, nous avons à faire quelque chose dont je vous demande d'observer la plus grande discrétion auprès de vos parents et gens du village. Je vous récompenserai par un succulent goûter que vous servira  ma bonne Marie.

    On imagine la joie des enfants d'une telle confiance. Le lendemain, à l'heure convenue, ils étaient tous là, à la porte de l'église. Le curé les fit entrer et là, surprise générale, les enfants aperçoivent,  plusieurs barres à mine enfoncées dans la terre, prêtes à faire levier pour débloquer une dalle qui avait été mise à jour et qui se trouvait devant le Maître-Autel, au centre de la nef. Ensemble dit l'abbé, nous allons essayer de la dégager. Après maints efforts, ils y parvenaient."
    Le curé regardant sa montre leur dit: "Il va être midi, rentrez chez vous pour manger. Ne parlez de cela à personne et à  4 heures, revenez,  le goûter vous attend." A 4  heures ; Ils étaient tous là,
    mais surprise la dalle avait retrouvé sa place, les barres  posées au sol.
    Comme leurs aînés maçons lors d'une précédente découverte, ils demandèrent des précisions au curé qui resta très évasif: "ce ne sont que des tombes, on ne peut pas aller plus loin".
    "Mais les marches taillées dans le roc que nous avons aperçu, rétorqua l'un des enfants à l'esprit plus curieux que les autres?
    M. Rousset était formel, lui aussi avait bien vu des marches taillées grossièrement dans le roc,  assez hautes, difficiles à franchir et puis le noir.
     L'abbé de répondre : "Elles sont naturelles".
     M. Rousset sera certain des dires qu'il avançait
    . La faille entrevue devait aller de la dalle jusqu'au pilier de l'entrée de l'église.
    La dalle fut ensuite enlevée et la cavité comblée. M. Rousset a souvenance que la face enterrée de la dalle révélait une très belle sculpture représentant deux cavaliers (Il s'agit de la dalle dite des chevaliers qui se trouve aujourd'hui au musée.) »

     

    Que recouvrait cette dalle des Chevaliers ?  Des escaliers?

    D’après le récit on peut penser qu’il y avait un escalier qui partait de l’endroit où se trouvait cette dalle et descendrait en direction du pilier de l’entrée de l'église, là l'on  trouve le diable Asmodée.
    Ne mettant pas en doute le récit de l'abbé Mazières, nous ne pouvons qu'admettre   que les révélations faites par Mr Fagioli concernant l’emplacement d’une crypte à l’entrée de l’église étaient exactes. (Sans parler du caveau des Seigneurs qui se trouve près de l’autel)

    Voir les croquis publiés en novembre 2008 sur son site et qui ont été confirmés en mai 2009 en présence de messieurs André Galaup et Michel Vallet, lors de la visite de Mr Fagioli à Rennes-le-Château.

    M. Fagioli qui après sa venue à Rennes a adressé un rapport intitulé «  Les Chemins de l’histoire » à la DRAC de Montpelier, la mairie de Rennes-le-Château, la sous-préfecture de l’Aude, en mentionnant qu’il  préparait un dossier de fouille internationale à Rennes-le-Château.

    http://albert-fagioli.blogg.org/themes-rennes_le_château___la_fin_d_un_mythe_-219837-offset-10.html

    Quelle analyse fait M. Fagiloi après la lecture de ce récit:

    Que le diable regarde bien en direction de la crypte qui se trouve à l’entrée de l’église et que nous sommes au point de départ d'un passage secret qui partirait de la dalle des Chevaliers (passage étroit et avec des escaliers très hauts, car sûrement faute de distance pour avoir des escaliers normaux pour rejoindre un certain lieu…)
    Mais où mènent ces escaliers?
    A la crypte qui se trouve dans l’entrée ? Peut-être !!!

    Autre analyse de Mr Fagioli, ce petit corridor étroit avec des escaliers de grandes hauteurs rejoindrait une tour qui devrait se situer au niveau (Dans la zone) du pilier de l’entrée de l’église. De cette tour on pouvait  accéder à la crypte de l’entrée et également sortir par un des souterrains en dehors de Rennes-le-Château.

    Ou peut-être il ne s’agit que du passage secret qui permettait de sortir de Rennes-le-Château…

    D’après ses recherches M. Fagioli  affirme que le véritable accès à la crypte de  l’entrée de l’église se trouve dans le cimetière côté gauche du clocher.

    Après toutes ses analyses M. Fagioli posse la question: A quand des sondages officiels dans l'église de Rennes-le-Château.

    L'APARC apporte une pierre et une vision nouvelle sur cette affaire.

     


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  • L'APARC, (Association pour la Préservation de l'Ame de Rennes-le-Château). (Président, André Galaup)

    Depuis quelques semaines vous pouvez-vous rendre sur le nouveau site de l'APARC, il va s'enrichir par de nombreux documents anciens et nouveaux.
    Mr Fagioli conseille à tous les amoureux de Rennes-le-Château et de son mystère, d'aller faire un petit détour par celui-ci.

    Vous pouvez également faire part de vos commentaires, de vos recherches... Vous avez la parole...
    http://www.aparc-rennes-le-chateau.com/vous_avez_la_parole.htm 

    " L'histoire de Rennes-le-Château, outre le mystère qui entoure l'oeuvre qu'entreprit l'abbé Bérenger Saunière, ne doit pas nous faire occulter le passé historique de cette région qui au cours des siècles a vu s'y succéder toutes les civilisations  et dont  l'antique forteresse est là, bien présente, pour nous remettre en mémoire ce si riche passé.

    N'est ce pas cette "AME", et cette richesse culturelle que l’APARC, "Association pour la Préservation de l’Ame de Rennes-le-Château"  s’est donnée pour mission de défendre et préserver ?

    Les envahisseurs en des temps reculés ont essayé de se l'approprier, ils ont été déboutés, les vainqueurs eux, au prix de sacrifices nous ont légué cet héritage que  nous devons garder et léguer aux générations futures.

    Rennes-le-Château, ce n'est pas seulement l'affaire de son curé, mais l'Histoire d'une région: le Razès. " "André Galaup "

    http://www.aparc-rennes-le-chateau.com/ 

     


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  • Assemblée Générale de " Terre de Rhedae ", le samedi 9 mai 2009, à Rennes-le-Château. (Antoine Captier, président)

    Monsieur Fagioli a profité de son séjour dans l'Aude pour venir à l'assemblée Générale de Terre de Rhedae. Il remercie monsieur Antoine Captier et sa femme, Claire, pour leur accueil. Il a fait la connaissance de monsieur Philippe Goloubenko, (conseiller municipal) et de monsieur Alexandre Painco (maire).

    Après la conférence de monsieur Daniel Dugès sur son dernier livre " Entre la rose et l'équerre ", édition Arqa 2008, vint le pot de l'amitié.
    http://www.daniel-duges.com/Site/Accueil.html

    Lors de celui-ci monsieur Fagioli fut surprit de retrouver une ancienne connaissance qu'il n'avait pas vu depuis environ cinq ans. Il s'agissait de monsieur Gérard Rival,(Géophysicien), ancien ingénieur aérospatial à la retraite qui s'intéresse toujours de très près à l'histoire de Rennes-le-Château. (Voir les photos de nos retrouvailles). Une personne très sympathique qui avait fait un petit voyage en compagnie de sa femme en septembre 2003 pour une petite visite sur un site en lorraine... de Bordeaux à Metz.

    Une  rencontre également avec monsieur Christian Doumergue auteur de plusieurs ouvrages sur Marie Madeleine :
    http://www.christiandoumergue.com/

    Sans oublier la rencontre avec Rose et Serge Drevard, propriétaires de chambres d'Hôtes " Les Angelots, La Maison du Pont " à Rennes-les-Bains :
    http://www.chambres-rennes-les-bains.com/

    Quelques photos du verre de l'amitié :
    http://www.kizoa.com/i-Contact/sflite.swf?did=525935&kc=8633673 

     


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  • Rennes-le-Château, mai 2009. (Albert  Fagioli)

    Quelques photos du domaine :

    http://www.kizoa.com/i-Contact/sflite.swf?did=525336&kc=4765496 

     


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  • L'Orangerie de Rennes-le-Château, mai 2009. (Albert  Fagioli)

    Quelques photos de l'Orangerie :

    http://www.kizoa.com/i-Contact/sflite.swf?did=525120&kc=6623928 

     


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  • La Tour Magdala, mai 2009. (Albert  Fagioli)

    L'une des constructions de Bérenger Saunière.  Cache-t-elle des secrets ???

    Quelques photos de la Tour Magdala :

     http://www.kizoa.com/i-Contact/sflite.swf?did=525112&kc=1236279 

     


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  • L'église de Rennes-le-Château, mai 2009. (Albert  Fagioli)

    Le diable Asmodée (gardien du trésor...) vous acceuille à Rennes-le-Château.

    Quelques photos de l'église :

    http://www.kizoa.com/i-Contact/sflite.swf?did=525070&kc=9342909 

     


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  • Le cimetière de Rennes-le-Château, mai 2009. (Albert Fagioli)

     


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  • Visite exceptionnelle du cimetière de Rennes-le-Château, mai 2009. (André Galaup)

    Suite aux révélations faites sur son site internet depuis le mois de novembre 2008, M. Fagioli a eut une autorisation exceptionnelle pour vérifier ses conclusions concernant l'emplacement des deux cryptes dans l'église et la présence éventuelle des  souterrains aux endroits indiqués. Il tient à remercier le maire de la commune, Alexandre Painco, ainsi que les membres du conseil.

    En particulier messieurs Philippe Hui et Philippe Goloubenko pour leur accueil.

    Il tient à remercier messieurs André Galaup, président de L'APARC et Michel Vallet, (allias-Pierre Jarnac), auteur-éditeur, pour leur présence lors de la visite du domaine.

    Suites aux résultats de ses recherches, M. Fagioli a transmit un rapport à la mairie de Rennes-le-Château, à la DRAC de Montpellier et une copie par E-mail au Préfet de l'Aude.

    Ce rapport s'intitule : " Les chemins de l'Histoire. "

    Suite à ce rapport, la DRAC de Montpelier à donner un avis favorable pour le dépôt d'un dossier de fouille, qui sera par la suite étudier par la commission de la DRAC, puis valider ou non par le Préfet. Pour le moment il n'y a aucune autorisation de fouille accordé, ni par la DRAC, ni par la mairie.

    La mairie donnera un avis positif en cas d'avis positif de la DRAC.


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  • Visite du musée de Rennes-le-Château, mai 2009. (Albert Fagioli)

    M. Fagioli conseille à toutes les personnes de passage dans la région, de faire un petit crochet par celui-ci. Il fera peut-être de nouveau parler de lui.

    Quelques photos : http://www.kizoa.com/i-Contact/sflite.swf?did=506261&kc=7446186 

    Y'aura-t-il un jour des fouilles officielles ?

    Le mystère va-t-il tomber ? L'avenir nous le dira !


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  • Visite du musée des Dinosaures, mai 2009, à Espéraza. (Albert Fagioli)

    Musée des Dinosaures : http://www.dinosauria.org/visite-au-coeur-du-musee.php 

    Quelques photos : http://www.kizoa.com/i-Contact/sflite.swf?did=506948&kc=2779225 

     

     


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  • Visite de Carcassonne, mai 2009. (Albert Fagioli)

    Carcassonne : http://fr.wikipedia.org/wiki/Carcassonne 

    L'une des plus belles villes médiévales : http://www.kizoa.com/i-Contact/sflite.swf?did=506231&kc=1187980 


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  •  

    Monsieur Fagioli et sa petite famille ont passé  une semaine dans l’Aude, à Limoux, aux Gites Maynard.

     

    Limoux : http://fr.wikipedia.org/wiki/Limoux 

     

    Les gites Maynard : http://gitesmaynard.free.fr/cariboost1/

     

    Ils ont profité de ce séjour pour se rendre pour la première fois à Rennes-le-Château.

     

    Voici quelques photos du gite :
     http://www.kizoa.com/i-Contact/sflite.swf?did=506091&kc=8012223 

     

    *** Monsieur Fagioli a déjà ses deux trésors, qui valent tout l’or du monde. ***

    ***Peut-être que  ses recherches  lui permettront de trouver de nouveaux trésors. ***

     


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  • " Séjour dans l'Aude, Pays Cathares, mai 2009. (Albert Fagioli) "

    " M. Fagioli et son fils sur les traces de Bérenger Saunière et de l'énigme de Rennes-le-Château. "


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  • L'église de Rennes-le-Château et ses cinq souterrains. (Albert Fagioli, 30/12/2008)

    Après réflexion monsieur Fagioli a pris la décision de rajouter les possibles emplacements des cinq souterrains situés sous l'église.

    Monsieur Fagioli avait surtout peur qu'il y ait de nouvelles dégradations sur Rennes-le-Chateau suite à ses révélations. Le village a subi assez de dégâts depuis environ 50 ans. Il souhaiterait qu'en cas de découverte suite à ses indications, qu'environ 5 à 10 % de cette somme soit attribuée aux habitants du village, pour la restauration de leurs habitations.

    Je pense que le nouveau Président de l'A.P.A.R.C, (M. André Galaup) et le nouveau maire de Rennes-le-Château (Alexandre Painco) seront d'accord avec lui.

    Vous pouvez voir sur le croquis les départs souterrains, (A, B, C, D, E).
    - Pour trois d'entre eux, ils arrivent au même niveau que la crypte en jaune.
    - Pour les deux autres ils sont à un niveau inférieur et il y en a un des deux qui part en dehors de Rennes-le-Château, à plusieurs centaines de mètres du village.

    En ce qui concerne les points terminaux pour les quatre autres souterrains :
    Ils restent dans le périmètre de Rennes-le-Château.


    Voilà qui clôturera les révélations concernant Rennes-le-Château pour cette année.

    M. Fagioli souhaite pour la commune de Rennes-le-Château que " l'État français " bouge un peu plus en 2009 concernant cette histoire. Il attend également, lui-même, qu'il bouge concernant le trésor personnel du duc d'Enghien qui se trouve en Lorraine.

    *** A l'attention de tous les chercheurs de trésors du monde entier, il n y a aucun trésor sous l'église de Rennes-le-Château et dans ses cinq souterrains. (depuis l'entrée de Saunière dans celle-ci)
    De plus, ces souterrains et cette crypte se trouvent à une certaine profondeur qui n'a rien à voir avec la crypte en orange (Tombeau des Seigneurs ou Caveau des Seigneurs)
    Les découvertes à faire dans l'église pourront intéresser les scientifiques et les archéologues sur l'Histoire de nos civilisations. Nous pourrions enfin connaître les personnages qui furent enterrés à Rennes-le-Château.***
    *** Vous pouvez laisser vos pelles et vos pioches à la maison. ***
    *** En ce qui concerne l'éventualité d'un sixième souterrain qui devrait vous mener à une troisième crypte (chambre aux trésors), dans les entrailles de Rennes-le-Château...Seul un " Initié " pourra vous guider...***

    Monsieur Fagioli vous souhaite une bonne et heureuse année 2009...Et à l'année prochaine pour la suite...

     

     

     


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  • L'Eglise de Rennes-le-Château, les deux cryptes sous l'Eglise. (Albert Fagioli, 25/11/2008)

    En jaune : La 2ème crypte et son accès.

    En Orange : La 1er crypte (Tombeau des Seigneurs) et son accès.

    Sous l'église il y a également cinq souterrains, dont trois arrivent au même niveau que la crypte en jaune. Pour les deux autres ils partent d'un niveau beaucoup plus bas que cette crypte en jaune.

    Pour la crypte en orange ou Tombeau des Seigneurs, il n'y a aucun souterrain qui part de celle-ci.

    Monsieur Fagioli aimerait connaître les noms des personnes qui furent enterrées dans la zone marquée par un carré jaune. Il voudrait connaître également les propriétaires de ces tombes à l'époque de l'arrivée de Saunière à Rennes-le-Château, en 1885. Car l'accès de la crypte en jaune se faisait par une tombe ou un caveau (dans l'endroit marqué par le carré en jaune)
    De nos jours cet accès jusqu'à la crypte pourrait être éboulé. Peut-être qu'elle l'était déjà du temps de Saunière.

    Il pourrait bien existé une autre entrèe à cette fameuse crypte, que seul Saunière connaissait et qu'il a bien caché. De nos jours elle pourrait bien nous servir pour l'atteindre sans grands travaux. Qu'a-t-il trouvé dans celle-ci ? Y'avait-il un tombeau dans la crypte en jaune ? A-t-il trouvé un trésor dans celle-ci ? Beaucoup de questions pour peu de réponses !!!

    Par contre, monsieur Fagioli annonce qu'il y aurait une 3ème crypte qui devrait contenir un gros trésor Cathare dans le centre du village, cette crypte aurait également une entrée dans le cimetière. Il pense que Saunière n'a pas trouvé l'accès de celle-ci, mais il en connaissait l'existence.


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  • Croquis de la Tour Magdala, (Vue en coupe) (Albert  Fagioli, 23/11/2008)

    Voici l'emplacement de la dite '' Pierre de COIN '', placée en  " SION " dans la zone rouge. Apparemment d'après monsieur Antoine Captier, il se trouve que le carrelage qui posséde un petit point rouge se trouve également dans cet angle. Il s'agirait encore d'une coincidence énorme pour monsieur Fagioli. (Petite rectification, le petit point rouge sur le carrelage se trouve au sud, du côté de l'échauguette). Chose à bien vérifier.
    Si cela est le cas, Saunière a voulu mettre cet indice volontairement de l'autre côté du véritable emplacement (opposé ou inverse) Cela semble plus logique en voyant l'emplacement du point rouge sur ce carrelage. Théoriquement en vous plaçant dessus et en regardant le nord vous aurez effectivement la clef de cet indice laissé par Saunière
    .
    Axe sud/nord, dans la diagonale que compose les 64 carrelages de la Tour magdala.

    Peut-être que les indices que Saunière avait laissé dans l'église pour atteindre la crypte, se trouvent dans une même logique.

    Il demandait dernièrement l'emplacement de l'autre indice qui se trouvait sur un autre carrelage. Apparemment celui-ci ne se trouvait pas dans la Tour Magdala, mais dans l'Orangeraie. Cela conforte la thése d'une autre cache réalisé plus tard par Saunière. A quel date fut terminé la Tour de l'Orangeraie ? Réponse qui intéresse monsieur Fagioli.

    Il paraît que ce nouvel indice n'était pas un point  rouge mais  noir. Chose à vérifier. Si quelqu'un aurait des photos de ce carrelage, pourriez-vous envoyer ces photos à monsieur Fagioli. Merci.

     


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  • Rennes-le-Château : Les secrets de la Tour Magdala (Albert Fagioli - 8/11/2008)

    Il aura fallu à M. Fagioli deux déclics pour résoudre l'une des énigmes de la Tour Magdala.
    1° En lisant bêtement un livre il y a trois ans. Un livre qu'il avait déjà depuis plusieurs années, qu'il avait reçu par un collègue de travail qui était Témoin de Jéhovah.
    Ce livre est Les Saintes Ecritures - Le nouveau Testament en 1661 pages.

    2° En lisant l'article paru dans le Figaro Magazine du 7 juillet 2001, sur l'histoire des fouilles sur Rennes-le-Château.

    Passage de 1 Pierre 24 :

    Vous approchant de lui comme d'une pierre vivante, rejeté par les hommes, il est vrai, mais choisie et précieuse auprès de Dieu.
    5 Vous aussi comme des pierres vivantes, vous êtes en train d'être bâtis maison spirituelle, pour une sainte prêtrise, afin d'offrir des sacrifices spirituels agréables à Dieu par Jésus-Christ.
    6 En effet on trouve dans l'Ecriture :

    '' Voici que je pose en Sion une pierre, choisie, une pierre angulaire de fondement, précieuse ; Et celui qui exerce la foi en elle ne sera absolument pas déçu. ''
    7 C'est donc pour vous qu'il est précieux, parce que vous êtes des croyants ; Mais pour ceux qui ne croient pas " La même pierre qu'avaient rejeté les bâtisseurs est devenue la tête de l'angle , et une pierre d'achoppement et une masse rocheuse cause de scandale ". Ceux-là trébuchent parce qu'ils désobéissent à la parole. Et c'est bien à cela qu'ils ont été destinés ...

    --------------------------------------------------------------------------------------------------------------

    Pour le second déclic, il s'agit d'un article du Figaro Magazine :

    (Figaro Magazine, le 7 juillet 2001).

    Rennes-le-Château.
    Vrai ou faux ?
    Le Trésor du Curé
    Des scientifiques canadiens et américains ont débarqué dans ce village de l'Aude à la recherche du mystérieux trésor qui attire chaque année 100 000 curieux.
    Par Léopold Sanchez.L'histoire commence comme un film d'aventures dont le scénario aurait été imaginé par Jacques Tati. Voilà un peu plus d'un an, Jean-François Lhuilier, maire de Rennes-le-Château, un petit village de l'Aude où l'on recherche depuis un siècle le trésor qui aurait permis à son pauvre curé de vivre sur un grand pied, reçoit une lettre d'un certain Jean-Louis Genibrel, citoyen américain résidant à Long Beach en Californie :


    « Je sais qu'au début de la construction de la tour Magdala, à Rennes-le-Château) (... le grand-père de mon oncle, qui était le chef de chantier, a aidé l'abbé Bérenger Saunière à enterrer au moins une boîte et d'autres objets sous la fondation de la tour, exactement sous la pierre de coin. »

    Canular ou mystification ? Le maire est habitué à ce genre de courrier.

    - Je reçois une dizaine de lettres par an de personnes affirmant savoir où est enterré le trésor de l'abbé Saunière ! Déclare-t-il en brandissant la fameuse lettre.
    Des spécialistes pratiquent une échographie du terrain.Seulement, le mystificateur en question a de la suite dans les idées. Quelque temps plus tard, il téléphone à monsieur le maire qui s'empresse de lui signifier que les fouilles sont strictement interdites sur le périmètre de Rennes-le-Château. Et pour cause, ce modeste village attire chaque année quelque 100 000 curieux à la recherche d'un trésor, au sujet duquel on a écrit plus de quatre cents livres, traduits dans toutes les langues, tourné des dizaines de films (dont le dernier, produit par Comes Communication, sera diffusé à la rentrée), sans compter les sites sur Internet, les conférences dans le monde entier...
    A la différence de ses prédécesseurs, le mystérieux interlocuteur américain ne propose pas de fouiller, mais de venir avec une équipe de spécialistes pour pratiquer une échographie du terrain. La cause est entendue. Le 17 avril, les habitants de Rennes-le-Château voient débarquer sur la place du village une équipe de trois spécialistes canadiens (les mêmes qui ont supervisé les recherches échographiques dans la pyramide de Kheops) et de quatre archéologues de la John Merril Fondation (une fondation privée de San Francisco finançant divers travaux de fouilles dans le monde). Le groupe est supervisé par le professeur Robert Eisenmann, un des plus grands spécialistes d'archéologie chrétienne chargé de l'étude des rouleaux de la mer Morte à l'université de Long Beach. En y ajoutant les trois Italiens dépêchés par le Vatican et dirigés par une pulpeuse théologienne, le docteur Serena Tajé, on comprend mieux la surprise du maire en voyant, en ce mercredi matin, sa petite mairie envahie par une armée d'étrangers.
    - Surtout, précise-t-il, qu'ils sont arrivés avec des camions, du matériel de recherches très sophistiqué dans trois malles blindées... Il devait y en avoir au moins pour 500 000 francs !
    Quelques instants plus tard, les scientifiques sont au travail, sondant, avec un échographe, la base de la tour Magdala et ses abords. Ils n'iront pas plus loin. Le grand-père de mister Genibrel n'a pas menti ! Sur l'écran de l'ordinateur, on voit se dessiner un objet quadrangulaire : apparemment un coffre de 90 centimètres sur 103 centimètres, localisé à 4 mètres de profondeur. L'équipe est euphorique. Mais ce n'est pas tout ! Répétée dans l'église, la recherche échographique signale également une crypte murée à 2,50 mètres sous le niveau de la nef.
    Très excité par ces découvertes, le maire se dépêche de prévenir l'évêque de Carcassonne, le préfet, le directeur de la Drac (Direction régionale des affaires culturelles), Arnault de la Briffe et I'architecte des Bâtiments de France. Devant l'intérêt unanime des autorités, on décide d'entamer une procédure de recherche scientifique et archéologique pour laquelle la fondation John Merril avance déjà un premier investissement de 100 000 dollars.
    Afin de préparer les fouilles qui débuteront en septembre prochain, tous les protagonistes se réunissent à Rennes-le-Château, le 14 juin, sous la direction scientifique du professeur. Andrea Baratolo, éminent spécialiste en archéologie ancienne.
    Les premières observations de cet archéologue, qui a notamment participé aux travaux de recherches sur le forum romain et sur d'autres lieux antiques du pourtour méditerranéen, sont étonnantes :

     


    - Nous sommes à la veille de découvrir l'acropole de la civilisation gauloise !
    Déclare enthousiaste le professeur Barattolo.

     

    Il ajoute :
    - Mon impression est confirmée par la présence de fragments de céramiques antiques dans la collection du musée archéologique. Il ne s'agit pas de pièces telles qu'on les fabriquait en Sicile l'exportation, mais d'objets de luxe importés directement d'Athènes vers le V siècle avant notre ère !
    Un coffre aurait été enterré sous les fondations de la tour Magd
    Ce qui laisse supposer l'existence d'un site gaulois beaucoup plus important que Bibracte ou Alésia. Le musée possède également une riche collection de céramiques antiques, armes et outils gaulois, monnaies celtiques et romaines, dont une pièce datante d'Auguste ornée d'un crocodile, ou d'autres avec des têtes de taureau...

    - J'espère, poursuit le professeur Barattolo que nous allons trouver, sous la nef, les fondations d'un temple romain et, plus en dessous les restes d'un sanctuaire celtique attestant de l'importance de Rennes-le-Château dans la Gaule pré romaine. Ce qui serait tout à fait normal, vu la position clef de ce site sur la route reliant l'Ibérie à la province narbonnaise.

    Quant au coffre ? Les rayons gamma ont signalé qu'il ne contient pas de métal. Que peut-il donc révéler ? Des documents ? On sait depuis longtemps et c'est là le plus extraordinaire car le surnaturel est chose courante à Rennes-le-Château !, non par des témoignages de personnes ayant connu l'abbé Saunière mais par le truchement de rêves divinatoires inspirés à un chercheur dont nous tairons le nom, qu'un coffre aurait été enterré sous les fondations de la tour Magdala au moment où elle a été construite, entre 1887 et 1890. La lettre de l'Américain et la récente découverte de l'équipe de chercheurs de la fondation John Merri viennent donc confirmer cette piste.
    Mais qui était donc ce petit curé de campagne, Bérenger Saunière ?
    Mais vers quoi peut-elle mener ? Les opinions divergent suivant les hommes qui les représentent. Pour l'archéologue italien envoyé par le Vatican :

    - Il pourrait s'agir d'un document qui viendrait remettre en cause l'histoire de I'Eglise catholique !

    Une confirmation de la rupture de la hiérarchie pontificale après Benoît XIII.
    La volcanique théologienne, directrice de la mission vaticane, intervient :

    - À moins que ce ne soit un signe tangible de la présence en ce lieu (présence attestée par les textes sacrés) du juge de Jésus, de ce même Hérode Antipas qui s'arrêta ici, à Rennes-le-Château, sur le chemin de l'exil, en compagnie d'une certaine Marie la magdaléenne.

    Elle ajoute :

    - Nous allons peut-être découvrir des éléments concernant le mythe fondateur de l'Eglise.

    Ce qui expliquerait le nom de « tour Magdala » donné à l'endroit où l'abbé Saunière cacha son trésor.
    Le point de vue du maire est beaucoup plus patriotique :

    - Pour moi, c'est la preuve formelle que Rennes-le-Château est la véritable métropole gauloise dont on recherche la trace quelque part sur les bords de la Saône.

    Ce qui anéantirait les efforts de l'État et tous les investissements depuis cent cinquante ans en faveur de Bibracte. La perspective fait jubiler le premier de la commune qui ne cache pas ses opinions monarchistes.
    Quant à la tendance légitimiste, elle est représentée par Jean-Luc Robin. propriétaire d'un restaurant dans la bourgade voisine d'Espéraza. Venu s'installer à Rennes en 1957, ce dernier pense :

    - Cette découverte va permettre d'éclaircir les relations mystérieuses de l'abbé Saunière avec l'aristocratie européenne. En particulier, ses rapports avec la comtesse de Chambord, qui mit à sa disposition 3 000 francs or, ou avec les Habsbourg. Comme le prouvent les billets de train à destination de Vienne, Paris ou Madrid dont on a trouvé la trace dans les affaires personnelles du petit curé de campagne. Qui était l'abbé Saunière, pour avoir attiré un si grand nombre de personnalités à Rennes-le-Château, de l'impératrice Zita de Habsbourg à François Mitterrand, en passant par Debussy et bien d'autres ?

    Parti pauvre comme Job de son Montazels natal, à 4 kilomètres plein sud à vol d'oiseau. Bérenger Saunière prend possession de sa cure en 1885. Il a 33 ans et rien, en dépit d'un physique avantageux et d'une ambition cadrant mal avec des fonctions de curé de campagne, ne semble le destiner à quelque projet fastueux. Et pourtant, il dépense bientôt une fortune pour transformer sa petite église paroissiale en un monument sulpicien qui n'aurait pas déparé une coquette sous-préfecture, ou pour reconstruire le modeste presbytère, qui était en ruines. et en faire la superbe Villa Bethania avec ses plafonds à fresques. son tableau de Mucha offert par l'artiste qui était un familier du prêtre. Sans oublier les jardins avec serres et bassins. l'élégante terrasse dominant le paysage. le kiosque à musique et la tour-bibliothèque dans laquelle l'abbé fut retrouvé mort, un jour, par sa bonne, Marie Dénamaud, avec qui il vivait maritalement au su de tout le monde. Ce qui ne l'empêchait pas de chercher ailleurs des petites satisfactions auxquelles la prêtrise commande de renoncer...
    - Pour se lancer dans ces travaux, il a bien fallu que notre petit curé trouve quelque chose, poursuit le restaurateur d'Espéraza. Ce n'est pas avec ses émoluments qu'il aurait pu construire tout cela. Pourquoi la veuve de l'héritier du trône de France lui remet-elle une somme aussi importante ? D'autant plus qu'elle est apparentée à cette famille des Habsbourg qui est à I'époque, détentrice des pouvoirs politique financier, économique et religieux en Europe. L'empereur d'Autriche a un droit de veto sur l'élection du pape. Pourquoi quelqu'un d'aussi important s'intéresse-t-il au sort d'un petit curé 9.L'Eglise veut détruire tout document compromettant
    L'abbé Saunière aurait-il mis par hasard le nez sur un secret dont il aurait su monnayer le silence en échange d'une existence confortable et de la discrétion de l'Eglise face à sa vie privée, peu conforme avec des principes religieux ?
    Ce qui expliquerait cette confidence de l'envoyée du Vatican. la théologiquement sexy Serena Tajé, au maire de Rennes-le-Château qui nous l'a répétée : « Je suis missionnée par l'Eglise pour détruire tout document compromettant que nous pourrions trouver ! »
    Comme le précise Jean-Luc Robin :
    ‑ Pour embrouiller un peu plus l'histoire de l'abbé, je vous signale que le précepteur du comte de Chambord s'appelait d'Hautpoul de BIanchefort et qu'il était apparenté à la famille qui régnait sur Rennes-le-Château. Il a peut-être raconté à son élève, le futur roi de France, ce qui s'était passé dans le village ait moment de la Révolution française, soixante ans auparavant. En 1793, son ancêtre la comtesse de Blanchefort avait confié au prêtre réfractaire de Rennes, l'abbé Bigou, les archives de sa famille qui comptait un grand maître de l'ordre du Temple. Que contenaient ces papiers ? Elle lui remettrait également la fortune de la famille, en numéraire et en bijoux, afin de la soustraire à la tourmente révolutionnaire. Est-ce cette fortune que l'abbé Saunière a découverte dans sa cure ? D'autant plus que la comtesse ne fut pas la seule à confier tous ses biens à l'abbé Bigou. Les plus grandes, familles du Languedoc firent de lui le dépositaire de leurs valeurs, en attendant des jours meilleurs.
    Comme l'explique le maire :

    - Une personne d'autorité a dû donner l'ordre à l'abbé Saunière d'arrêter ses recherches. Il a donc refermé la porte sur son secret, mais, en contrepartie, il a vécu librement, comme il l'entendait.

    D'où venait l'argent qu'il a dépensé ? Qui avait intérêt à ce qu'il garde le silence ? Ce sont là des questions que l'on croyait à jamais sans réponse jusqu'à ce que la lettre d'un mystérieux Américain ne vienne faire rebondir cette incroyable histoire qui est peut-être à la veille de son dénouement.


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    Aux lecteurs maintenant d'en tirer des conclusions, arrivez-vous aux mêmes conclusions que M. Fagioli.

    Qui y a-t-il de vrai dans l'article du Figaro Magazine ? C'est là qu'on voit le travail d'un bon détective, qui sait interpréter les bons indices et écarter les mauvais, également partir dans la bonne direction.
    Pour monsieur Fagioli, monsieur Génibrel dit la vérité, il a bien répété ce que le grand père de son oncle avait écrit sur un document qui fut transmis aux descendants après sa mort. Sûrement que Saunière lui avait demandé de garder les secrets, mais une fois qu'il était mort celui-ci pouvait être transmis sans qu'il craigne la foudre de Dieu, ou la malédiction de Saunière. C'est sûr que Génibrel n'a pas tout dit à messieurs Eisenman, Baratolo, Lhuillier. Peut-être n'a-t-il pas réussi à interpréter ses documents, comme pour l'histoire du testament de Marthille que vient de résoudre monsieur Fagioli. Qu'il attribue au duc d'Enghien et pas Savary. Personne à ce jour n'avait réussi à percer cette énigme vieille de plus de 80 ans.
    Chiffre 80 qui concerne également l'un des trésors cités dans le testament du duc d'Enghien et qui concerne aussi l'une des énigmes de Rennes-le-Château.

    Voici un autre article récupérer sur Internet qui est intéressant à lire : Article d'un certain Edouard.

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    L'Église de Dieu.

    " Le Dieu, qui a fait le monde, et tout ce qui s'y trouve, étant le Seigneur du ciel et de la terre, n'habite pas dans des temples faits de main d'homme. Il n'est pas servi par des mains humaines, comme s'il avait besoin de quoi que ce soit, Lui qui donne à tous la vie, la respiration, et toutes choses." - Actes 17, 24.

    Ce Dieu est merveilleux dans tout ce qu'Il fait ! Parmi les hommes, nul n'est semblable à Lui ; Nul n'a son intelligence et sa sagesse, Parmi toutes les constructions qui ont été dessinées par la main de l'homme, nulle n'est comparable à celle de notre Dieu !

    Depuis la création du monde, les constructions les plus grandioses, les plus riches, les plus belles, ont été dessinées par les meilleurs architectes ; Construites par des ouvriers aux talents multiples, avec les meilleurs matériaux sur le marché. Mais, avec les années, ces constructions se détériorent, doivent être rénovées et parfois être complètement détruites.
    Mais, dès avant la création du monde, le Seigneur notre Dieu ; Comme un sage architecte, a fait le plan pour une maison qui lui appartienne, et dans laquelle Il habiterait ; Une maison qui serait une demeure éternelle, - Hébreux 11, 10.

    Le Seigneur avait annoncé cette bonne nouvelle à son peuple, par la bouche de ses prophètes. Ils ont prophétisé là venu de celui qui devait bâtir le temple de Dieu.

    "Voici, les jours viennent dit le Seigneur, où je susciterai à David un germe juste (un héritier) ; Il régnera en Roi et prospérera, Il pratiquera la justice et l'équité dans le pays. Voici le nom dont on l'appellera : L'Éternel notre justice." - Jérémie 23, 5.

    "Voici, les jours viennent, dit le Seigneur, où j'accomplirai la bonne parole que j'ai dite sur la maison de Juda. En ces jours et en ce temps-là, je ferai éclore à David un germe de justice (un héritier) ; Il pratiquera la justice et l'équité dans le pays," - Jérémie 33, 14.

    "Voici, un homme, dont le nom est Germe, germera dans son lieu, et bâtira le temple de l'Éternel. Il bâtira le temple de l'Éternel ; Il portera les insignes de la majesté ; Il s'assiéra et dominera sur son trône, il sera sacrificateur sur son trône, et une parfaite union régnera entre l'un et l'autre," - Zacharie 6, 12.

    Voici un homme, dont le nom est Germe, il bâtira le temple de l'Éternel. Cet homme portera les insignes de la majesté, aura de la magnificence et de la gloire, il sera Roi ! L'Éternel envoi le meilleur ; Celui qui peut vraiment accomplir toute sa volonté, en ce qui concerne la construction de son temple ! Il y a deux mille ans, dans la ville de Bethléhem naissait le Germe de Dieu ; On lui donna le nom de Jésus, et c'est Lui qui fut désigné pour bâtir le temple de Dieu. À l'heure choisie par son Père, Jésus se présenta à son peuple, comme l'envoyé de Dieu, pour construire son temple. Jésus a choisi les hommes que son Père lui avait désignés ; Les hommes qui seraient capables en suivant son plan, de bâtir le temple de Dieu. Il en a choisi douze, à qui il a enseigné tout le conseil de Dieu ; Selon le plan que son Père lui avait montré ; Afin que lorsqu'Il serait parti ; Ces ouvriers, ces travailleurs, puissent continuer à construire et à édifier l'Église de Dieu.

    "Les Juifs prenant la parole dite à Jésus : Quel miracle nous montres-tu, pour agir de la sorte ? Jésus répondit : Détruisez ce temple et en trois jours je le relèverai. Les Juifs lui dirent : Il a fallu quarante six ans pour bâtir ce temple et toi en trois jours tu le relèveras ? Mais il parlait du temple de son corps," - Jean 2, 18.

    Les Juifs étaient fiers de leur temple. Un temple que leurs pères avaient bâti de leurs propres mains, à la sueur de leur front, et dont la construction avait duré quarante-six ans. Mais, Dieu n'habite pas dans des temples faits de mains d'hommes, comme disent les Écritures. Les temples qui sont bâtis par la main des hommes, ne résisteront pas ; Ils seront détruits ! Mais le temple de Dieu, durera éternellement. Jésus a dit : Détruisez-le, et en trois jours, je le relèverai. Sur la terre, Jésus était le temple du Dieu vivant. Toute la plénitude de Dieu, habitait en Lui.

    "Et vous, leur dit Jésus, qui dites-vous que je suis ? Pierre répondit : Tu es le christ, le Fils du Dieu vivant. Jésus, reprenant la parole, il dit : Tu es heureux, Simon, fils de Jonas ; car ce ne sont pas la chair et le sang qui t'ont révélé cela, mais c'est mon père qui est dans les cieux. Et moi je te dis que tu es Pierre et que sur ce roc, je bâtirai mon Église, et les portes du séjour des morts ne l'emporteront pas contre elle," - Matthieu 16, 18.

    Jésus annonce à Pierre, qu'Il va construire son Église. Jésus dit qu'un homme prudent bâti sa maison sur le roc ; et si les pluies viennent à tombées, que les torrents viennent, que les vents soufflent et se jettent contre sa maison, elle ne tombera pas; parce qu'elle est fondé sur le roc, - Matthieu 7, 24.
    Jésus, montre à Pierre, que l'Église de Dieu, doit être bâti sur le roc ; que ce roc, c'est le Christ, le Fils de Dieu ! Pierre venait de démontrer sa foi, en confessant de sa bouche, que Jésus était le Christ, le Fils de Dieu.

    Pierre déclara : "Jésus est la pierre rejétée par vous qui bâtissez, et qui est devenue
    la principale de l'angle." - Actes 4, 11.

    "Voici, je mets en Sion, une pierre angulaire, choisie, précieuse ; et celui qui croit en elle, ne sera pas confus." - 1 Pierre 2, 6.

    La pierre angulaire d'un édifice, est la pierre de coin. C'est la pierre qui réunie ensemble dans un coin, les deux murs qui se rencontrent, et les maintients ensembles. Cette pierre est la plus importante des pierres d'un édifice ; et toute pierre qui occupe cette place de coin ; depuis la base jusqu'au haut de l'édifice, est une pierre angulaire. C'est pour cela que Jésus fut présenté comme la pierre de l'angle ; étant celui sur qui repose l'édification de l'Église de Dieu ! Et c'est sur Lui que doivent s'appuyer tous ceux qui ont la foi. L'Église de Dieu est construite avec des pierres précieuses ; des pierres vivantes ; Le fondement c'est Jésus, et les pierres précieuses (tous les croyants) doivent s'appuyer sur Lui parce qu'Il est la pierre angulaire.

    L'apôtre Paul :"Selon la grâce de Dieu qui m'a été donné, j'ai posé le fondement comme un sage architecte, et un autre bâtit dessus. Car personne ne peut poser un autre fondement, que celui qui a été posé, savoir Jésus-Christ," - 1 Corinthiens 3, 7.

    L'apôtre Pierre : "Approchez-vous de Lui pierre vivante, rejetée par les hommes, mais choisie et précieuse devant Dieu, et vous-mêmes, comme des pierres vivantes, édifiez-vous pour former une maison spirituelle." - 1 Pierre 2, 4.

    L'apôtre Pierre : "Ainsi donc, vous n'êtes plus des étrangers, ni des gens du dehors ; mais vous êtes concitoyens des saints, gens de la maison de Dieu. Vous avez été édifiés sur les fondements des apôtres et des prophètes, Jésus-Christ Lui-même étant la pierre angulaire. En Lui tout l'édifice, bien coordonné, s'élève pour être un temple saint dans le Seigneur. En lui vous êtes aussi édifiée, pour être une habitation de Dieu en Esprit." - Éphésiens 2, 19.

    L'apôtre Paul : "Ne savez-vous pas, que vous êtes le temple de Dieu, et que l'Esprit de Dieu habite en vous ? Si quelqu'un détruit le temple de Dieu, Dieu le détruira ; car le temple de Dieu est saint, et c'est ce que vous êtes." - 1 Corinthiens 3, 16.

    L'apôtre Paul : "Car, nous sommes le temple du Dieu vivant, comme Dieu l'a dit : J'habiterai et je marcherai au milieu d'eux ; je serai leur Dieu et ils seront mon peuple." - 2 Corinthiens 6, 16.

    Voilà l'Église de Dieu !

    Edouard.

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    Je pense que ces quelques lignes sont très intéressante, Edouard est sûrement un homme d'église (prêtre, abbé, curé...etc)
    Et ces quelques lignes nous éclaires sur l'un des secrets de la Tour Magdala :
    Vous aurez un choix à faire sur quatre (une chance sur quatre)
    N,S,E,O ou bien NE,NO,SE,SO
    Mais M. Fagioli détient la bonne clef qui mène à la bonne pierre de Coin. Attention il pourrait y avoir une mauvaise interprétation pour celle-ci. En dessous. En dedans. Au dessus. A côté. A l'opposé
    Sachez qu'aucun détecteur ne pourra vous donnez des indications sur son emplacement.

    Par contre en ce qui concerne l'autre clef, il n'est pas si sûr. Il aimerait savoir si des gens possédent des photos du possible point noir ou rouge placé sur un autre carrelage de la Tour Magdala (qui n'existe plus). Il aimerait savoir dans quel endroit de la Tour il était et comment il était placé (hauteur, au mur, au sol...Etc). Apparemment l'autre indice qu'a laissé Saunière, ne se trouve par dans la Tour, mais à l'autre extrémité dans l'Orangeraie. D'après monsieur Antoine Captier se carrelage n'existe plus. M. Fagioli tient à signaler que le moindre détail compte à son sujet. Comme il demandait un peut plus bas, il aimerait avoir des photos de la construction de la Tour Magdala, avec la date à laquelle elles ont été prises.

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    Voici un autre article intitulé " Le Masque de Saint-Pierre " " Le nom de Pierre. Sur ce rocher..."
     par Regard (Bibliothèque Chrétienne Online) ou http://www.regard.eu.org/Livres.11/Masque_de_Pierre/03.html

    " Tout d'abord de l'interprète assurément le mieux qualifié, de celui qui, sans aucun doute, doit avoir le mieux compris la pensée de Jésus, de Jésus lui-même !
    Après la parabole des vignerons (St Luc XX. 9-19) où le Sauveur laisse entendre que son peuple va le rejeter, Il ajoute :
    « Que signifie donc ce qui est écrit : La pierre, qu'ont rejetée ceux qui bâtissaient, est devenue la pierre angulaire ? Quiconque tombera sur cette pierre sera brisé... »
    Ce passage n'était autre que la prophétie antique (Psaume CXVIII. 22 ; Isaïe LV. 8) concernant la personne du Messie.
    Jésus fait l'application à soi-même de cette prophétie ; elle ne peut concerner en même temps quelqu'un d'autre.

    La « pierre angulaire », c'est donc Jésus-Christ.
    Qui peut, après Jésus, nous donner la meilleure interprétation de cette parole ? N'est-ce point celui-là même à qui le Sauveur, dans la circonstance qui nous occupe, l'a adressée, St Pierre ?

    Tout d'abord, dans le Livre des Actes des Sts Apôtres, après la Pentecôte, Simon Pierre, reprenant cette même prophétie, déclare : « Jésus est la pierre, rejetée par vous qui bâtissez, et qui est devenue la pierre angulaire. Et le salut n'est en aucun autre ; car il n'y a pas sous le ciel un autre nom qui ait été donné aux hommes, par lequel nous devions être sauvés » (Actes IV. 11 à 13).
    La pierre angulaire de l'Eglise n'est donc point l'homme, c'est Jésus lui-même.

    L'apôtre prend encore le soin, dans sa première Épître, de bien définir qui est cette pierre. Peut-on, sans manquer de respect pour l'autorité du Saint-Esprit, comme pour celle de l'apôtre, négliger une affirmation telle que celle dont voici le texte littéral :
    - « Approchez-vous de Lui, pierre vivante, méprisée des hommes, il est vrai, mais choisie et précieuse devant Dieu ; et vous-mêmes, comme des pierres vivantes, entrez dans la structure de l'édifice pour former un temple spirituel... Car il est dit dans l'Écriture : « Voici je pose en Sion une pierre angulaire, choisie, précieuse, et celui qui met en elle sa confiance ne sera pas confondu ». À vous donc l'honneur, vous qui croyez ; mais pour les incrédules « la pierre qu'ont rejetée ceux qui bâtissaient, c'est elle qui est devenue une pierre d'angle, un rocher de scandale » (I Pierre Il. 4-7).

    Et qui peut apporter encore, ici, un témoignage probant ? L'apôtre St Paul. Il écrit aux Éphésiens : « Ainsi donc, vous n'êtes plus des étrangers, ni des hôtes de passage, mais vous êtes concitoyens des Saints et membres de la famille de Dieu, édifiés que vous êtes sur le fondement des apôtres et des prophètes, dont Jésus-Christ lui-même est la pierre angulaire » (Ephés. II. 20).

    Et St Paul dit encore : « Personne ne peut poser un autre fondement que celui qui est déjà posé : Jésus-Christ » (I Corinth. III. 11).
    Quelle affirmation peut être plus catégorique que celle-là ?

    Ainsi donc, puisque Jésus-Christ est à la fois la pierre angulaire de l'Eglise, d'après sa propre interprétation comme d'après celle de St Pierre, et le fondement de cette même Église, d'après St Paul, c'est par conséquent que Lui, Jésus, et Lui seul, est l'un et l'autre.

    Au risque d'être taxé d'illogisme en faisant intervenir ici l'opinion des Pères de l'Eglise, nous rappelons que St Cyrille, St Hilaire, St Jérôme, St Ambroise, St Chrysostome, et surtout St Augustin, pour ne citer que ceux-là, n'ont enseigné ni les uns ni les autres que l'Eglise fût fondée sur Pierre.
    - « Que veut dire, demande St Augustin dans son 10e traité sur la 1re Épître de St Jean « sur cette pierre, j'édifierai mon Église » ? Cela veut dire, sur cette foi, sur ce que tu as dit : Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant ». Et dans son 124e traité sur St Jean, on lit encore : « Sur cette pierre que tu as confessée, j'édifierai mon Église ; car Christ était la pierre »."

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    Il était d'usage de cachet lors de la construction d'un édifice un coffret ou une boite contenant des documents ou des objets concernant la construction du bâtiment. Il se peut qu'on retrouve également des documents beaucoup plus anciens et qui ne concerne pas toujours l'édifice.
    Voici quelques exemples :

    - La Sainte Chapelle de Paris :
    En 1843, la découverte, sous le maître-autel de la sainte Chapelle, d'une boîte en plomb contenant un coeur humain, fit naître entre plusieurs érudits une polémique des plus vives sur Ia question de savoir si ce coeur était réellement celui de saint Louis. L'Académie des inscriptions prononça en dernier ressort que rien n'autorisait une semblable affirmation. (Fernand Bournon).

    - Les boites de plomb scellées découvertes à l'intérieur de la statue équestre de Henri IV révèlent leur mystère 19 novembre 2004 :
    Renaud Donnedieu de Vabres, ministre de la culture et de la communication, a procédé aujourd'hui à 16 heures rue de Valois à l'ouverture des boîtes de plomb scellées découvertes à l'intérieur de la statue équestre de Henri IV, située sur le Pont Neuf à Paris.
    Ces boites ont été découvertes dans le cadre de la restauration du Pont Neuf et de la statue équestre de Henri IV, érigée en 1818 par le sculpteur François-Frédéric Lemot, et qui se dresse à la pointe de la Cité sur le terre-plein qui surplombe le jardin du Vert-Galant.
    Boîte 1
    - Récit du transport et de la mise en place de la statue de la Fonderie du Roule au Pont Neuf. Transport mouvementé commencé le 14 août 1818, interrompu le 15 et 16 août (fête du 15 août et dimanche) repris et achevé le 17 août. Signature du document par Marbois, marquis et pair de France et président du comité des souscripteurs pour la réédification de la statue d'Henri IV et par Lemot (le sculpteur de la statue). Liste des membres du comité sur peau de vélin
    - " Archives du Royaume " : ampliation sur parchemin du procès verbal dressé le 23 août 1614 lors de l'inauguration de l'ancienne statue
    - Procès verbal de l'inauguration du 25 août 1818 pour l'inauguration de la nouvelle statue en présence de Louis XVIII et de la famille royale
    - " Notice des objets renfermés dans le corps de la statue " détaillant le contenu des quatre boîtes
    Boîte 2
    " Les économies royales " de Sully, 2 volumes in-folio, édition connue sous le titre de W. Verts, reliées en veau fauve avec dentelle compartimentée aux armes de France par Simier.
    Boîte 3
    Un exemplaire de " La Henriade " 2 volumes, peau de vélin, édition de Beaumarchais, reliés par Simier, en maroquin bleu avec dentelle...
    Boîte 4
    - Un exemplaire de la " Vie de Henri IV " par Péréfixe, édition Renouard, exemplaire sur vélin papier, reliure en chèvre grain long vert, filet et roulette, dos orné 5 nerfs avec inscription Simier R (relieur)
    - 2 rangées superposées de 26 médailles en tout
    Inventaire des médailles
    Médailles de 18 lignées (taille des médailles), comptabilité des exemplaires en argent et en en bronze : retour de Louis XVIII, entrée du roi dans Paris, charte constitutionnelle, la Légion d'honneur, le 3 mai 1814, les pompes funèbres de Louis XVI, Marie Antoinette, mariage du duc de Berry, portrait de Malherbe,
    Médailles de 22 lignées, comptabilité des exemplaires en argent et en bronze : Paix du 12 mai 1814, 20 mai 1815, retour du 8 juillet 1815, 21 janvier 1815, la statue équestre d'Henri IV.
    Boîte 5
    Boîte cylindrique en plomb à couvercle, à l'intérieur papier collé contre la paroi à la colle.
    Boîte 6
    Petite boîte cylindrique à couvercle, à l'intérieur papier roulé, peut être sorti mais pas déplié.
    Boîte 7
    Etui en bois, à l'intérieur, parchemin roulé peut être sorti mais pas déplié.

    - À Sainte-Savine :
    Le 28 septembre 1923, à l'occasion de la réfection du clocher, une boite de plomb scellée, datant de 1549 est découverte sous le coq.

    - À Agen :
    Le 25 août 1839, son Altesse Royale M. le Duc d'Orléans pose la première pierre du pont-canal d'Agen.
    Créé par M. de Baudre, Inspecteur-divisionnaire des Ponts et Chaussées, l'ouvrage est destiné à franchir le fleuve Garonne pour assurer la continuité du tracé du Canal latéral.
    Les travaux d'excavation nécessaires à la construction de l'ouvrage donnent lieu à de surprenantes découvertes archéologiques.
    Le ''Journal du Lot-et-Garonne'' rapporte en effet, la ''découverte, non loin d'Agen, de corps de suppliciés enchaînés à des colliers de fer''. Lors de la construction des piliers du pont-canal, une boite en bois de cèdre renfermant des monnaies d'or et d'argent est scellée dans la pile. Cette boite contenait également trois médailles en argent, platine et bronze, frappées pour l'occasion à l'effigie du Roi Louis-Philippe.

    - Le pont d'Onnex :
    Un petit trésor caché dans une boite à mines.
    A ce sujet, un hasard a voulu que lors de la rénovation du pont en 2001, on trouve, dissimulée  dans une boite à mines, une bouteille contenant un manuscrit dévoilant précisément les noms et fonctions des personnes qui achevèrent la construction du pont. Voici donc la reproduction de cette intéressante découverte.    
    «  Ouvrage commencé par Mr Albert PROUTEAU , PARIS, terminé en régie par les Ponts et Chaussées.
    Ingénieur principal : Mr PICHOT.
    Ingénieur subdivisionnaire : Mr MARCHAND.
    Onnex, le dix août MCMXXXVII
    Etaient présents le 10 août 1937 lors du bétonnage destiné à sortir le tablier, MM :
    ROUX Jean, surveillant  - METRAL Jules, chef de chantier.
    AZOLIN Antoine qui fit le coffrage avec DEMOLIS Jules.
    MARIN Secondo fabriqua les boites à mines, qui avec        MADDALENA Carlo, ALLIATA Carlo et BUAROTTI Joseph, cimentèrent le pont.
    TISSOT Albert, BERTONE Jean, MOUCHET Jules, BAUSSIERE Fernand, LAYDERNIER Honoré, BUFFARD Albert, RABONI François, BACHET Albert, MOUCHET Marcel, BERGERET Henri, GENEVE Auguste, s'aidèrent au travail.
    PELLEREY Jean poussa le wagonnet.
    Etabli par Jean PELLEREY , le 10 août 1937
    Vu et vérifié par le surveillant et le chef de chantier soussignés, »
    Suivent les signatures  de ROUX et METRAL
    Terminé en 1937, le pont aura coûté 355.000 Fs dont 183.000 Fs à la charge de la commune et 172.000 Fs reçus de l'Etat sous forme de subvention.
    En 1937, c'est grande fête à Onnex !

    On pourrait  citer  encore d'autres cas de découverte.

    Une chose est sûr, c'est que Bérenger Saunière n'a pas dérogé à cette coutume. Que sont ces documents ?
    De quand ils datent ? Mentionne-t-il les noms des Architectes, des maçons, des ouvriers...Etc. ? Je ne crois pas !

     

     

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  • Un indice capital pour résoudre l'énigme de la Tour Magdala. (Albert Fagioli - 18/11/2008)

    Beaucoup de chercheurs et de visiteurs ont vu ce défaut dans l'un des carrelages se trouvant dans la Tour Magdala. Maintenant il vous faudra interprété ce message laissé par Saunière. Il ne s'agit pas d'un défaut, mais bien d'un indice qui permet de résoudre l'une des énigmes, car pour la Tour Magdala il y a deux choses cachées (deux secrets). Ce point rouge concerne un petit coffret en bois contenant environ 15 à 20 parchemins. Pour l'autre il pourrait s'agir d'objet de culte, des tables, des ossements ...Etc. On ne sait pas trop.
    Mais aucun objet précieux, comme des pièces d'or, bijoux,...Etc.

    Ces deux secrets n'ont pas été dissimulé dans la même année. Pour le coffret renfermant les parchemins, ce fut tout au début de la construction de la Tour Magdala, dans " les fondations de celle-ci ". Il vous faut également interpréter " Fondations ". Pour l'autre cache M. Fagioli a une petite idée, mais il aimerait connaître les différents stades de la construction de cette Tour. (L'état d'avancement par rapport aux années.) Car cela pourrait conforter sa théorie pour la seconde cache.

     


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  • Rennes-le-Château : " La Fin d'un Mythe. " (Albert Fagioli, 15/11/2008)

    Prochainement sur ce site, les révélations qui pourraient mettre fin au Mythe de Rennes-le-Château. Celui-ci pourrait devenir le prochain titre d'Albert Fagioli.

    Lorsque le Mythe fait place à la Réalité...


    Près d'un siècle après la mort de Bérenger Saunière l'énigme de Rennes-le-Château va peut-être tombée suite aux révélations de monsieur Fagioli.

    Ces révélations concernent : 3 clefs.

    1° Le possible emplacement d'un petit coffret contenant environ 15 à 20 parchemins et...

    2° Le possible emplacement de la crypte aux trésors, 5 à 6 tonnes d'or dans le village de Rennes-le-Château, dont le départ est dans le C........

    3° Le possible emplacement du Tombeau des Seigneurs (caveau) et de la crypte, qui se trouvent tous les deux sous l'église.

    Je pense que ces révélations pourront apporter la lumière sur cette énigme qui à fait couler beaucoup d'encre,  et également apporter des retombées économiques au petit village de l'Aude. (Plus de  400 livres ont parlé de cette histoire)

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Rennes-le-Ch%C3%A2teau

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Tr%C3%A9sor_des_cathares

    Albert Fagioli avait transmis ses conclusions concernant l'énigme de Rennes le Château à messieurs Bernard Hivert et Jean-Louis Murat le 1 février 2007. Cela va faire bientôt deux ans. Ils avaient répondu qu'ils partageaient  les points essentiels et qu'ils le remerciaient pour leur avoir communiqué son point de vue.
    Hivert et Murat ont fait paraître un livre en 1998 : " Les clés d'or de Rennes-le-Château : Les révélations du cromleck de Rennes-les-Bains ".

    Voici une copie cet E-mail dans son intégralité :

    Bonjour messieurs,
    (historien ....) Voici mes conclusions au sujet de l'histoire de Rennes le Château.

    1° L'abbé Saunière a bien trouvé plusieurs parchemins.

    2° Il a bien trouvé 1 ou 2 trésors monétaires.

    3° Par contre il n'a pas découvert le gros dépôt, qui se trouve dans une crypte, environs 5 à 6 tonnes objets précieux. (Celle-ci ne se trouve pas sous l'église).

    4° Il a bien caché tous les parchemins qu'il avait découvert.(Il a laissé des indices pour atteindre ces fameux documents).

    5° Sous l'église il y a bien une crypte, de celle-ci part cinq souterrains. Dans celle-ci se trouvent bien des tombeaux. Mais il n'y a pas de trésor, ou plus de trésor.

    6° Cette crypte date du V° siècles, et le trésor de Rennes-le-Château provient du 11° ou 12° siècles.(Cathares)

    Des fouilles prochaines affirmeront sans doutes mes conclusions.

    Jeudi 1 février 2007, à 8h00 PM

    Les conclusions de M. Fagioli concernant hypothétique trésor dans le village de Rennes-le-Château, l'amméne à penser qu'il s'agit bien d'un gros dépôt Cathare. (Que contient-il exactement ? Il ne sait pas ! ) Il laisse le plaisir aux Internautes de penser au contenu de celui-ci.

    Par contre il aimerait bien percer l'énigme des parchemins cachés !
    De qui ils sont ? De quand ils datent ? Que peuvent-ils apporter à l'histoire de notre civilisation ? Pourquoi avoir caché ces parchemins et ne pas les avoir détruit ?...

    Beaucoup de question, mais peut-être que la bonne question n'a pas encore était posé !


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