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    Le dowser :

    Le dowser est un outil de recherche radiesthésique du 20° siècle. On peut dire qu’il peut remplacer nos anciennes baguettes de sourciers en bois utilisés depuis des millénaires pour la recherche d’eau ou d’objets cachés. Toutes personnes possèdent plus ou moins ce don que l’on appelle «  Le signal du sourcier », on pourrait définir les niveaux de sensibilités allant de 0 à 10. Pour certains initiés on pourra parler de niveau 10+, ceux-là sont peu nombreux.

    L’un des plus connus du 20° siècle n’est autre que l’Abbé Mermet, qui donna son nom au fameux « Pendule Mermet ».

    Qu’est-ce que le dowsing ?

    C’est l’art de l’utilisation du dowser.

    Qu’est-ce que la radiesthésie ?

    Voir sur  http://www.radiesthesiste.fr

    Selon l’origine étymologique, ce mot est composé du mot latin « radius », qui signifie « rayon » et du mot grec « aisthêsis » qui veut dire « sensation ». C’est en fait, dans le cas le plus général, la faculté ou l’art de percevoir et d’interpréter les radiations émises par différents corps ou différents milieux.

    La radiesthésie comprend globalement deux méthodes :

    -La radiesthésie physique : sourcellerie, hydroscopie, géologie, minéralogie.
    -La radiesthésie divinatoire : recherche de personnes disparues, questionnement de l’inconscient, personnel ou collectif.

    La personne qui pratique la radiesthésie porte le nom de radiesthésiste.

    Le radiesthésiste est capable de percevoir, au moyen d’un pendule, ou d’une baguette, les vibrations d’impulsions et les radiations émises par les choses, les personnes, les animaux, les terrains, etc…

    Anciennement appelée la Rhabdomancie, la radiesthésie était utilisée seulement pour la recherche des sources d’eaux ou de métaux comme l’or. On s’est ensuite rendu compte que les radiations sont aussi émises par toutes les formes de vie.

    Plus tard on s’est rendu compte que cette « résonance » entre une matière inorganique et l’esprit de l’homme avait une validité extensible à tous les champs. Le terme « Radiesthésie est donc défini comme l’étude des ondes et des vibrations émises par un corps quelconque.

    La radiesthésie est donc la pratique, pour la recherche des ondes et des vibrations émises par tous les corps.

    Les principaux instruments que le « radiesthésiste » utilise pour tous les types de recherches sont : les pendules de cristal, de quartz, en bois ou métal, et les baguettes rhabdomancienne qui servent comme aide pour percevoir les vibrations et les radiations émises par un corps et une personne quelconque.

    Les services rendus par la Radiesthésie, sont multiples.

    Les phénomènes radiesthésiques ont en effet une explication d’ordre physique : toutes les choses, de l’être vivant à la matière inorganique, émettent des radiations, chacune sur des longueurs d’onde différentes.

    Ainsi le Radiesthésiste, au moyen de ses Facultés Radiesthésiques, peut capter ces longueurs d’onde ou radiations naturelles pour trouver la présence de ce qu’il est en train de chercher par exemple : les maladies, le remède, la thérapie ou l’approche thérapeutique le plus approprié à la guérison et pour le traitement holistique, l’eau, l’or, des objets perdus, n’importe quel diagnostic sur les animaux, les terrains, les véhicules, les machines etc…

     

                                                                   L’art du sourcier de l’Antiquité à nos jours.

     

    L’art du sourcier appelé jadis rhabdomancie (du grec rhabdos, baguette et  manteia, divination), est pratiqué depuis la plus haute Antiquité. Certaines gravures du Tassili au nord du Sahara gravées il y a 8000 ans représentent des sourciers en action. Les Esquimaux, les Sumériens, les Egyptiens, les Chaldéens, les Hébreux, les Brahmanes de l’Inde, les Celtes, les Grecs, les Germains ou les Romains avaient des sourciers parmi leurs prêtres, leurs chefs ou guides. Un des plus connus est Moïse, chef Hébreu qui vers 1250 avant J.C. chercha l’eau dans le désert du Sinaï à l’aide de son bâton augural de sourcier.

    Autrefois, les rois et les princes avaient recours à des sourciers pour détecter les cours d’eau souterrains et les minerais ou métaux enfouis sous la terre.

    Lors du règne du roi de France Louis XIII et de son homme d’Etat le cardinal de Richelieu, le baron de Beausoleil et son épouse Martine de Bertereau découvrirent avec succès 150 mines en France à l’aide de différentes baguettes de sourcier. Accusée de sorcellerie, Martine de Bertereau fût envoyée à la prison d’Etat de Vincennes et son mari à la prison de la Bastille. Malgré l’interdiction de l’église, de nombreux jésuites et prêtres ont pratiqué avec succès l’art du sourcier.

    En 1693, le père jésuites Le Lorrain professeur de physique au collège Louis le Grand fait paraître un livre intitulé La Physique Occulte.

    Par arrêt du 26 octobre 1701, ce livre fut mis à l’index après une enquête de l’Inquisition. C’est l’abbé Bouly, curé de Hardelot-Plage, dans le Pas de Calais (1865-1968) qui baptisa l’art du sourcier du nom de radiesthésie (du latin radius, rayon et du grec aisthêsis, sensibilité). L’abbé  Mermet (1866-1937) fut très sollicité pour rechercher des sources sur plan ainsi que des sources thermales. En 1948, 1949 et 1952, des médecins allemands comme les docteurs Hartmann, Curry et Wissmann découvrirent des réseaux telluriques et donnèrent leurs noms à ces quadrillages. Les géobiologues tiennent compte dans leurs analyses et recherches de ces réseaux Hartmann, Curry et Wismann.

    Les sourciers apparaissent clairement sur des sculptures et bas-reliefs de l’Antiquité égyptienne, chinoise et péruvienne. Du XVème au XVIIème siècle, ces derniers cherchaient essentiellement du métal et étaient souvent rattachés aux équipes de prospecteurs et de mineurs qui  partaient en expédition.
    Aux XVIIIème et XIXème siècle ils cherchaient plutôt de l’eau. Aujourd’hui, les sourciers sont souvent employés par des organismes publics ou privés pour détecter les câbles, les pipelines, etc…

    Dans le passé, il était probablement dans l’intérêt des sourciers de faire croire qu’ils possédaient des dons extrêmement rares. Mais, aujourd’hui, les experts pensent qu’il est probable que 80% d’entre nous possèdent ces qualités de manière latente. L’équipement nécessaire est minime : soit la baguette fourchue traditionnelle, soit un bâton droit, plus sensible.

    Quels sont les domaines d’application de la radiesthésie ?

    Sont citées les principales spécialités, négligeant l’application de la recherche radiesthésique aux jeux et autres fantaisies, car la radiesthésie n’est pas un amusement de salon.

    -L’hydrologie ou science des sourciers ;
    -La minéralogie ;
    -L’archéologie ;
    -Les trésors ;
    -Les études d’affaires ;
    -L’orientation professionnelle ;
    -Les études psychologiques ;
    -Les recherches : personnes, animaux disparus et objets perdus ;
    -L’agriculture ;
    -L’élevage ;
    -La géobiologie ou médecine de l’habitat ;
    -Les recherches biologiques.

    Des résultats surprenants avec la pratique.

    Au début, les réactions que vous obtiendrez seront peut-être faibles, mais elles devraient s’accentuer avec la pratique. L’expérience vous permettra même de savoir, d’après la force et la nature de la réaction, ce que vous avez trouvé, et à quelle profondeur cet objet est enterré.

    Une méthode de voyance.

    La radiesthésie est une formidable méthode de voyance qui permet de découvrir bien des aspects de votre devenir. Et c’est dans cet axe que nous allons vous permettre de comprendre cet art, pour pouvoir ensuite le pratiquer.

    Beaucoup de gens ne savent pas qu’ils possèdent du magnétisme, cette énergie transmissible par les mains. Mais votre sensibilité radiesthésique est en vous, tout comme vos sens usuels. Le tout est d’avoir la volonté de l’exercer, de la développer, de s’en servir, en somme.

    Faites-les sans précipitations, en restant concentré. Si vous n’obtenez pas de résultats rapides, ne vous découragez pas. Persévérez. Si vous êtes fatigué, reportez au lendemain. Rien ne presse. Mais surtout, procédez par étapes sans faire l’impasse sur l’une d’entre-elles. Les questions que se posent souvent les débutants sont souvent les mêmes : faut-il être doué ? Est-ce que ça s’apprend ? Comme pour la voyance, tout le monde a-t-il des capacités pour parvenir à travailler au pendule ou à la baguette ?

    En chacun sommeille le potentiel de voyance radiesthésie.

    Il n’y a pas d’initiés qui détiendraient le don ou le pouvoir de détecter : tout le monde possède une sensibilité radiesthésique. Celle-ci est variable selon les individus il n’y a pas de caractéristiques physique idéales pour être un bon radiesthésiste, contrairement à ce  l’on peut parfois lire, de ci de là. Il ne s’agit pas d’un sixième sens magique mais d’une sensibilité possédée par tout être humain vivant.

    De même qu’un fil sans courant n’allume aucune lampe, le pendule sans la main, reste dans la neutralité. Et cette main, instrument unique, conduit notre magnétisme au même titre que nos cheveux transportent l’électricité statique. Les cinq doigts servent d’antennes émettrices-réceptrices, où tout se sublime dans la polarité même de la main : le + et le - ; la paume et le dos.

    Principe de vie.
    Principe de vie, principe électrique qui s’évapore dans la symbolique, et que l’on se remémore dans  la poignée de main. C’est alors que le pendule devient l’outil de physique le plus simple au monde.
    La voyance par la radiesthésie un art qui se prête remarquablement au dilettantisme et peut former le complément d’une activité principale habituelle. A vous maintenant !

    Voir ces blogs sur le sujet :

    http://juleslouis.canalblog.com/

    http://www.scribd.com/doc/23926430/Les-Sourciers

    http://www.radiesthesiste.fr/Introduction.html

    Quelques noms célèbres :

    Arman Viré :
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Armand_Vir%C3%A9

    Abbé Aléxis Mermet :
    http://www.evasion.ch/radiesthesie/Page1.html
    http://www.radiesthesiste.fr/PageImg14.htm

    Les frères Servranx :
    http://www.servranx.com/information/a-(1).aspx

    Jacques Aymar-Vernay :
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Jacques_Aymar-Vernay

    Et beaucoup d’autres :

    Maurice Le Gall, Michel Moine, Le Père Bourdoux, Jules Calté, Robert Felsenhardt, l’Abbé Bouly, Joseph Treyve, Henry de France… Voir sur http://www.radiesthesiste.fr/Introduction.html

    Ses origines :

    Les origines de la radiesthésie sont très anciennes. Le document le plus ancien est certainement un bas relief, de l’an 147 après JC, représentant l’empereur chinois YU, une baguette à la main. En Europe, aux XVIème et XVIIème siècles, la baguette sera utilisée pour rechercher des trésors. L’art du sourcier commence à se développer.

    De nombreux ouvriers des travaux publics utilisent souvent deux baguettes à souder  (qu’ils plient en L) pour rechercher l’emplacement de conduite de gaz ou d’eau ou …

    La baguette de sourcier.

    Date de diffusion : 15  novembre 1955.
    En novembre 1955, Judiht Jasmin rencontre en studio un sourcier qui pratique la radiesthésie, l’art de rechercher de l’eau ou des gisements de métaux à l’aide d’une baguette.

    Henry de France, dont le père est l’inventeur du mot radiesthésie, attribue à la capacité d’intuition le tremblement indicateur de la baguette vers l’objet recherché. A la fin de l’entrevue, il explique comment les radiesthésistes peuvent aussi se servir d’un pendule pour tenter  de découvrir des sources d’eau ou des objets perdus.

    Voir la vidéo sur archives.radio-canada :

    http://archives.radio-canada.ca/societe/insolite/clips/14665/

    Voici une copie de la notice d’utilisation d’un dowser :

    http://www.kizoa.fr/diaporama/d749817k3836397o1/dowser

    Vous pouvez retrouver dans les revues « Trésors de l’Histoire » et « Trésors et Détections » de nombreux articles concernant la pratique du dowsing.

    Vous connaissez mieux maintenant l’un des dons que possède Mr Fagioli. C’est grâce un peu à celui-ci et à sa ténacité de chercheur qu’il a put résoudre l’énigme de Marthille et les secrets du  testament du duc d’Enghien (dit de Savary). Nous savons bien que pour le moment il n y a pas eut  de découverte pour confirmer ces révélations. Il faut attendre les bouclages des dossiers de fouilles. Seuls les partenaires financiers manquent aujourd’hui pour clôturer ces dossiers.

    Il a demandé l’appui de l’Etat français depuis 2004, plusieurs fois, avec toujours la même réponse : « Déposer un dossier de fouilles auprès des  DRAC concernaient par vos projets. »

    DRAC = Direction Régional des Affaires Culturelles.

    Il a apprit à être patient, mais sa patience a des limites.

    Fagioli fera-t-il partie un jour de cette caste de radiesthésistes qui ont marqué l’Histoire de France ?
    Fagioli fera-t-il partie des nouveaux sourciers du 21° siècle ?

    Seul l’avenir nous le dira…

    Quel est le niveau de son pouvoir magnétique (de 1 à 10 ou 10+) ?...

     


    2 commentaires

  • Rennes-le-Château-archive.com, le 7 mars 2010. (Jean-Pierre Garcia)

    " Le testament du duc d'Enghien "

    " On me pose souvent la question : " Mis à  part le fabuleux trésor de Rennes, existe-t-il en France d'autres trésors aussi fameux ? ". La réponse est clairement oui. L'histoire de France est émaillée de légendes et de mystères qui trouvent souvent une attache à un trésor plus ou moins important. Le secret du fabuleux trésor de Marthille fait partie de l'un d'eux. Il faut alors remonter en 1789 où cette période trouble força la riche et puissante famille des Condé à abandonner leurs biens et leur fortune pour s'enfuir hors de France.
    L'héritier n'est autre que le duc d'Enghien exilé à Ettenheim dans le pays de Bade, en Allemagne. Voici donc que nous aurions un important dépôt à Marthille dans le département de la Moselle (Lorraine). Le dépôt trésoraire ne fut jamais découvert, malgrè de nombreuses fouilles faite en 1920. Mais l'auteur, également passionné de Rennes, continue dans son essai historique une enquête passionnante.

    Et pour pimenter le récit, y aurait-il un rapport avec le trésor de Rennes-le-Château ? Pourquoi pas ? Car une piste envisagée est que le secret de Rennes se serait ébruité vers l'un des oncles ou des frères de la célèbre famille, puis au premier prince de Condé et par la suite au dernier Condé, le duc d'Enghien.  Voilà qui devrait faire rêver les amateurs de mystères historiques..."

    Voir l'article sur http://www.rennes-le-chateau-archive.com/forums/ 

     


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    Un fragment des croquis fait par Gaston Masculier en 1925, plan appartenant à son ami Richard Berg. (Nom d'emprunt pour garder l'anonymat des descendants) (Albert  Fagioli)

    Mr Fagioli nous livre un fragment du croquis fait en 1925 par Gaston Masculier. Celui-ci appartient à Mr Richard Berg (Nom d’emprunt).

    Mr Masculier et Mr Berg avaient réalisés deux croquis qu’ils avaient codés avec leurs codes secrets.

    Berg avait la première partie avec le plan d’accès.

    Voir  le contrat d’août 1925 : http://albert-fagioli.blogg.org/themes-contrat_de_1925_-189014.html 

    Masculier avait la partie finale avec l’accès aux trésors (Pour certains chercheurs : La chambre aux trésors)

    Ils savaient très bien que même si quelqu’un trouvait l’un des croquis, il ne pourrait rien faire sans l’autre partie. Et surtout sans leur grille des codes secrets…

    Masculier et Berg n’ont jamais pensés une fois que celui-ci pouvait-être codé. Par contre eux pensèrent à coder leurs croquis avec une grille de codes bien à eux.

    Mr Fagioli vous livrera justement cette partie concernant ce fragment des croquis appartenant à Berg.

    Malheureusement pour eux, le duc d’Enghien citait dans son testament l’emplacement de trois trésors, qu’il transposait sur les mêmes dessins et sur la dernière page de son testament.

    Imaginer trois emplacements de trois trésors sur le même croquis. Je pense que le plus grand des chercheurs du monde en perdrait son latin et le nord…

    Le duc d’Enghien mettait tous dans ses croquis, son trésor personnel qui se trouve bien en Lorraine et également l’emplacement de deux autres trésors. Pour ces trésors il se pourrait fort bien qu’ils aient été transmit par ses aïeuls ou hommes d’église. (Secrets…)

    Dans le testament du duc d’Enghien et sur les croquis il parlait de puits, cryptes, châteaux ou abbayes, tours, tour Nord, tour Sud, oubliette Nord, oubliette Sud, souterrains, quatre chariots, un chariot, eau, fossés, torchis… et lieux de culte ou lieux de prière.

    Même notre regretté Gaston Leroux  en perdrait les pédales.

    Mais il aura fallu de nombreuses nuits à Fagioli pour résoudre cette énigme et trouver  le vrais sens des chiffres  inscrit dans certains vides du fameux testament découvert par Masculier en 1925.

    Les Codes des Condé…

    Revenons  sur la partie du croquis présenter ci-dessus, il y a inscrit, « mur en torchis » dans une partie de souterrain et on peut compter 1,2,3…9 petits bâtons en dessous de l’inscription «mur en torchis ». Selon la grille de Masculier et de Berg, dans l’un des souterrains qui mèneraient à la chambre aux trésors il y aurait un mur en torchis de 9 mètres de long. D’après Fagioli il s’agit pour ce croquis, du   trésor qui se trouve en Lorraine. Le jour où vous serez en présence d’un mur en torchis d’environ 9 mètres dans un souterrain en Lorraine vous serez dans le bon souterrain. Après deux cent ans, ce mur en torchis devrait faire environ 10 ou 11 mètres après le tassement de la terre.

    Mur Torchis = mur en terre + paille

    Oui, cette histoire pourrait faire un bon roman pour Agatha Christie’s ou pour Dan Brown, mais il ne s’agit pas d’un roman, mais d’une histoire réelle.

    Mr Fagioli n’attends plus que le ou les mécènes pour financer ses projets de fouilles aux quatre coins de France et de Navarre. Hélas pour celui-ci, il n'habite pas en Angleterre  et les lois en France sont assez strictes en ce qui concerne la recherche de trésors… Si on devait appliquer les lois d'aujourd'hui à l'époque d'André Malraux, celui-ci aurait fini en prison... Comme certains hommes politiques d'aujourd'hui, si les lois devaient-être appliquées en générale.

    « Un archéologue Français a dit à Mr Fagioli : ""Pourquoi n’allez-vous pas exercer vos talents de chercheurs à l’étranger puisque là haut les lois sont moins strictes qu’en France."" »

    Fagioli a répondu : «  ""Je m’excuse mais ces trésors  cités dans le testament du duc d’Enghien ne sont pas à l’étranger mais en France."" » et «  ""Peut-être que la prochaine énigme trésoraire  se passera dans un pays étranger… ""»

    Pour Fagioli,  la cerise sur le gâteau sera de découvrir ces trésors et surtout la médaille du Saint-Esprit, ainsi que la Croix de Malte et la Croix de Saint-Louis du duc d’Enghien.

    Dans un courrier adressé en 2004, au président Jacques Chirac, il demandait  comme récompense pour ses longues recherches  d’avoir le privilège de garder la médaille du Saint-Esprit en cas de découverte du trésor du duc d’Enghien...

    On a déjà du mal à garder en France les grands chercheurs de toutes matières…

    Sera-t-il mieux reçu dans les autres pays ??? Nul n’est prophète en son pays !!!

    Fagioli sera-t-il notre Indiana Jones du 21° siècle… Seul l’avenir nous le dira…

     


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  • Trésors du monde, Trésors de France, Trésors de Paris, enterrés, emmurés, engloutis, Editions Fayard, 1972. (Trésor de Rennes-le-Château) (Robert  Charroux)
    (Pages 247, 248, 249, 250, 251, 252, 253, 254, 255, 256, 257, 258, 259)

    Voici les compléments concernant l’affaire de Rennes-le-Château dans une réédition dix ans plus tard, Editions Fayard,en 1972.

     

     

    ""Des documents découverts récemment éclairent l'aventure d'un jour nouveau : il s'agirait de plusieurs trésors et l'un d'eux serait le trésor des Templiers ! ""

     

    LA DALLE MYSTERIEUSE

    Pour retrouver celui de Bérenger Saunière, il faudrait connaître le texte gravé sur la pierre tombale de « Marie de Negre d'Ablès, dame de Blanchefort, seigneuresse de la paroisse, décédée le 17e jour de janvier 1781 à l'âge de 61 ans ».
    Elle était la mère de noble Marie d'Hautpoul-Blanchefort qui le 26 septembre 1752 avait épousé son cousin, messire Joseph d'Hautpoul, chevalier et marquis.
    Cette pierre tombale se trouve dans l'ancien ossuaire du cimetière, mais Bérenger Saunière en a soigneusement gratté l'inscription.
    — Comme il est regrettable qu'un homme cultivé comme vous n'ait pas pris la précaution de prendre copie de l'inscription, remarqua un jour l'historien Ernest Cros !
    Le curé répondit que cette dalle convenait pour son projet de construction d'ossuaire et qu'en conséquence il n'avait aucune raison de la conserver, mais il éluda l'essentiel de la question.
    Toujours selon M. Cros, l'auteur de l'inscription funéraire était soit un membre de la famille d'Hautpoul, soit l'abbé Antoine Bigou, curé de Rennes de 1774 à 1790 et déporté en vertu de la loi du 26 août 1792.
    Il mourut en exil, probablement à Sabadelle, le 21 mars 1794.
    Avant de partir, il avait terminé, dans l'église, l'aménagement d'une crypte, commencée par la famille de Voisins et qui se situait partie dans le clocher, partie sous le dallage de l'église.
    En 1891, Bérenger Saunière découvrit la cachette et la vida de son trésor.
    Ce point est prouvé par les libéralités dont il fit preuve auprès de ses collègues des environs.
    A l'abbé Grassaud, curé de Caudiès-de-Fenouillèdes, il offrit un très beau calice et régla les notes de ses fournisseurs avec des bijoux de facture ancienne.
    Quand on questionnait Saunière sur le trésor il répondait :
    — On dit que j'ai trouvé un trésor ! Me l'an donat ley panât, ley trapat, en tôt cas bas teni !
    Voici, partiellement reconstitué par Ernest Cros, d'après les déclarations des habitants de Rennes-le-Château, le texte et le dessin du rébus qui fourniraient une des deux clés de l'énigme :
    PS
    REDDIS REGIS
    CELLIS ARCIS
    PRAE CUM

    Interprétation :
    PS : pars ; REDDIS : à Rennes ; REGIS : du roi ; CELLIS : dans les caves ; ARCIS : de la citadelle (autre sens possible) ; PRAE-CVM : des Hérauts (abrégé de « prae-comvm » :  hérauts du Christ, une des désignations des Templiers aux XIII* et XIV" siècles). D'où : « A Rennes, un trésor est caché dans les caves de la citadelle du Roi. Ce trésor appartenait aux Templiers. »

     
    Autre interprétation :
    PS : propriété.
    Régis : du roi.
    Reddis : à Rennes.
    Arcis : de Blanchefort (Blanca fortax, arcis).
    Cellis : dans les caves (ou cryptes).
    Praecum : venant des Templiers.

     

     


    LA PIERRE DE COUMESOURDE


    D'après une tradition tenace, et peut-être sans fondement, la pierre tombale ne donnerait que la première clé de l'énigme du trésor.
    La seconde clé serait gravée sur la dalle de Coumesourde qu'Ernest Cros découvrit en 1928, près de Rennes-le-Château, vers le sommet de la cote 532 de la carte de l'état-major.
    Depuis le XIII" siècle, les familles de Voisins, de Marquesave, d'Hautpoul et de Fleury détinrent, par legs successifs, le secret de l'emplacement d'une ou de plusieurs caches de trésors constitués pendant les troubles de la Révolution.
    Une chronique assure qu'en 1789, avant d'émigrer, les comtes de Fleury gravèrent « les indications énigmatiques du secret sur la dalle tombale de la dame de Blanchefort et aussi sur la pierre de Coumesourde ».
    L'un des trésors revenait de droit au roi (affaire des Infants de Castille, petit-fils de saint Louis).
    Un autre venait des Templiers (affaire des grandes familles du Roussillon appartenant au parti Majorquin), et les nobles ci-dessus mentionnés le considéraient comme leur bien depuis la disparition de l'Ordre.

    Ce trésor, réparti en deux caches, était enterré ou emmuré au XIVe siècle sur les terres de ces familles :
    — Au Bézu, au nord-est de Rennes.
    — Au Val-Dieu, au sud-est du bourg, au Casteillas ou dans le ruisseau de Couleurs.
    La pierre de Coumesourde était dissimulée dans une anfractuosité de rocher et signalée très discrètement par une flèche et une croix pattée, gravées en creux dans la roche.
    Voici le libellé et l'interprétation qu'en fit M. Cros, compte tenu des mots effacés ou illisibles :

    SAE : la Sauzée (Sauzils) ; SIS : les Roches ; + : croix pattée des Templiers : IN MEDIO LI LINEA : la bissectrice de l'angle SAE- * SIS ; UBI M SECAT = là où elle coupe le plus grand côté du triangle ; LINEA PARVA (sous-entendu : ubi M secat) : là où le côté le plus petit coupe le plus grand ; PS PRAECVM : une partie du trésor des Templiers ; + = croix des Templiers, désigne les Tiplies ou le roc du Bézu où cette croix gravée était encore visible en décembre 1958 (le même signe existait aussi en 1958 sur un rocher de Val-Dieu).
    On pourrait donc théoriquement situer le trésor en construisant sur une carte d'état-major, les figures géométriques indiquées par Ernest Cros.
    L'inscription aurait été tracée par un membre de la famille d'Hautpoul-Fleury, avant l'émigration.
    Mais deux difficultés majeures se présentent :
    — le texte de la dalle de la comtesse de Blanchefort, irrémédiablement détruit, n'est reconstitué que de mémoire.
    — dans ce que l'on possède du texte de Coumesourde, il manque des mots entiers, et la position des caractères gravés — extrêmement importante — est très approximative.
    La tâche des chercheurs de trésors est donc de retrouver le texte intégral.
    M. Ernest Cros qui était un disciple johannite (secte chrétienne orientale agréée par les grands baillis du Temple) fit porter la pierre de Coumesourde à Paris, soit dans sa famille, soit plus probablement, pense-t-on, au siège d'une société secrète.
    Depuis cette époque (1945-1946) la pierre est introuvable.
    Si quelqu'un, à qui elle ne peut servir, pouvait ou voulait bien donner des indications sur le texte exact et la disposition des mots gravés, le trésor des Templiers livrerait peut-être ses pièces d'or et ses documents précieux !
    Puisse ces lignes êtres lues par le détenteur de la pierre.

     

    L'INCROYABLE PIERRE ALQUIER !

    En 1960, M. Charles Abbot, ancien fonctionnaire de la police, qui habitait chez Mme L... 225, rue de Charenton, à Paris, nous a fait d'intéressantes révélations.

    Pendant la guerre 14-18, dit M. Abbot, j'étais en convalescence à l'hôpital de Choisy et j'avais, comme voisin de lit, un maçon d'Espéraza (Aude).
    Les journées étaient longues et nous bavardions le plus possible pour tuer le temps.
    C'est ainsi que ce maçon, dont j'ai oublié le nom, me parla du trésor de l'abbé Bérenger Saunière.
    H me dit qu'en 1917, craignant l'arrivée des Allemands, le curé avait fait combler l'ossuaire qui se trouvait, alors, tout de suite à droite en entrant dans le cimetière.

    En réalité, il ne s'agissait pas d'un ossuaire proprement dit, mais d'une fosse d'attente maçonnée où l'on mettait sans doute les cercueils en dépôt provisoire.
    Or, au fond de cette fosse, mon voisin de lit me dit qu'il avait remarqué, avec étonnement, une petite porte ou trappe donnant il ne savait où.
    En y réfléchissant bien, il croyait maintenant que cette affaire était en liaison avec celle du trésor dont on parlait beaucoup à Espéraza et à Rennes.
    Un autre témoignage, mais quelque peu suspect, est celui de M. Pierre Alquier de Perpignan, portefaix au marché de la place de la République, avec qui nous étions en correspondance en 1959, par l'intermédiaire de Mme Marie-Thérèse Rivallier, 23, rue Duchalmeau, car notre informateur ne savait ni lire, ni écrire.
    Il était originaire d'Espéraza et manœuvre dans sa jeunesse, ce qui laisse supposer que son histoire est peut-être véridique.
    Je ne me souviens plus à quelle date, mais c'était au mois de mai, nous a dit Pierre Alquier... peut-être en 1916, car j'étais tout gosse, que le curé Bérenger Saunière me demanda de monter à la cure, pour un travail de confiance.
    C'était bizarre, car j'habitais Espéraza et il devait y avoir, à Rennes et à Couiza, des ouvriers plus vieux et plus qualifiés que moi, mais il est vrai que la main-d'œuvre était rare, vu que les hommes valides étaient tous à la guerre.
    Entre le château et l'église, le curé m'a fait creuser un trou de six à huit mètres. Nous avons trouvé, fermé par une grille de fer toute rouillée, un souterrain qui allait du côté de l'église. Avec ma pioche, j'ai fait sauter la serrure.
    Il y avait ensuite une galerie de trois mètres de longueur environ et nous avons pénétré dans une crypte remplie de trésors, d'armes et de squelettes.
    Je n'ai touché à rien, le curé ne l'a pas voulu.
    Il m'a dit de m'en aller et m'a remis six mille francs d'argent pour ma peine, en me commandant de toujours tenir ma langue.
    Mais il y a bien longtemps de ça !
    A mon avis, la chambre aux trésors devait se situer sous le château du curé.
    La galerie qui y mène sort sous la sacristie et le diable au milieu de la chapelle (?) (1).

    Cette relation bizarre mérite-t-elle d'être prise en considération ?
    Nous en doutons fortement, car Pierre Alquier qui dort habituellement à la belle étoile est bien capable d'inventer une histoire pour peu qu'on le pousse au cabaret !
    De plus, s'il est né en 1908 comme il le dit, il avait huit ans quand le curé l'employa comme terrassier, ce qui est bien peu croyable !
    Quoi qu'il en soit, le trésor a existé, et il existe certainement encore, comme semble le suggérer cette lettre figurant dans les archives de M. Corbu et écrite par un de ses amis au curé :
    « Tu ne peux rien dire publiquement, mais confesse-toi, tu seras absous car tu n'as rien à te reprocher. »
    Hélas ! Bérenger Saunière ne voulut jamais se confesser au sujet du trésor, sinon à sa maîtresse, Marie Denarnaud.
    Pourtant, le secret n'est pas impénétrable.
    Un habitant de Rennes-le-Château qui en sait peut-être long a dit un jour à un membre du Club des Chercheurs de Trésors :
    — Le secret du curé aux milliards est au fond d'une tombe, il s'agit seulement de trouver laquelle...
    Un jour donc, les milliards cachés par le vieux curé seront Peut-être trouvés par le fossoyeur, et ce sera tant pis pour la petite cité perchée sur son piton rocheux : elle perdra le plus clair de son mystère... ou le plus sombre, si l'on préfère !

    (1) Cette indication est certainement fausse. Le « diable » est le bénitier supporté par un diable qui est placé à l'intérieur de l'église, à gauche quand on y entre. La sacristie est loin de ce point. ""

     

    Voici donc les compléments concernant l'énigme de Rennes-le-Château publié par Robert Charroux dix ans après son premier livre, "Trésors du Monde" en 1962. On y parle du possible trésor des Templiers, puis de la dalle mystérieuse, de la pierre de Coumesourde et deux récits, l'un d'un maçon de Bérenger Saunière et l'autre d'un certains Pierre Alquier.

    Ces récit sont-ils vrais ? Ou quels détails sont  vrais dans ces récits ?

     


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  • Trésors du Monde, Editions Fayard, 1962. (Trésor de Rennes-le-Châteaux) (Robert Charroux)
    (page 259, 260, 261, 262, 263, 264, 265, 266, 267)

    Robert Charroux :
    Robert Charroux nous a quittés le 24 juin 1978 en faisant un dernier pied de nez à ses détracteurs, à ces esprits stratifiés d’un monde qu’ils voudraient immuable et statique. Charroux le païen, Charroux le chercheur de vérité, Charroux l’hérétique, est parti en pleine lumière, le jour du solstice d’été ! De son vrai nom Robert Grugeau, il naquit le 7 avril 1909 à Peyroux (Vienne), et fit ses études au collège de Civray. En 1927 il entra au PTT comme surnuméraire. Déjà l’envie d’écrire le démangeait , mais ce n’est qu’en 1942 qu’il rédigea sa première nouvelle sous le nom de Charroux, peu avant de quitter la Poste, en 1943, Robert va choisir un autre pseudo : « Saint Saviol ». Ce ne fut sans doute pas un hasard. C’est ainsi que naquit le Club International des Chercheurs de Trésors, dont il prendra la présidence, secondé par Yvette son épouse, qui quelques années plus tard le suivra dans toutes ses difficiles aventures. Lors de ses recherches, Robert découvrira des vestiges archéologiques non répertoriés et des ruines chargées de ce qu’il nommait de Mystérieux Inconnu. Ces énigmes ne pouvaient laisser sa sensibilités intuitive et lucide sans réaction. Avec frénésie, il parcourra le monde à la découverte d’un passé oublié. Ses premiers voyages donnèrent naissance à « L’Histoire Inconnue des Hommes depuis 100 000 ans » (1967), livre qui lui valut de recevoir des milliers d’informations collectées par des lecteur répartis sur les cinq continents.

    Voir sur : http://cybermees.monserveurperso.com/dotclear/index.php?2006/01/03/67-robert-charroux-grugeau-ecrivain-aventurier 

    ou http://fr.wikipedia.org/wiki/Robert_Charroux 

     

    " Trésor de Rennes-le-Château : huit milliards dans une tombe. "

    Historique est le trésor de Rennes-le-Château, petit bourg de France dans les monts des Corbières, à soixante kilomètres au sud de Carcassonne.
    Son église et ses quelques maisons sont perchées sur un piton rocheux auquel on accède par une rampe sévère de cinq mauvais kilomètres.
    Il a presque fallu un miracle pour qu'un trésor soit caché en ce bout de monde où les autos ne grimpent qu'à grand-peine, sans guère pouvoir se croiser en cours de route.

     

    " Pourtant, il y a un trésor à Rennes-le-Château, un authentique trésor puisqu'il fut trouvé il y a un demi-siècle par le curé Bérenger Saunière, qui après l'avoir entamé — oh ! à peine sans doute —, le légua à sa servante-maîtresse, la jolie Marie Denarnaud, laquelle le légua à son tour à M. Noël Corbu.
    Mais l'héritage de Marie Denarnaud fut incomplet puisqu'elle mourut sans avoir eu le temps de révéler la cachette.
    Depuis, M. Corbu détecte, pioche, creuse, sonde, dans l'espoir de mettre au jour les pièces d'or, d'argent, les bijoux et les pierres précieuses du trésor évalué à huit milliards, et que des historiens sérieux pensent être le trésor de la France du XIIIe siècle.

     

     

    Jadis, il y a sept cents ans, dit Noël Corbu, il y avait à Rennes une ville de trois mille âmes et une ceinture de remparts dont on retrouve encore des ruines.
    En cherchant le trésor j'ai découvert des monnaies anciennes, des poteries, des armes et les squelettes qui équipent mon petit musée.
    Selon des historiens de Carcassonne, la genèse du trésor remonterait à février 1250. A cette date la révolte des pastoureaux déclenchée dans le Nord de la France par le mystérieux « Maître de la Hongrie », battait son plein et la vague des serfs et des gueux déferlait vers le midi.
    Blanche de Castille, régente de France, vint à Rennes-le-Château — que l'on appelait alors Rhedae — pour y mettre à l'abri, dans la puissante citadelle, le trésor de la France que menaçaient à la fois les pastoureaux et les sourdes cabales de la noblesse. Notez, en passant, que la citadelle de Rhedae passait pour imprenable et se situait sur la route d'Espagne, où Blanche de Castille savait pouvoir trouver refuge en cas de danger.
    Elle fit déposer le trésor dans la salle souterraine du donjon. Du moins on le pense.
    Certes, on s'explique mal que le trésor soit demeuré intact si longtemps, surtout durant l'année 1251 au cours de laquelle saint Louis aurait eu tant besoin de subsides que ne pouvait lui envoyer sa mère.

     

    Bref, M. Corbu pense que ce trésor constituait une réserve où l'on ne devait puiser qu'en cas de péril urgent.
    Blanche de Castille mourut en 1252 après avoir révélé le secret à saint Louis qui le confia à son fils Philippe le Hardi.
    Ce dernier mourut à Perpignan sans avoir eu le temps de dire à Philippe le Bel le secret de Rhedae.
    En 1645, on reconstruit Rhedae qui devient Rennes-le-Château ; l'antique forteresse, légèrement déplacée, s'érigeait à l'emplacement de l'actuelle propriété de M. Corbu.
    C'est alors que commence la véritable histoire du trésor perdu et trouvé.
    Trouvé d'abord au XVIIe siècle par un berger du nom d'Ignace Paris, qui ayant égaré une de ses brebis, l'entendit bêler au fond d'une crevasse où il descendit.
    Mais la brebis, apeurée par l'irruption du berger, s'enfuit par une galerie.
    Toujours à sa poursuite, Ignace Paris déboucha dans une crypte « remplie de squelettes et de coffres », les premiers effrayants, les seconds au contraire pleins d'attraits.

    Il remplit ses poches de pièces d'or, s'enfuit épouvanté après coup, et rentra chez lui.
    Sa subite fortune fut vite sue de tout le village, mais Ignace eut la maladresse de ne pas vouloir en révéler l'origine, et accusé de vol il fut tué sans avoir pu divulguer le secret de la crypte.
    Y eut-il éboulement à l'entrée du souterrain ? On ne sait, mais jusqu'en 1892 il ne fut plus question du trésor dont les parents du berger ne devaient pas connaître l'emplacement.

    Un événement fortuit à cette époque, fit entrer en jeu le curé Bérenger Saunière.
    Il avait obtenu la cure de Rennes en 1885, et fut tout de suite adopté par la famille Denarnaud dont la fille Marie avait dix-huit ans et travaillait comme chapelière au bourg d'Espéranza.
    Les Denarnaud, logés à l'étroit, ne tardèrent pas à venir habiter la cure.
    En 1892, le curé Bérenger jouissait de l'estime certaine de ses paroissiens, tant par son zèle que par sa bonne humeur.
    C'est alors qu'il obtint un crédit municipal de deux mille quatre cents francs pour refaire le maître-autel wisigothique et la toiture de son église.
    Le maçon Babon de Couiza se mit au travail et un matin à neuf heures, il appela le curé pour lui montrer dans un des piliers de l'autel quatre ou cinq rouleaux de bois, creux et fermés à la cire.
    — Je ne sais pas ce que c'est ! dit-il.
    Le curé ouvrit l'un des rouleaux et extirpa un parchemin écrit, pense-t-on, en vieux français mêlé de latin, où l'on pouvait à première vue discerner des passages de l'Evangile.

    — Bah, dit-il au maçon, ce sont de vieilles paperasses qui datent de la Révolution. Ça n'a aucune valeur !
    Babon à midi alla déjeuner à l'auberge, mais une pensée le tracassait, si bien qu'il en fit part autour de lui. Le maire vint aux renseignements ; le curé lui montra un parchemin auquel le brave homme ne comprit goutte et l'affaire en resta là.
    Pas tout à fait cependant, car Bérenger Saunière prit sur lui d'arrêter les travaux de l'église.
    Voici d'après M. Corbu ce qui dut se passer ensuite :

     

    Le curé cherche à déchiffrer les documents ; il reconnaît les versets de l'Evangile et la signature de Blanche de Castille avec son sceau royal, mais la suite demeure un rébus. Il va donc à Paris en février 1892 consulter quelques linguistes à qui par prudence il ne donne ses documents que par fragments.
    Je ne puis pas révéler les sources de mon information [c'est Noël Corbu qui parle] mais puis assurer qu'il s'agissait du trésor de la Couronne de France : dix-huit millions en cinq cent mille pièces d'or, des joyaux, des objets du culte, etc.
    Le curé revient à Rennes sans connaître exactement le point de la cachette, mais avec des indications précieuses et suffisantes.
    Il cherche dans l'église. Rien !
    Marie, pour sa part, est intriguée par une vieille dalle du cimetière portant une inscription bizarre ; c'est la pierre tombale de la comtesse Hautpoul-Blanchefort. Si le trésor était dessous ?
    Le curé ferme à clef la porte du cimetière et, aidé de Marie, durant plusieurs jours, se livre à un mystérieux travail. Un soir, ils sont récompensés de leurs efforts et finissent par reconstituer le puzzle, dont les inscriptions de la pierre tombale leur avaient donné les premiers éléments.
    Dès cet instant la situation de Marie Denarnaud change à la cure : elle devient la confidente, la collaboratrice.
    Je crois savoir qu'il existe six entrées menant à la cachette, dont celle du donjon qui déjà en 1892 avait disparu.
    Sur un des parchemins il y a des lignes comptées en toises qui partent du maître-autel. Marie et le curé mesurent avec des ficelles et trouvent un point terminal en un endroit qu'on appelle le « château », terrain vague maintenant ; ils creusent et trouvent le souterrain et la crypte au trésor où jadis le berger Paris avait abouti.

    Les pièces d'or, les bijoux, les vaisselles précieuses sont là ternis par une épaisse couche de poussière, mais intacts.
    Ils arrêtent un plan : le curé ira en Espagne, en Belgique, en Suisse, en Allemagne changer les pièces, et il expédiera l'argent par la poste, à Couiza au nom de Marie Denarnaud.
    C'est ce qu'ils firent non sans danger et difficulté pour rapatrier les capitaux.

    Quoi qu'il en soit, en 1893, le curé Saunière est riche, très riche... tellement, qu'à ses frais il commande toutes les réfections de la toiture et de l'église qu'il embellit de façon somptueuse.
    Il fait réparer le presbytère, construire le mur d'enceinte du cimetière, édifier un kiosque dans un splendide jardin à rocailles et à jets d'eau.
    De plus, il achète de beaux meubles, des robes de grand prix pour Marie ; il fait venir du rhum de la Jamaïque, des singes de l'Afrique, il engraisse ses canards de basse-cour avec des biscuits à la cuillère — pour qu'ils aient la chair plus fine, — élève des chiens d'agrément...
    Bref, c'est la grande vie à Rennes-le-Château où l'on tient table ouverte — et quelle table ! — pour toute la gentry des alentours.
    Le curé achète des terrains, des maisons, mais au nom de Marie Denarnaud, et la jolie brunette aux yeux malicieux, à la taille fine, devient une véritable châtelaine.
    Quand il est en déplacement, le curé lui écrit :
    « Ma petite Marinette, que deviennent nos bêtes ?
    « Fais une caresse à Faust et à Pomponnet [les chiens], bonne santé aux lapins. Adieu Marie. Ton Bérenger... »
    A vrai dire, d'autres belles partagent aussi le cœur du milliardaire. On a avancé les noms d'Emma Calvet, de la belle comtesse de B. et de bien d'autres !
    Car cette fortune subite a tourné la tête au prêtre et l'a fait sombrer dans la mégalomanie ; il rêve de construire un château ! Mais, prudent malgré tout, il a soin de détruire les indications qui l'ont mené à la crypte ; dans le cimetière, il gratte les inscriptions de la dalle funéraire de la comtesse, et met les parchemins dans la salle aux trésors.
    Le maire vient lui faire des reproches au sujet de la tombe saccagée et des richesses dont il dispose, mais le curé rit de ses craintes, lui parle de l'héritage d'un oncle d'Amérique et lui donne cinq mille francs en or.
    Le maire reviendra souvent à la charge... pour le même prix !
    Mgr Billard, évêque de Carcassonne, s'inquiète lui aussi du comportement de son prêtre, mais là encore, avec de l'argent, de bons vins et de la bonne chère les difficultés sont aplanies.

     

    En 1897, Bérenger Saunière fait commencer la construction de la villa Béthania, avec les remparts et la tour qui coûteront la bagatelle d'un million-or ; pour avoir des fleurs à belle année il fait édifier une serre sur le chemin de ronde.
    Le successeur de Mgr Billard, Mgr de Beauséjour, vient jouer les trouble-fête : il demande des explications à Bérenger, le convoque en Cour de Rome et finalement prononce contre lui l'interdiction.
    Un nouveau curé est nommé à Rennes-le-Château, mais Saunière n'en a cure, et dans la chapelle de sa villa continue à dire sa messe qui rassemble d'ailleurs la quasi-totalité des paroissiens si bien que le nouveau venu, écœuré, prend le parti de ne plus faire le rude chemin Couiza-Rennes.
    Bérenger prépare aussi un nouveau plan d'embellissement : il veut surélever la tour, construire une route jusqu'à Couiza, acheter une auto, faire l'adduction d'eau dans tout le village ; son devis se monte à huit millions-or (en 1914) soit environ huit milliards de francs légers. Cet argent, le curé l'a en espèces.
    Le 5 janvier 1917, il signe des bons de commande, mais une cirrhose du foie l'emporte le 22, avant qu'il ait pu donner corps à son projet
    Marie, désolée, dispose le défunt sur la terrasse, assis dans un fauteuil recouvert d'une couverture à pompons rouges et tous les villageois viennent prier et emportent chacun un pompon comme relique du saint homme.
    Marie Denarnaud est désormais seule maîtresse de Rennes-le-Château car tout a été mis à son nom, mais elle finit sa vie quasi cloîtrée, ne recevant plus de visites, et il est probable qu'elle ne revint jamais à la crypte au trésor.

     

    Voilà ce que dit Noël Corbu, troisième personnage du roman et héritier de Marie Denarnaud.
    M. Corbu connut Marie à la fin de sa vie, de 1946 à 1953, tout à fait par hasard.
    Avec sa femme, il prit pension chez elle et sut lui inspirer confiance et amitié.
    — Ne vous faites pas de mauvais sang,  monsieur Corbu, lui dit-elle un jour. Vous aurez plus d'argent que vous ne pourrez en dépenser !
    — D'où le sortirez-vous ? demanda Noël.
    — Ah ça... je le dirai quand je mourrai !
    Le 18 janvier 1953, elle tomba malade, sombra dans l'inconscience et mourut en emportant son secret.
    Voilà donc de nouveau le trésor de Blanche de Castille perdu et bien perdu cette fois, semble-t-il !
    Mais en fait, rien ne prouve que ce trésor soit celui de la mère de saint Louis. Certains avancent qu'il s'agirait du trésor d'Alaric dont la capitale était Rennes-le-Château ; d'autres, et c'est plus vraisemblable, penchent pour le trésor des Cathares en tenant compte du fait que Rennes était leur deuxième citadelle après Montségur.

    Quoi qu'il en soit, le trésor a existé, et il existe certainement encore, comme semble le suggérer cette lettre figurant dans les archives de M. Corbu et écrite par un de ses amis au curé :
    « Tu ne peux rien dire publiquement, mais confesse-toi, tu seras absous car tu n'as rien à te reprocher. »

    Hélas ! Bérenger Saunière ne voulut jamais se confesser au sujet du trésor, sinon à sa maîtresse, Marie Denarnaud.
    Pourtant, le secret n'est pas impénétrable.
    Un habitant de Rennes-le-Château qui en sait peut-être long a dit un jour à un membre du Club des Chercheurs de Trésors :
    — Le secret du curé aux milliards est au fond d'une tombe, il s'agit seulement de trouver laquelle...
    Un jour donc, les milliards cachés par le vieux curé seront Peut-être trouvés par le fossoyeur, et ce sera tant pis pour la petite cité perchée sur son piton rocheux : elle perdra le plus clair de son mystère... ou le plus sombre, si l'on préfère !"

     

     

    Mr Fagioli a réussi à retrouver le premier livre de Robert Charroux aux Editions Fayard de 1962, il  a retrouvé par la suite une réédition intitulé " Trésors du Monde, Trésors de France, Trésors de Paris, enterrés, emmurés, englouties," chez Fayard en 1972.

    On a là une version sur l'histoire de Rennes-le-Château publié en 1962. On parle qu'il y aurait six entrées qui mèneraient à la cachette dont celle du Donjon. Apparemment cela semble très intéressant si on regarde le croquis fait par Mr Fagioli sur l'emplacement d'une crypte dans l'entrée de l'église avec ses départs de souterrains. Nous avons bien six entrées possibles !

     

    http://albert-fagioli.blogg.org/themes-rennes_le_château___la_fin_d_un_mythe_-219837-offset-10.html 

     

    On parle également d'un parchemin sur lequel il y a des lignes comptées en toises partant du maître d'autel. Encore une autre coïncidence concernant des souterrains mais apparemment d'après Fagioli ils ne partent pas du maître d'autel mais de l'entrée de l'église.

     

    Si Mr Fagioli avait écouté toutes les conlusions des chercheurs d'hier à aujourd'hui il aurait placé le croquis de la crypte avec ses souterrains sous le maître d'autel de l'église, mais il n'en fût pas le cas, en novembre 2008.

    http://albert-fagioli.blogg.org/themes-rennes_le_château___la_fin_d_un_mythe_-219837-offset-15.html 

     

    Encore une chose intéressante : " Dont celle du Donjon qui déjà en 1892 avait disparu." Lesquels de ces souterrains conduisaient au Donjon, A, B, C, D, E ?  Où était le Donjon ? Le clocher ! L'ossuaire ! La Villa Béthania ! La tombe des Hautpoul ! Où ... !

     

    Imaginer Rennes-le-Château il y a environ 1000 ans à 1500 ans. Y'avait-il un Donjon ? Y' avait-il des caves ou cryptes ? Y'avait-il des souterrains ? Y'avait-il des remparts, voir des doubles remparts ?

     

    Bizarre qu'aujourd'hui on a retrouvé aucune crypte et aucun souterrain à Rennes-le-Château !!!

     

     

     


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  • La dalle des Chevaliers. (Rennes-le-Château)

    Mr Fagioli a lu et relu sur le site de l’APARC,

    http://www.aparc-rennes-le-chateau.com/etranges_découvertes.htm  un récit de l’abbé Maurice-René Mazières, ancien prêtre de Campagne sur Aude et  grand historien régional.

    Nous  reproduisons tel que l'abbé Mazières  l’a entendu de la bouche même d’un de ses amis, lorsqu’il était prêtre à Campagne  le passage qui demande toute notre attention et toute notre vigilance sur les possibles interprétations des mots.

     "J'ai connu à Campagne sur Aude, un ancien enfant de chœur de Bérenger Saunière, M. Rousset, qui avait une dizaine d'années à cette époque. Ce dernier avait bien souvent fait le récit chez lui et à ses amis de Campagne de l'aventure qui lui était alors arrivée et à six de ses camarades du catéchisme :
        "Demain c'est jeudi, vous viendrez m'aider, nous avons à faire quelque chose dont je vous demande d'observer la plus grande discrétion auprès de vos parents et gens du village. Je vous récompenserai par un succulent goûter que vous servira  ma bonne Marie.

    On imagine la joie des enfants d'une telle confiance. Le lendemain, à l'heure convenue, ils étaient tous là, à la porte de l'église. Le curé les fit entrer et là, surprise générale, les enfants aperçoivent,  plusieurs barres à mine enfoncées dans la terre, prêtes à faire levier pour débloquer une dalle qui avait été mise à jour et qui se trouvait devant le Maître-Autel, au centre de la nef. Ensemble dit l'abbé, nous allons essayer de la dégager. Après maints efforts, ils y parvenaient."
    Le curé regardant sa montre leur dit: "Il va être midi, rentrez chez vous pour manger. Ne parlez de cela à personne et à  4 heures, revenez,  le goûter vous attend." A 4  heures ; Ils étaient tous là,
    mais surprise la dalle avait retrouvé sa place, les barres  posées au sol.
    Comme leurs aînés maçons lors d'une précédente découverte, ils demandèrent des précisions au curé qui resta très évasif: "ce ne sont que des tombes, on ne peut pas aller plus loin".
    "Mais les marches taillées dans le roc que nous avons aperçu, rétorqua l'un des enfants à l'esprit plus curieux que les autres?
    M. Rousset était formel, lui aussi avait bien vu des marches taillées grossièrement dans le roc,  assez hautes, difficiles à franchir et puis le noir.
     L'abbé de répondre : "Elles sont naturelles".
     M. Rousset sera certain des dires qu'il avançait
    . La faille entrevue devait aller de la dalle jusqu'au pilier de l'entrée de l'église.
    La dalle fut ensuite enlevée et la cavité comblée. M. Rousset a souvenance que la face enterrée de la dalle révélait une très belle sculpture représentant deux cavaliers (Il s'agit de la dalle dite des chevaliers qui se trouve aujourd'hui au musée.) »

     

    Que recouvrait cette dalle des Chevaliers ?  Des escaliers?

    D’après le récit on peut penser qu’il y avait un escalier qui partait de l’endroit où se trouvait cette dalle et descendrait en direction du pilier de l’entrée de l'église, là l'on  trouve le diable Asmodée.
    Ne mettant pas en doute le récit de l'abbé Mazières, nous ne pouvons qu'admettre   que les révélations faites par Mr Fagioli concernant l’emplacement d’une crypte à l’entrée de l’église étaient exactes. (Sans parler du caveau des Seigneurs qui se trouve près de l’autel)

    Voir les croquis publiés en novembre 2008 sur son site et qui ont été confirmés en mai 2009 en présence de messieurs André Galaup et Michel Vallet, lors de la visite de Mr Fagioli à Rennes-le-Château.

    M. Fagioli qui après sa venue à Rennes a adressé un rapport intitulé «  Les Chemins de l’histoire » à la DRAC de Montpelier, la mairie de Rennes-le-Château, la sous-préfecture de l’Aude, en mentionnant qu’il  préparait un dossier de fouille internationale à Rennes-le-Château.

    http://albert-fagioli.blogg.org/themes-rennes_le_château___la_fin_d_un_mythe_-219837-offset-10.html

    Quelle analyse fait M. Fagiloi après la lecture de ce récit:

    Que le diable regarde bien en direction de la crypte qui se trouve à l’entrée de l’église et que nous sommes au point de départ d'un passage secret qui partirait de la dalle des Chevaliers (passage étroit et avec des escaliers très hauts, car sûrement faute de distance pour avoir des escaliers normaux pour rejoindre un certain lieu…)
    Mais où mènent ces escaliers?
    A la crypte qui se trouve dans l’entrée ? Peut-être !!!

    Autre analyse de Mr Fagioli, ce petit corridor étroit avec des escaliers de grandes hauteurs rejoindrait une tour qui devrait se situer au niveau (Dans la zone) du pilier de l’entrée de l’église. De cette tour on pouvait  accéder à la crypte de l’entrée et également sortir par un des souterrains en dehors de Rennes-le-Château.

    Ou peut-être il ne s’agit que du passage secret qui permettait de sortir de Rennes-le-Château…

    D’après ses recherches M. Fagioli  affirme que le véritable accès à la crypte de  l’entrée de l’église se trouve dans le cimetière côté gauche du clocher.

    Après toutes ses analyses M. Fagioli posse la question: A quand des sondages officiels dans l'église de Rennes-le-Château.

    L'APARC apporte une pierre et une vision nouvelle sur cette affaire.

     


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  • L'église de Manom, jeudi 14 janvier 2010. (Serge Philippi, curé de Thionville et de Manom) (Albert Fagioli)

    " C'est le jeudi 14 janvier 2010 que monsieur Fagioli c'est fait ouvrir les portes de l'église de Manom. Il avait fait la demande auprès de monsieur le maire (Jean Klop) et le curé de la paroisse (Serge Philippi). Il voulait vérifier s'il y avait bien une crypte sous le choeur de l'église et en localiser l'emplacement précis et les dimensions. De nombreuses personnes étaient présentes lors de sa visite. Il est venu avec un étrange outil en fer pour certains et pour d'autre le nom exact est "un dowser".

    Il a effectué plusieurs passages au niveau du choeur et ressenti la présence d'une crypte d'environ 5m par 7m. Elle fait quasiment tout le choeur.

    Il a également retrouvé la trace d'un souterrain du côté gauche de l'église qui passe sous celle-ci, puis devant la cour du presbytère en direction...

    Ses recherches se sont arrêté là."

    Les personnes présentes :

    1° adjoint au maire de Manom, Mr Claude Imbert.

    Mr le curé de Thionville et de Manom, Serge Philippi.

    Mr le président du Conseil de Fabrique et propriétaire du Château de La Grange, le comte Marie-François de Selancy.

    Mr Jean-Claude Strunck, habitant de Manom depuis plusieurs générations.

    Mme Bernadette Breistroff, habitante de Manom.

    Mr Edouard Bâle, habitant de Manom, secrétaire de la paroisse de Manom.

    Mr Vincent Trimbour, journaliste du Républicain Lorrain.

    Mr Julio Pelaez, photographe du Républicain Lorrain.

     

    Voir les photos : http://www.kizoa.fr/diaporama/d685103k6538941o1/eglisemanom 

     

    La crypte  à l'époque a du recevoir environ une douzaine de cercueils ou sarcophages. Les archives disent que les sept premiers ont été brisés par les troupes révolutionnaires. Vous imaginez l'emplacement pour mettre au moins sept cercueils... Sans les empiler...

     


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  • Histoire des Seigneurs et de la Seigneurie de La Grange, tome second, 1899. (Jean-Charles Kohn, chanoine) (Archives Départementales de la Moselle)

    " Il s'agit de deux grands tomes sur les Seigneurs et la Seigneurie de La Grange. Dans le premier tome on retrouve les arbres généalogiques des Seigneurs ;

    - Descendance de Philippe du Chêne et de Soleuvre.

    - Famille de Brandenbourg.

    - Famille d'Argenteau.

    - Famille de Foucquet.

    - Famille de Klinglin.

    - Famille de Berthier. (2 tables)

    I : Etymologie et ancienne forme du nom de la Seigneurie.

    II : Les premiers Seigneurs de La Garange. (1° Guillaume de La Grange, 2° Frédéric de La Grange, 3° Waleran de La Grange)

    III : Famille de Soleuvre.

    IV : Louis de Chinery. 

    V : Famille de Brandenbourg.

    VI : Famille d'Argenteau.

    VII : Florimond-Claude, comte de Mercy.

    VIII : Famille Gomé.

    IX : Famille de Foucquet.

    X : Branche des Foucquet de la Bouchefolière.

    XI : Famille de Berthier.

    On retrouve également de nombreuses pièces justificatives et testaments des Seigneurs...

     

    Dans le second tome  on retrouve :

    I : Situation politique de La Grange, topographie, population.

    II : Forteresse et Château.

    III : La Féodalité.

    IV : Les droits du Seigneur.

    V : La dîme.

    VI : La justice.

    VII : Institution d'Etat dans le Luxembourg se rattachant à la justice.

    VIII : Anciennes monnaies et mesures.

    IX : Biens Seigneuriaux.

    X : Le terrage à Garsch et Manom.

    XI : La religion et le clergé. L'inquisition. Sépultures.

    XII : Valeur des choses. Dépenses. Vie et moeurs.

     

     


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  •  

    Histoire des Seigneurs et de la Seigneurie de La Grange, tome second, 1899. (Page 247) (Jean-Charles  Kohn, chanoine) (Archives Départementales de la Moselle)

    " ... Aussi ces seigneurs tenaient-ils à être enterrés dans l'église paroissiale, ce qui pourrait cependant étonner à première vue, parce que La Grange possédait une chapelle Castrale. C'est sous l'entrée du choeur de l'église paroissiale de Manom que se trouvait anciennement le caveau des seigneurs de La Grange. On y pouvait y remarquer les  tombeaux des deux anciens seigneurs, probablement de la famille de Brandenbourg et notamment de Pierre-Ernest de Brandenbourg qui fit une fondation au profit de la dite église.

    Ensuite on y trouvait les tombeaux de François-Brice Gomé des Hazard, secrétaire du Roi, seigneur de La Grange, décédé en 1725 ;

    De la dame Françoise Orry, épouse du précédent, décédée en 1742 ;

    De René-François de Foucquet, lieutenant-général des armées du Roi et des Trois-Evéchés (Metz, Toul et Verdun), mort en 1784, à l'âge de 84 ans ;"


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  • Histoire des Seigneur et de la Seigneurie de La Grange, tome second, 1899. (Page 248) (Jean-Charles Kohn, chanoine) (Archives départementales de la Moselle)

    " Celui de la dame Georges de Lesseville, son épouse, morte en 1762, à l'âge de 29 ans ; Deux enfants de René-François de Foucquet et de son épouse de Lesseville y repose également ;

    Celui de René-Louis de Berthier, décédé le 8 janvier 1811, à l'âge de 10 mois.

    Deux autres tombeaux renferment les cendres de Renée-Louise de Foucquet, vicomtesse de Berthier, décédée le 12 juin 1845, à l'âge de 68 ans et d'Anne-Pierre de Berthier, décédé le 10 septembre 1848, à l'âge de 78 ans.

    Les sept premiers cercueils avaient été brisés par les troupes révolutionnaires et leurs inscriptions misent en morceaux. Depuis ces cercueils ont été remplacés par des sarcophages en pierre ; Les reste mortels de chaque individu on été reconnus et ensevelis par deux docteurs en médecine. Les inscriptions rétablies et le caveau ainsi restauré, la bénédiction éclésiastique fut donné après un service solennel, le 20 juillet 1843.

    La litre funéraire, avec les armes du comte de Foucquet, était encore visible en 1848 ; Elle a été badigeonnée depuis. En 1845 le caveau a été fermé du côté du choeur et une ouverture  extérieure a été pratiquée, mais masquée par une chapelle gothique.

    Depuis la reconstruction de l'église de Manom, le caveau de la famille de Berthier de Sauvigny a été transféré dans un cimetière voisin de celui de la commune."

     


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  • Le Répulicain Lorrain, mercredi 3 février 2010, page2, éditions Thionville/Hayange. (Da Vinci Code à Manom) (Photo Julio Pelaez) (Vincent Trimbour)

    " Esotérisme"

    " Da Vinci Code à Manom "

    " Albert Fagioli utilise un curieux outil en fer pour trouver des cryptes que personne ne connaît. Ainsi qu'un don, assure-t-il. En l'église de Manom , l'étrange chercheur de trésors est venu poursuivre son rêve :

    Trouver le trésor du duc d'Enghien."

    " Ou on se prend au jeu, et on plonge dans les dédales de ses recherches, ou on se dit que ça n'est pas très, très sérieux, tout cà. Qu'importe la perception de la passion d'Albert Fagioli, cet habitant de Charly-Oradour consacre tout son temps libre à la quête de trésors d'un temps passé. Il dort, mange, respire du labyrinthe de galeries, du manuscrit caché, du mystère dérobé..."

    " Albert Fagioli s'est fait ouvrir les portes de l'église de Manom, suivi du curé, de membres du Conseil de Fabrique, du premier adjoint de la ville et du comte de Selancy. "" Je sens une crypte !""

    Le passionné d'énigmes avait demandé cette autorisation afin de venir prouver l'existence d'une crypte et surtout de la localiser..."

    " Après quelques déambulations dans le choeur, Albert Fagioli a fini parannoncer: "7m sur 5m, trois de profondeur"..."

    " Une détermination que n'aurait pas reniée Dan Brown."

    " L'auteur de livres reconnus par ses pairs, Albert Fagioli a également un blog où il expose toutes ses recherches : http://albert-fagioli.blogg.org "


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  • Le Républicain Lorrain, mercredi 3 févrie 2010, page1, éditions de Thionville/Hayange. (Manom un secret sous la nef) (Photo Julio Pelaez) (Vincent Trimbour)

    " Manom un secret sous la nef "

    " On y croist on y croit pas. Albert Fagioli, lui, ne jure que par son don et son dowser, qui lui permettront de retrouver des cryptes cachées et, in fine, le trésor du duc d'Enghien.

    Manuscrits, instinct et histoire ont guidé ses pas vers l'église de Manom. Où il est venu révéler l'existence de cavités et sous-terrains inconnus. Du moins est-ce ce qu'il assure..."

     

    ***Monsieur Fagioli tient à donner quelques rectifications suite à cet article paru dans le Républicain Lorrain. Certes,  il n’est pas très facile d’expliquer 15 années de travail en seulement une quinzaine de minutes. Et il n’est pas facile, non plus, d’expliquer le maniement d’un dowser pour des personnes qui sont novices en la matière ou néophytes. De plus le journaliste n’a  pas pu  lire l’ouvrage sur le duc d’Enghien, et encore moins eut le temps d’aller dans les méandres du  blog de Mr Fagioli. Il doit faire un article assez rapidement avec ce qu’il a entendu et noté sans mélanger les résultats des recherches de celui-ci  (certains pourraient en perdre leur latin). De Marthille à Rennes-le-Château, de l’église de Rennes-le-Château à l’église de Manom…

    Prochainement sur ce blog il y aura une présentation d’un « Dowser », surtout pour les néophytes qui ne connaissent pas cet outil. (« Dowser », mot anglais qui veut dire «  Sourcier ») ***

    Rectification à cet article.

    Monsieur Fagioli n’a jamais dit qu’à Manom il y avait un trésor cité  dans le testament du duc d’Enghien. Manom est   l’un des fiefs de la famille de Fouquet. Et le seul lien avec l’église de Rennes-le-Château, c’est qu’elle possède également une crypte qui se trouve sous le chœur.

    Il avait demandé l’autorisation de venir vérifier sur place la présence d’une crypte au niveau du chœur de l’église. On peut dire que  c’est  le hasard qui a voulu qu’il vienne à Manom pour effectuer cette démonstration devant quelques habitants. C’est également le hasard qui a voulut qu’il y ait sous le chœur de l’église de Manom, une crypte, car il va prochainement déposé un dossier de fouille internationale auprès des instances de la DRAC de Montpelier pour des sondages dans l’église de Rennes-le-Château pour découvrir les deux cryptes qui se trouvent sous l’église (l’une sous la nef et l’autre sous le chœur), puis il préparera un autre dossier pour la DRAC de Metz concernant un autre site en Lorraine.

    Pour Mr Fagioli c’était un moyen de présenter au public l’un des dons qu’il possède concernant la recherche de cavités cachées. Il a bien eu la confirmation de celle-ci, ainsi que sa dimension. Et il a également retrouvé la présence d’un souterrain qui démarre du côté gauche de l’église, qui passe en dessous de celle-ci, puis devant la cour du presbytère en direction…

    Ce souterrain ne communique pas avec la crypte qui se trouve sous le chœur.

    Ses recherches se sont arrêtées là.

    Les archives de Manom parlent bien d’une crypte sous le chœur :
    Voir encore une fois sur le site de la paroisse de Manom :

    http://saintefamille.over-blog.org/pages/Historique_Eglise_Notre_Dame_de_Manom-324033.html

    Prochainement il y aura également des passages du livre du chanoine Jean Charles Kohn, les deux tomes sur « l’Histoire des seigneurs et de la seigneurie de La Grange », Luxembourg, P. Worré-Mertens, 1899. (Qui font mention de la crypte de Manom)

    Qui y a-t-il aujourd’hui ou que reste-t-il dans cette crypte, qui a été murée il y a environ 150 ans ?

    Quel serait l’intérêt de réouvrir celle-ci ? Peut-être pour le patrimoine de la ville de Manom !

    Y’a-t-il encore des anciens cercueils qui furent remplacé par des sarcophages en pierre par la suite?

    Y’a-t-il que les restes de l’ancien cimetière qui était autour de l’église ?  (Les ossements)

    Car d’après certains historiens et l’ancien maire de Manom, d’avant guerre, (Mr Captien), tous les sarcophages ont été déplacés vers le nouveau cimetière qui se trouve un peu plus loin, lors des travaux dans l’église et l’inauguration de celui-ci, depuis 150 ans. Voir le petit livret d’environ 90 pages sur l’Histoire de Manom, réalisé par Mr Captien, dont une page est consacrée à la crypte de l’église.

     D’après lui, tous les seigneurs reposeraient maintenant dans la grande chapelle de la famille des Fouquet , puis des Berthier de Sauvigny et maintenant des Selancy. (Voir les plaques)

     

    Sera-t-on un jour que reste-t-il dans cette crypte ?

     


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  • Lettre du comte de Fouquet au prince de Condé, du 14 mai 1794, du Luxembourg, cote 422. (Archive de Chantilly)

    "... Je suis de votre Altesse Sérénissime, Monseigneur le très humble et très obéissant serviteur, le comte de Fouquet.

    " De Luxembourg, le 14 mai 1794."

    Monsieur Fagioli n'a retrouvé qu'une seule lettre adressée au duc d'Enghien par le comte de Fouquet. Par contre il en a retrouvé une quarantaine adressé à ses parents.


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  • Lettre du comte de Fouquet au prince de Condé, du 21 septembre 1792, de Carlsruhe, cote 313. (Archive de Chantilly)

    " Début de la lettre..."

    "Monseigneur,...

    ... d'instruire le comte de Vioménil du départ de ce général pour la Lorraine..."


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  • Les personnages et leurs mystères. (De Rennes-le-Château à Marthille) (De Fouquet à Condé)

    (Copie de l'une des lettres envoyée au prince de Condé)(Archive de Chantilly, 21/09/1792 de Carlsruhe, cote 313)

    Les personnages  et leurs mystères:

    Les liens possibles avec les secrets de Rennes-le-Château.

    Pierre Poulain : Dernier évêque Cathare du Carcassès.

    http://www.societe-perillos.com/champmag_rlc.html

    Mr Fagioli a très peu de documents concernant ce mystérieux Evêque. Il est fort probable qu’il fut au courant sur la cache du trésor de Rennes-le-Château.
    De quelles manières ? Par un lègue ou par une découverte d’archive !
    D’après les recherches de Mr Fagioli, les derniers qui auraient déposé celui-ci dans une des cryptes de Rennes-le-Château seraient bien des Cathares. S’ils ne l’ont pas déposés eux même, ils en sont les dépositaires.

     

    Le cardinal Louis de Bourbon-Vendôme : Il éleva son neveu, Louis 1°, premier prince de Condé. http://fr.wikipedia.org/wiki/Louis_de_Bourbon-Vend%C3%B4me

     

    Charles 1° de Bourbon : (1523-1590). Cardinal et Archevêque de Rouen, Evêque de Carcassonne. A la mort d’Henri III il fut proclamé Roi de France par les Ligueurs sous le nom de Charles X.  En prison, il finit par abdiquer en faveur de son neveu Henri IV. Il décède un an après.
     Il est le frère du premier prince de Condé.

    Dans l'ordre naturel de succession, le cardinal venait après son neveu, qui n'avait pas d'enfants ; ce terme moyen pouvait donc gagner à la Ligue ceux des catholiques qui, tout en craignant l'avènement au trône d'un prince protestant, ne voulaient pas d'un roi qui ne fût point légitime. Les Lorrains, à la faveur du nom de Charles X, pouvaient donc continuer de saper la puissance du Béarnais, et préparer les voies à l'avènement de leur maison. Le 5 mars 1590, le parlement rendit un arrêt imprimé la même année, dans lequel il reconnaissait Charles X pour vrai et légitime roi de France.

     

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Charles_Ier_de_Bourbon_(archev%C3%AAque_de_Rouen)

    http://www.france-pittoresque.com/perso/20.htm

     

    Nicolas Poulain : le mystérieux prisonnier de Gisors, serait-il le fils de Charles 1°  de Bourbon ?

    http://www.france-secret.com/gisors_art2.htm

    http://www.portail-rennes-le-chateau.com/nicolas_poulain.htm

    http://www.renneslechateau-fr.com/films-et-reportages/nicolas-poulain-le-prisonnier-de-gisors-gerard-de-sede-t254.html

    http://books.google.com/books?id=HtMvAAAAMAAJ&pg=PA16&lpg=PA16&dq=nicolas+poulain&source=bl&ots=QbxHJJoeBV&sig=hvq3_26UHHUMQnS-dliNYVaAkkw&hl=fr&ei=0o8KS4yeG9OMjAeD6bz3AQ&sa=X&oi=book_result&ct=result&resnum=10&ved=0CB4Q6AEwCTgK 

    Nicolas Poussin : (1594-1665) : Le célèbre peintre,  auteur  du tableau «  Les bergers d’Arcadie » Quel secret lui a-t-on transmit ? Et quels sont les messages qu’il a voulut immortaliser à vie grâce à ses toiles ? Le cas où celles-ci seraient vraiment codées !

    http://www.nicolas-poussin.com 

    http://rennes-le-chateau-bs.com/arcadie.htm  

    http://www.rennes-le-chateau-archive.com/index.htm?id=poussin.htm

     http://www.et-in-arcadia-ego.info/article-le-lien-mysterieux-entre-nicolas-poussin-et-nicolas-fouquet-41832562.html 

     

    Nicolas Pavillon : (1597-1677) : Evêque d’Alet

    http://reinedumidi.com/ndm/monsignor.htm

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Nicolas_Pavillon

    http://reinedumidi.com/ndm/heureux%203.htm

    http://www.societe-perillos.com/champmag_rlc.html

     

    *Bizarre ! Beaucoup de Nicolas !! Et initiales N. P. !!!*

    Louis 1° de Bourbon-Condé : (1530-1569) Le premier prince de Condé.
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Louis_Ier_de_Bourbon,_prince_de_Cond%C3%A9

     

    Le Cardinal Louis René Edouard de Rohan-Guéméné : (1734-1803) Cardinal-Evêque de Strasbourg. Il est l’oncle de Charlotte de Rohan-Rochefort, (femme du Duc d’Enghien).

    Le Duc d’Enghien se trouvait à son chevet pendant les derniers jours de sa vie.

    Il marqua une page de l’Histoire de France, suite à l’affaire du collier de la reine, Marie-Antoinette.

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Affaire_du_collier_de_la_reine

     

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Louis_Ren%C3%A9_%C3%89douard_de_Rohan_(1734-1803)

     

    De tous ces personnages, lequel  ou lesquels auraient pu transmettre un ou des secrets à la branche des Bourbon-Condé ?

    Quel  personnage aurait pu avoir accès à des documents appartenant à l’Evêché ?

    Lequel ou lesquels  de ces personnages auraient pu recevoir un ou des secrets par un Initié ?

    Quel  peut-être ce trésor ? D’où provient-il ? A quoi pouvait-il servir un jour ?

    Pourquoi le dernier des Condé  a-t-il  hérité  du  secret ?

    Ce dépôt est bien gardé par « un lieu de culte » (ou « lieu de prière »).

    Il ne se trouve ni à Rennes-le-Château (Aude),  ni à Marthille (Lorraine). Mais ces deux villages feront parler d’eux dans les prochaines années grâce à leurs découvertes.

    Et également, ni à Gisors (Eure). Hélas pour notre regretté Ministre de la Culture, Mr André Malraux…

    Mr Fagioli annonce qu’il y a en France, au moins, « un grand dépôt trésoraire », digne du plus grand Roi. A ce jour ce genre de dépôt n’existe que dans les films ou dans notre imagination. Un jour peut-être nous  ferons cette découverte  en France. Elle ne sera pas du au simple effet du hasard mais grâce à l’acharnement de chercheurs anonymes, d’Indiana Jones en herbes, d’historiens... Sans oublier les travaux des Archéologues et Scientifiques…

     

    Les liens de la famille de Condé avec la Lorraine.

    Une petite introduction sur la famille Fouquet :

    Nicolas Fouquet : (1615-1680),  le célèbre surintendant des finances, a commencé sa carrière au Parlement de Metz, vicomte de Vaux, conseiller d’Etat très estimé de Louis XIII et du Cardinal de Richelieu, et de damoiselle Marie de Maupéou. Lorsque l’établissement d’un Parlement à Metz fut décidé en 1633, Nicolas Fouquet fut pourvu d’une charge de conseiller en cette cour. Il n’avait alors que dix huit ans et il avait besoin de dispense d’âge. Elles lui furent accordées par des lettres données à Saint-Germain en Laye, le 31 mars de cette année, en considération, disent ces lettres, des services recommandables rendus par son père. Le Parlement de Metz fut installé le 26 août 1633, le 24 septembre  suivant, Nicolas Fouquet fut reçu conseiller en cette cour.
    Il devint successivement procureur général au Parlement de Paris en 1650, et surintendant des finances en 1653. Il fut disgracié en 1661, et condamné à une prison perpétuelle en 1666. Il mourut en captivité dans le Château de Pignerol, il décéda en 1680. Quand il était conseiller au Parlement de Metz, il signait : N. Foucquet

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Nicolas_Fouquet

     

    Louis Fouquet : (1633-1702) : Frère de Nicolas et ami de Nicolas Poussin. Evêque d’Agde et aumônier du Roi. Conseiller au  Parlement de Metz, son frère Gilles prendra sa succession.


    Gilles Fouquet : (1637-1694) : Frère  de Nicolas. Il fut reçu conseiller au Parlement de Metz, le 5 juillet 1657.

     

    Ils furent 15 frères et sœurs dont 12 atteignirent l’âge adulte. Toutes les filles  entrèrent en religion. Nicolas fut le seul qui laissa une postérité.

    Charles Louis Auguste Fouquet, Il est maréchal de Belle-Isle, né en 1684, il était le petit-fils de Nicolas Fouquet. Il fut nommé gouverneur des Trois Evêchés, puis en 1732, lieutenant général. Il fut nommé maréchal de France en 1740. Gouverneur de la province des Trois Evêchés durant  trente années de 1727  à sa mort. Il a créé  « la Société  Royale  des Sciences et des Arts de la ville de Metz. »

    Louis Marie Fouquet : Il est comte de Gisors, fils du maréchal de Belle-Isle.

    La postérité du surintendant Fouquet s’était éteinte par la mort du comte de Gisors ; Le nom de Fouquet se continua dans le Pays-Messin en la personne de René François, comte de Fouquet, conseiller au Parlement de Metz qui suit :

     

    René François Fouquet : (1703-1784) : comte de Fouquet, lieutenant-général des armées du Roi, conseiller d’honneur au Parlement de Metz , seigneur de La Bouchefolière, la Grange, Manom, Brulange,  Arraincourt et autres lieux. Lieutenant général des armées du Roi et de la province des trois Evêchés, fils de René François, comte et conseiller au parlement de Rennes, décédé par St-Simplice en  avril 1784, à 80 ans, inhumé à Manom (près de Thionville).
    Son fils alors âgé de 25 ans l’a remplacé à la seigneurie de
    Brulange.
    Son corps fut présenté à l’église Saint-Sulpice de Metz, sa paroisse, toute la garnison assemblée, et au point de toute l’artillerie de la ville, et de là conduit à l’église de Manom, paroisse de La Grange, près de Thionville, où il a été inhumé dans « le Caveau des Seigneurs »

    http://saintefamille.over-blog.org/pages/Historique_Eglise_Notre_Dame_de_Manom-324033.html


    Il fut remplacé dans la terre de Brulange, par messire Charles-Innocent-Antoine-François comte de Fouquet, son fils, capitaine de dragon au régiment de Ségur, âgé de 25 ans. Monsieur de Fouquet avait donc 33 ans  lorsqu’il a émigré en 1792.


    René François Fouquet eut 7 enfants dont :


    - Charles Innocent Antoine François, né  le 28 juin 1759. Capitaine des Dragons de Ségur…

    -Louis Charles, né le 16 janvier 1756, comte de Gisors, comte du Saint-Empire romain, gouverneur des trois Evêchés, colonel du régiment de Champagne infanterie…

     

    René François de Fouquet était principalement  propriétaire des biens situés à :

    Morhrange :
    Destry, Haute-Suisse, Thonville, Basse-Suisse, Arraincourt, Brulange.

    Thionville :
    La Grange, Garsche, Manom.

    Pour infos Brulange se trouve à quelques kilomètres de Marthille (5km)  et Manom se trouve à quelques kilomètres de Thionville. (3.1km)

    Mr Fagioli vous conseille de lire dans les pages de correspondances, au n°106, interrogatoire de Vaudricourt :

    « 106. Interrogatoire de Vaudricourt.23 avril 1804.
    « Connaissez-vous le jeune homme que vous avez vu tel jour, à telle heure, en tel  endroit ? Ce jeune homme a fait une fois un voyage : savez-vous qui,  il a été voir près de Thionville ? Connaissez-vous Vellecourt ? Avez-vous connaissance que ce jeune homme ait été ou dû aller à Vienne ou à Varsovie ? Pourquoi lui avez-vous remis des lettres ? Par quel autre moyen avez-vous reçu des correspondances de Clery et d'autres individus ? (Vous avez reçu de Clery un billet de la part du prétendant, dans lequel on vous dit que vous pourrez vous entendre avec un homme qui à toute confiance du comte de Lille).Connaissez-vous le duc d'Enghien ? (Vous êtes-vous vanté d'avoir été son mentor ? Qui connaissez-vous auprès de lui ?
    Qu'est venu faire chez vous, tels et tels jours, un homme... en demander le signalement à Fouché. Connaissez-vous... l'agent dont Maret donnera le nom ? Qu'y avez-vous été faire, tels et tels jours ? (Dans la première conférence, aux premiers jours de nïvôse, on lui a demandé avec quels hommes puissants d'autres hommes puissants pourraient traiter. Il a indiqué monsieur de la Rochefoucauld.) Connaissez-vous monsieur de la Rochefoucauld ? Qu'est venu y faire un tel, tels et tels jours, avec tels et tels agents ?
    Connaissez-vous le comte de Laval ? Où l'avez-vous vu la dernière fois ? Connaissez-vous monsieur de Virieu ? Quel discours avez-vous tenu à monsieur de Septeuil, ou tout autre membre... ce doit être le beau-frère de Damas. Fouché doit le savoir : il a été noté ; c'est celui du quai Voltaire.
    Quel jour a-t-il répondu ?
    Connaissez-vous madame Barbazan ? Combien de fois l'avez-vous vue ? De quoi traitiez-vous ?  Ne lui avez-vous pas remis une lettre ?........ »

    Qui est ce monsieur Vaudricourt ? Quels liens avec le duc d’Enghien ?

    Mr Fagioli a très peu de renseignement le concernant.

    Sachez qu’il n’existe qu’une seule ville (ou village) appelé Thionville en France. Il s’agit de Thionville en Lorraine (Moselle, 57).

    Le fameux personnage est venu voir le comte de Fouquet au Château de La Grange à Manom :

    http://www.chateaudelagrange.com/  

     

    « Une petite parenthèse pour parler d’une crypte qui se trouve à près de 1000km de Rennes-le-Château. Il s’agit du « Caveau des Seigneurs » de l’église de Notre Dame de l’Assomption de Manom, qui se trouve justement comme celle à Rennes-le-Château, sous le chœur. Voir les archives du site de l’église qui nous donnent également le nom des seigneurs qui furent enterrés dans cette église.

    Seul différence avec Rennes-le-Château, elle  fut fermée définitivement vers 1845 et Rennes-le-Château vers la révolution de 1789.

    Le curé de Thionville et de Manom, (Serge Philippi), ainsi que les employés de la mairie ne connaissent pas l’emplacement de celle-ci, à part  l’existence par les archives. »

     

    http://saintefamille.over-blog.org/pages/Historique_Eglise_Notre_Dame_de_Manom-324033.html

     

    Le comte René François de Fouquet fut bien enterré dans le Caveau des Seigneurs de l’église de Manom en 1784.

     


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  • L'APARC, (Association pour la Préservation de l'Ame de Rennes-le-Château). (Président, André Galaup)

    Depuis quelques semaines vous pouvez-vous rendre sur le nouveau site de l'APARC, il va s'enrichir par de nombreux documents anciens et nouveaux.
    Mr Fagioli conseille à tous les amoureux de Rennes-le-Château et de son mystère, d'aller faire un petit détour par celui-ci.

    Vous pouvez également faire part de vos commentaires, de vos recherches... Vous avez la parole...
    http://www.aparc-rennes-le-chateau.com/vous_avez_la_parole.htm 

    " L'histoire de Rennes-le-Château, outre le mystère qui entoure l'oeuvre qu'entreprit l'abbé Bérenger Saunière, ne doit pas nous faire occulter le passé historique de cette région qui au cours des siècles a vu s'y succéder toutes les civilisations  et dont  l'antique forteresse est là, bien présente, pour nous remettre en mémoire ce si riche passé.

    N'est ce pas cette "AME", et cette richesse culturelle que l’APARC, "Association pour la Préservation de l’Ame de Rennes-le-Château"  s’est donnée pour mission de défendre et préserver ?

    Les envahisseurs en des temps reculés ont essayé de se l'approprier, ils ont été déboutés, les vainqueurs eux, au prix de sacrifices nous ont légué cet héritage que  nous devons garder et léguer aux générations futures.

    Rennes-le-Château, ce n'est pas seulement l'affaire de son curé, mais l'Histoire d'une région: le Razès. " "André Galaup "

    http://www.aparc-rennes-le-chateau.com/ 

     


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  • Assemblée Générale de " Terre de Rhedae ", le samedi 9 mai 2009, à Rennes-le-Château. (Antoine Captier, président)

    Monsieur Fagioli a profité de son séjour dans l'Aude pour venir à l'assemblée Générale de Terre de Rhedae. Il remercie monsieur Antoine Captier et sa femme, Claire, pour leur accueil. Il a fait la connaissance de monsieur Philippe Goloubenko, (conseiller municipal) et de monsieur Alexandre Painco (maire).

    Après la conférence de monsieur Daniel Dugès sur son dernier livre " Entre la rose et l'équerre ", édition Arqa 2008, vint le pot de l'amitié.
    http://www.daniel-duges.com/Site/Accueil.html

    Lors de celui-ci monsieur Fagioli fut surprit de retrouver une ancienne connaissance qu'il n'avait pas vu depuis environ cinq ans. Il s'agissait de monsieur Gérard Rival,(Géophysicien), ancien ingénieur aérospatial à la retraite qui s'intéresse toujours de très près à l'histoire de Rennes-le-Château. (Voir les photos de nos retrouvailles). Une personne très sympathique qui avait fait un petit voyage en compagnie de sa femme en septembre 2003 pour une petite visite sur un site en lorraine... de Bordeaux à Metz.

    Une  rencontre également avec monsieur Christian Doumergue auteur de plusieurs ouvrages sur Marie Madeleine :
    http://www.christiandoumergue.com/

    Sans oublier la rencontre avec Rose et Serge Drevard, propriétaires de chambres d'Hôtes " Les Angelots, La Maison du Pont " à Rennes-les-Bains :
    http://www.chambres-rennes-les-bains.com/

    Quelques photos du verre de l'amitié :
    http://www.kizoa.com/i-Contact/sflite.swf?did=525935&kc=8633673 

     


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  • Rennes-le-Château, mai 2009. (Albert  Fagioli)

    Quelques photos du domaine :

    http://www.kizoa.com/i-Contact/sflite.swf?did=525336&kc=4765496 

     


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  • L'Orangerie de Rennes-le-Château, mai 2009. (Albert  Fagioli)

    Quelques photos de l'Orangerie :

    http://www.kizoa.com/i-Contact/sflite.swf?did=525120&kc=6623928 

     


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  • La Tour Magdala, mai 2009. (Albert  Fagioli)

    L'une des constructions de Bérenger Saunière.  Cache-t-elle des secrets ???

    Quelques photos de la Tour Magdala :

     http://www.kizoa.com/i-Contact/sflite.swf?did=525112&kc=1236279 

     


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  • L'église de Rennes-le-Château, mai 2009. (Albert  Fagioli)

    Le diable Asmodée (gardien du trésor...) vous acceuille à Rennes-le-Château.

    Quelques photos de l'église :

    http://www.kizoa.com/i-Contact/sflite.swf?did=525070&kc=9342909 

     


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  • Le cimetière de Rennes-le-Château, mai 2009. (Albert Fagioli)

     


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  • Visite exceptionnelle du cimetière de Rennes-le-Château, mai 2009. (André Galaup)

    Suite aux révélations faites sur son site internet depuis le mois de novembre 2008, M. Fagioli a eut une autorisation exceptionnelle pour vérifier ses conclusions concernant l'emplacement des deux cryptes dans l'église et la présence éventuelle des  souterrains aux endroits indiqués. Il tient à remercier le maire de la commune, Alexandre Painco, ainsi que les membres du conseil.

    En particulier messieurs Philippe Hui et Philippe Goloubenko pour leur accueil.

    Il tient à remercier messieurs André Galaup, président de L'APARC et Michel Vallet, (allias-Pierre Jarnac), auteur-éditeur, pour leur présence lors de la visite du domaine.

    Suites aux résultats de ses recherches, M. Fagioli a transmit un rapport à la mairie de Rennes-le-Château, à la DRAC de Montpellier et une copie par E-mail au Préfet de l'Aude.

    Ce rapport s'intitule : " Les chemins de l'Histoire. "

    Suite à ce rapport, la DRAC de Montpelier à donner un avis favorable pour le dépôt d'un dossier de fouille, qui sera par la suite étudier par la commission de la DRAC, puis valider ou non par le Préfet. Pour le moment il n'y a aucune autorisation de fouille accordé, ni par la DRAC, ni par la mairie.

    La mairie donnera un avis positif en cas d'avis positif de la DRAC.


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  • Visite du musée de Rennes-le-Château, mai 2009. (Albert Fagioli)

    M. Fagioli conseille à toutes les personnes de passage dans la région, de faire un petit crochet par celui-ci. Il fera peut-être de nouveau parler de lui.

    Quelques photos : http://www.kizoa.com/i-Contact/sflite.swf?did=506261&kc=7446186 

    Y'aura-t-il un jour des fouilles officielles ?

    Le mystère va-t-il tomber ? L'avenir nous le dira !


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  • Visite du musée des Dinosaures, mai 2009, à Espéraza. (Albert Fagioli)

    Musée des Dinosaures : http://www.dinosauria.org/visite-au-coeur-du-musee.php 

    Quelques photos : http://www.kizoa.com/i-Contact/sflite.swf?did=506948&kc=2779225 

     

     


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  • Visite de Carcassonne, mai 2009. (Albert Fagioli)

    Carcassonne : http://fr.wikipedia.org/wiki/Carcassonne 

    L'une des plus belles villes médiévales : http://www.kizoa.com/i-Contact/sflite.swf?did=506231&kc=1187980 


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  •  

    Monsieur Fagioli et sa petite famille ont passé  une semaine dans l’Aude, à Limoux, aux Gites Maynard.

     

    Limoux : http://fr.wikipedia.org/wiki/Limoux 

     

    Les gites Maynard : http://gitesmaynard.free.fr/cariboost1/

     

    Ils ont profité de ce séjour pour se rendre pour la première fois à Rennes-le-Château.

     

    Voici quelques photos du gite :
     http://www.kizoa.com/i-Contact/sflite.swf?did=506091&kc=8012223 

     

    *** Monsieur Fagioli a déjà ses deux trésors, qui valent tout l’or du monde. ***

    ***Peut-être que  ses recherches  lui permettront de trouver de nouveaux trésors. ***

     


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  • " Séjour dans l'Aude, Pays Cathares, mai 2009. (Albert Fagioli) "

    " M. Fagioli et son fils sur les traces de Bérenger Saunière et de l'énigme de Rennes-le-Château. "


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  • " Le Mercure de Gaillon, Librairie, juillet 2009. (Thierry Garnier) "

    http://lemercuredegaillon.free.fr/biblioweb.fr/topic2/index.html 

    " Le testament du duc d'Enghien ou le secret du fabuleux trésor de Marthille "


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  • " L'action Française, N°2775 du 16 au 22 juillet 2009. (Vincent Gaillère) "

    " Le Duc D'Enghien révélé "

    " Notre ami Albert Fagioli vient de publier " Le testament du duc d'Enghien ", qui retrace l'existence héroïque de ce prince du sang, assassiné sur l'ordre de Napoléon."

    " Basé sue des documents historiques, l'ouvrage, fruit d'une longue quête de l'auteur, nous fait découvrir d'un oeil neuf une époque ténébreuse et une destinée enveloppée du mystère charmant des amours de Condé avec la très romanesque Charlotte de Rohan-Rochefort.
    La première partie narre la jeunesse et les exploits militaires du séduisant général de l'armée des princes, doué d'une témérité allant jusqu'à la folie.
    La seconde, plus ésotérique, ramène à l'attrait contemporain que son passage dans l'Est de la France a pu créer sur des nombreux esprits. Les archives publiques ont-elle livré tous leurs secrets sur cette fin ? Y a-t-il ou non un trésor caché ? en quoi consiste-t-il ? Pourquoi l'Etat garde-t-il le silence ? Autant des questions qui sont fouillées dans un livre à propos duquel l'historien Jean Tulard a loué la méthode employée par l'auteur.

    Un texte, très bien écrit, se nourrit abondamment des passages d'Albert Fagioli à Ettenheim et à Vincennes qui en font le charme. Une iconographie bien complète permettent d'aller plus loin.
    Aux amateurs d'énigmes historiques de découvrir maintenant le fabuleux trésor de Marthille !

    V. G.

    " Albert Fagioli : Le testament du duc d'Enghien - Le secret du fabuleux trésor de Marthille. Editions Coprur, 2008, 223 pages, 22 euros. Disponible à nos bureaux. "


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