• La crypte ou caveau de l'église templière de Pierrevillers, jeudi 10 juin 2010. (Albert Fagioli)

    Mr Fagioli a localisé la petite crypte ou caveau de l'église de Pierrevillers. Apparemment elle semble inconnue dans les archives de la commune de Pierrevillers. Apparemment il n y a pas d'autre cavité, à part les caves où se trouvent la tuyauterie du chauffage centrale.

    Mr Fagioli n'a pas découvert de souterrain qui démarre de l'église. Il y en a certainement depuis les bâtiments qui formaient la commanderie templière de Pierrevillers qui se trouvaient tout autour de celle-ci. Ne pas oublier qu'au début de la commanderie l'église devait se résumer à une petite chapelle dont cette crypte en faisait partie.

    Le secrétaire avait parlé de grandes dalles rectangulaires qui se trouvaient dans cette zone lors du transfert de l'autel au milieu du choeur.

    Cela semble rappeler l'histoire de Rennes-le-Château et de la Dalle des Chevaliers...

    Pour info, nous pouvons avoir la confirmation de sa présence, en utilisant les nouveaux radars de sol qui existent de nos jours.

     

     


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  • L'église templière de Pierrevillers, jeudi 10 juin 2010. (Albert Fagioli)

    Mr Fagioli s'est rendu à une quinzaine de kilomètres de chez lui pour visiter l'église templière de Pierrevillers. Mr Bourgeois,  secrétaire de Mairie, l'a accompagné pendant cette visite. Il a retrouvé lors de cette visite encore quelques signes appartenant aux templiers. (Voir les photos)

    Il a demandé par la suite s'il pouvait faire des recherches avec son dowser dans l'église pour localiser s'il y avait peut-être une crypte ou un caveau.

    Mr Fagioli a commencé par l'emplacement du choeur où se trouve l'autel. Il n'a rien retrouvé à cet endroit par contre il a découvert une petite crypte qui se trouve complétement du côté droit de l'église (voir prochainement la photo)

    Le secrétaire dit à Mr Fagioli " Qu'à cet endroit il y avait l'autel qui vient juste d'être déplacé au milieu du choeur lors des travaux de restauration de l'église " et qu'apparamment il y avait dans la zone où se trouvait l'autel "des grandes dalles rectangulaires " . Apparemment il n y a pas eu de fouilles à cet endroit... Dommage !!!

    La crypte devrait faire environ 4 mètres par 3 mètres.

    Qui est enterré dans cette crypte ??? Depuis quand ???

    Voir les photos : http://www.kizoa.fr/diaporama/d918338k1593510o1/eglisepierrevillers 

     


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  • La crypte ou salle souterraine de la chapelle templière de Metz, 10 juin 2010. (Albert Fagioli)

    Mr Fagioli a utilisé son pouvoir magnétique pour la recherche d'une éventuelle crypte ou caveau dans la chapelle templière de Metz.

    Voici son rapport :

    Il n'a pas localisé de crypte ou caveau dans la chapelle. Par contre il a localisé un départ de souterrain qui part en direction du Nord-Est d'environ une dizaine de mètres vers une crypte ou salle souterraine. Cette salle a déjà du être retrouvé lors des fouilles archéologiques antérieures. De cette salle souterraine devrait certainement partir d'autres souterrains...

    C'est ce genre de salle souterraine qui se trouve près de la ferme de Fundenhoff.

    D'après ses recherches, Mr Fagioli peut dire que  la ferme de Fundehoff n'était pas une commanderie templière, mais par contre le monastère de Rinting avait tout d'une commanderie...

    Une commanderie templière :
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Description_d'une_commanderie_templi%C3%A8re 

    Le monastère de Rinting était entouré d'environ 1 kilomètre de mur de 5,45 mètres de hauteur. Il y avait également un étang artificielle à l'arrière des bâtiments pour permettre lors du jeûne des moines-templiers d'avoir toujours du poisson sous la main.

    "" La commanderie était généralement construite en pleine campagne à proximité d'un axe de circulation, une voie romaine par exemple, et non loin d'un bourg. Elle possédait au moins un étang afin de fournir le poisson consommé par les frères lors des repas de jeûne. Un pré servait de terrain d'entraînement militaire plus ou moins aménagé. ""

    La ferme de Fundehoff devait être un relais permettant d'accéder au château templier  ou pour rejoindre le monastère de Rinting. Ne pas oublier qu'il y avait également une petite chapelle à la ferme de Fundehoff.

     


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  • Les signes (ou dessins) sur la chapelle templière de Metz, sur l'église Saint-Pierre-Aux-Nonnains de Metz et sur les marches de la chapelle de Rinting. (Albert Fagioli)

    Voici les quelques signes que Mr Fagioli a découvert dans ces lieux et voir la comparaison avec ceux de Rinting. (Il peut y en avoir d'autres)

    Voir les photos :  http://www.kizoa.fr/diaporama/d912893k6080487o1/marcheschapelle 

     

    Les Codes des templiers :

    http://www.mondeinconnu.com/dossiers/archive/mysteres-de-l-histoire/la-decouverte-de-la-pierre-runique/ 

    http://chassesautresorludiques.wifeo.com/salle-des-signes-templiers.php 

    http://ordre-occulte-de-chevalerie-templiers.over-blog.com/categorie-12196815.html 

    http://www.bibmath.net/crypto/substi/templiers.php3

    Voir aussi sur le site de SUPINFO, Ecole Supérieur d'Informatique, le travail sur la cryptographie ou l'Art du secret par un élève ingénieur, Christian Finel, session 2007 :

    http://www.supinfo-projects.com/fr/2003/crypto_theorie/1/ 

     

     

     


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  • L'église Saint-Pierre aux Nonnains, le 10 juin 2010. (Albert Fagioli)

    Voir les photos : http://www.kizoa.fr/diaporama/d912584k9566097o1/eglisesaintpierre 

    Il y avait quelques signes X et aussi + sur l'un des pilliers de cette église et aussi un V (Couché). Toujours sur le côté Nord...Comme la chapelle templière de Metz...

     


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  • La chapelle templière de Metz. (Albert Fagioli)

    Mr Fagioli est aller voir s'il trouvait des signes sur les pierres de la chapelle templière de Metz près de l'Esplanade de Metz et de l'Arsenal. Belle découverte sur l'un des murs extérieurs. Un genre de croix de Lorraine, une incription 1118 et les mêmes signes que sur les marches de la chapelle de Rinting (V inversé) et (V couché). Quel chance si l'on écoute certains scientifiques cela voudrait dire qu'il s'agit du même sculpteur ou alors comme le dit Mr Fagioli, il s'agit d'un langage templier. (Chiffré ou codé)

    Il ira également voir sur un autre site connu pour être une commanderie templière s'il y a également des signes similaires.

    Mr Fagioli fait une demande à toutes les personnes qui se trouvent près d'une commanderie templière connu et répertorier par les historiens et scientifiques. De lui envoyer les photos des signes sur les murs ou les marches d'escaliers qu'ils pourront trouver, en citant bien l'endroit dont ils auront pris ces photos. Mr Fagioli publiera ces photos sur son blog en y mettant le nom des auteurs de ces photos.

    Pour le contacter voici son E-mail : indiana.57@aliceadsl.fr

    Voir les photos : http://www.kizoa.fr/diaporama/d912579k4387652o1/chapelletemplièremetz 

    Voir aussi les quelques signes que Mr Fagioli a retrouvé sans trop chercher sur l'église qui se trouve à quelques mètres de la chapelle templière. L'église Saint-Pierre aux Nonnains.

    http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89glise_Saint-Pierre-aux-Nonnains_de_Metz 

     


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  • La chapelle de Rinting, le 8 juin 2010. (Albert Fagioli)

    Mr Fagioli et Mr Streiff avaient donné rendez-vous au journaliste du Républicain Lorrain de Sarrebourg pour lui montrer les signes sur les marches de la chapelle de Rinting. Madame le maire de Bébing était également présente ce jour là. Vous verrez par la suite que ces signes sur les marches ne sont pas des graffitis ou la marque d'un sculteur de pierre. N'en déplaise aux scientifiques et aux historien...

    Voici le rapport concernant les marches de la petite chapelle de Rinting :

    Après avoir dégagés les dernières marches vers le haut, ils ont également enlevés quelques centimètres de terre de betteraves qui recouvrait les dernières marches. Ils ont retrouvés 3 autres marches plus bas.

    Il en résulte qu’il y’avait en tout 16 marches, deux sont cassées (manques). (Voir les photos) 

     

    Il en résulte que de la marche N°1 à la N°7, il n y a aucune inscription.

     

    - La marche 8 : Z et X

    - La marche 9 : Rien

    - La marche 10 : V (inversé) et X

    - La marche 11 : V (inversé) et +

    - Les marches 12 et 13 ne sont plus là (cassées)

    - La marche 14 : Rien

    - La marche 15 : genre de croix de Lorraine et +

    - La marche 16 (dernière) : + ou X  et genre de croix de Lorraine

     

    Donc il y aurait 9 marches sans inscriptions et deux qui ne sont plus là.

     

    Seulement 5 marches avec des signes.

     

    Messieurs les scientifiques et historiens ne venaient pas dire que ces signes sont les marques de fabrique des personnes qui ont sculptés ces pierres. Cela voudrait dire alors que nous avons un ZX, puis un ^X, puis un ^+, puis (Croix de Lorraine) +, puis + (Croix de Lorraine)

     

    Bizarre comme noms de … Et toujours du côté gauche.

     

    Par contre si vous utilisez les soit disant chiffres des templiers que l’on retrouve sur internet on obtient des choses très intéressantes.

     

    Ces personnes qui ont pondu le déchiffrage de ces signes ne les ont certainement  pas inventé. Les hiéroglyphes  sont aussi des marques des sculpteurs ou des écritures...

     

    http://www.bibmath.net/crypto/substi/templiers.php3

     

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Chiffre_des_Templiers

     

    Voir les photos : http://www.kizoa.fr/diaporama/d912572k4540775o1/chapellerinting 

     


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  • RTL9 EST, " Bienvenue chez vous ", présenter par Jean-Luc Bertrand et Marylène Bergmann, lundi 7 juin 2010 à 17h45.(Albert Fagioli)

    Présentation de la découverte d'un ancien château des templiers avec son réseau de souterrains reliant en particulier " le trou de Langatte ", " la ferme de Fundenhoff ", " la ferme de Rinting " (ancien monastère et couvent)

    Le trou de Langatte : http://www.youtube.com/watch?v=YW22AMd8VhA 

    http://www.kizoa.fr/diaporama/d887427k9661940o1/republicainlangatte

    La ferme de Fundenhoff : http://www.kizoa.fr/diaporama/a1155936k8555035o1/fundenhoff  

    La ferme de Rinting : http://www.kizoa.fr/diaporama/d891921k7531926o1/rintingferme

    Et il y a encore deux autres souterrains dont les points terminaux n'ont pas été recherchés. (Sans compter qu'il peut y avoir des bifurcations...)

    Présentation de son ouvrage paru aux Editions Coprur à Strasbourg.

    ***Mr Fagioli remercie toute l'équipe de RTL9  pour cette émission et leur souhaite une bonne chance pour le nouveau chalenge qui les attend prochainement... à la rentrée...***

     


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  • Georges Bischoff, Directeur de l'institut d'histoire du Moyen-Age de l'université de Marc-Bloch de Strasbourg. (Olivier Simon)

    " Opinion de Georges Bischoff "

    " RENDRE PUBLIQUES CES INFORMATIONS "

    " L’universitaire Georges Bischoff, médiéviste reconnu, est aussi sceptique qu’intrigué. Les découvertes attisent beaucoup sa curiosité.

    <script type="text/javascript"></script> Prudent, Georges Bischoff, directeur de l’institut d’histoire du Moyen Âge de l’université Marc-Bloch de Strasbourg, se montre également très curieux en ce qui concerne les découvertes faites au Pays de Sarrebourg. Il connaît bien le secteur, surtout en direction du massif montagnard, pour s’intéresser de très près à l’histoire des châteaux forts de Dabo et Walscheid. L’ordre des chevaliers teutoniques, il connaît aussi. «  Il y a beaucoup de légendes populaires donc c’est toujours assez compliqué  », prévient, en préambule, Georges Bischoff. En revanche, l’historien reconnaît que l’usage de nouvelles techniques a permis des avancées étonnantes. « Depuis que l’on dispose d’images satellites sur des sites internet tels que Google Earth, il est facile de faire de l’archéologie aérienne. Il est même probable que l’on puisse désormais trouver des vestiges qui restaient invisibles jusqu’à présent. En période de sécheresse des traces peuvent apparaître beaucoup plus nettes. D’autres anomalies sur le terrain peuvent aussi se révéler, en rapport avec des éléments livrés par une tradition orale ou l’imaginaire collectif souvent entretenu par l’environnement culturel, en particulier à la fin du XX e siècle. »
    Les yeux de la foi

    Pour Langatte, Georges Bischoff se dit persuadé qu’il y a quelque chose d’intéressant : «  La configuration d’une ferme fortifiée est courante, surtout à la fin du Moyen Âge. Il y a des choses qui peuvent ne pas avoir existé longtemps, notamment du fait des destructions survenues au cours de la guerre de Trente Ans… L’on voit beaucoup de choses avec les yeux de la foi, donc souvent il s’agit de problème d’interprétation ! Mais ce qui est paradoxal, c’est que l’on continue de découvrir des châteaux forts, notamment à Dabo. Nous possédons très peu d’éléments d’avant le XIII e siècle et de ce point de vue les informations provenant de toutes les sources sont importantes. Les amateurs peuvent aussi apporter des choses d’autant plus qu’ils remarquent parfois des détails que les professionnels ne voient pas. Il faut ainsi donner une publicité à ce genre de découvertes, cela permet d’attirer l’attention des pouvoirs publics sur le patrimoine mais aussi d’éviter que des dégâts soient commis par des gens qui ne se rendent pas compte de la valeur des choses. »

    Doute sur les galeries

    Ce dont Georges Bischoff doute, en revanche, c’est de la réalité de galeries souterraines. «  Il faut considérer le rapport investissement et utilité qui serait absurde. C’était d’ailleurs un très mauvais moyen pour relier deux endroits et en cas de nécessité de fuir une corde le long d’un mur était plus efficace ! Le mot crypte est aussi très connoté. Qu’il existe une salle souterraine, pourquoi pas ? Cela peut être une glacière une veine d’extraction d’un minerai, selon la structure géologique, ou des éléments de travail de sape dans l’hypothèse d’un siège. Cela peut aussi être des travaux de drainage ou des tranchées qui ont ensuite été recouvertes lor s d’effondrements… Je suis sceptique. Mais tout est possibles… » "

    Voir l'article : http://www.republicain-lorrain.fr/fr/region/article/3221402/Rendre-publiques-ces-informations.html 

     


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    Le Républicain Lorrain du dimanche 30 mai 2010, " Enquête sur le passé des chevaliers teutoniques ". (Photo DR) (Olivier Simon)

    " Patrimoine pays de sarrebourg "

    " Enquête sur le passé des chevaliers teutoniques "

    Deux passionnés d’histoire affirment avoir découvert un château teutonique inconnu près de Sarrebourg, avec un réseau de tunnels et une crypte secrète. Des photos satellites jettent le trouble sur leurs révélations.

    Le Pays de Sarrebourg se retrouve plongé dans une curieuse chasse au trésor depuis quelques semaines.

    En effet, après la découverte fortuite d’un trou de quatre mètres de diamètre dans un champ, mi-mars, à Langatte, le passé remonte à la surface au point d’intéresser bon nombre de passionnés d’histoire et chercheurs amateurs.

    DOSSIER :

    Entre légendes locales, enquêtes de sourciers et vestiges bien réels, les théories et les interprétations livrées au fil des révélations laissent à penser qu’un formidable trésor archéologique dort peut-être sous terre.

    Certains en sont convaincus, d’autres observent en ricanant. Reste que les éléments troublants s’accumulent au point d’intriguer d’éminents spécialistes, avec toute la retenue que ce genre de travaux impose.

    Dernier acteur en date, Albert Fagioli, chercheur de trésors mosellan, auteur d’un essai sur Le Testament du duc d’Enghien.

    Il s’est promené dans les champs avec son dowser (baguette de sourcier) pour faire parler la terre. Ce même homme est persuadé que le trésor des Condé repose à Marthille, dans le Saulnois.

    La trace d’un château repérée par satellite

    Pour l’histoire qui nous préoccupe, les observations d’Albert Fagioli rejoignent point pour point celles de Claude Streiff, propriétaire de la ferme du Foundenhof, qui s’est, quant à lui, basé sur son pendule et le décryptage d’un blason placé au-dessus de la porte d’entrée de sa maison, une ancienne commanderie de l’Ordre des chevaliers teutoniques.

    Les deux hommes sont certains qu’il existe au moins quatre tunnels enfouis à une dizaine de mètres sous terre, dont le point de départ se situe au niveau d’une ancienne tour de château, un édifice mentionné nul part dans les archives mais, dont ils auraient retrouvé la trace sur une photo satellite prise durant la canicule de 2003 : on y voit effectivement un grand rectangle d’une centaine de mètres de longueur et au moins un cercle de vingt-cinq mètres de diamètres. «  Ces fondations en grès rose ont gardé l’humidité », assure Albert Fagioli.

    Une crypte de 16 m de long

    Par vibration, il estime la hauteur des tunnels à deux mètres pour un mètre de large. Ils conduiraient vers d’anciennes possessions, en particulier l’ancien couvent de Rinting, à Bébing, où l’on vient de découvrir dans l’ancienne chapelle des symboles de l’Ordre hospitalier (sans doute des Templiers), et des cavités secrètes. En direction de la ferme du Foundenhof, à Haut-Clocher, l’un des tunnels mènerait à une crypte qui ferait 16 m de long pour 4 m de large.

    Un trou maçonné de pierres, déterré il y a trente ans par Claude Streiff serait l’un des accès. L’homme a passé des années à étudier le blason teutonique pour réussir à guider ses recherches.

    Il n’a jamais douté se trouver face à une carte cryptée. «  J’ai trouvé une pièce d’époque, que j’ai fait analyser : elle est à 76 % en or et le reste est un alliage avec du cuivre. », affirme-t-il, sans tout dévoiler de ce qu’il aurait pu trouver lorsqu’il a exploré le trou. Mardi dernier, les maires de Haut-Clocher et Langatte étaient sur place à l’invitation d’Albert Fagioli. Francis Beck (Haut-Clocher) s’est montré intrigué. Bernard Simon (Langatte) s’est dit «  très étonné ».

    Une équipe du BRGM s’est également retrouvée au même endroit, par coïncidence (ayant rendez-vous en mairie de Langatte), et a effectué de sommaires relevés.

    Rien ne permet de contredire les affirmations de MM. Streiff et Fagioli. Rien ne les confirme non plus.

    Il existe des techniques d’analyse des sols qui permettraient de confirmer ou non la présence de ces souterrains, à condition de trouver un budget de l’ordre de 10 000 €.

    Ou alors, il faudra creuser.

    Olivier SIMON. "

    Petites rectifications :

    - La crypte qui se trouve près de la ferme du fundenhoff ferait environ 8 à 10 mètres de large par 15 à 18 mètres de longueur. Il pourrait bien s'agir d'une grande salle souterraine dont les templiers devaient utiliser lors de leurs réunions. (Les relevés précis n'ont pas encore été réalisés)

    - Ce n'est pas grâce à la photo satellite que Mr Fagioli a découvert ces fondations d'un ancien château mais cette photo donne la confirmation qu'il y a bien quelque chose à l'endroit où arrive les deux souterrains (du trou de Langatte et de la crypte de la ferme du Fundenhoff) qu'il a suivie en surface grâce à son dowser...
    - Le trésor personnel du dernier des Condé n'est pas dans le bois des Seigneurs à Marthille mais dans un autre endroit en Moselle...pas très loin de Marthille...
    Mais Marthille sera célèbre pour une autre chose...

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    Le Républicain Lorrain du dimanche 30 mai 2010, " Chasse au trésor teutoniques à Langatte. " (Photo DR) (Olivier Simon)

    " Des chercheurs amateurs mènent l'enquête. "

    " Chasse au trésor teutonique à Langatte "

    "  Des chercheurs amateurs pensent avoir trouvé les vestiges d'un château des chevaliers teutoniques du XIII° siècle à Langatte, près de Sarrebourg. Ils sont persuadés que des souterrains relient une ancienne commanderie à une crypte et à une chapelle. Des spécialistes suivent avec intérêt cette chasse au trésor crédibilisée par des photos satellites. "

     


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  • Les escaliers en pierre de la chapelle de Rinting,(En grès des Vosges), 25 et 28 mai 2010. (Albert Fagioli)

    Il y avait dans le temps de la construction de la chapelle, une pièce secrète en dessous des escaliers. L'accès de cette pièce secrète se faisait par  une dalle rectangulaire qui devait se trouver juste devant la dernière marche des escaliers. On peut en compter 11.

    Nous devrions également être très proche de l'accès aux souterrains qui permettaient de sortir du monastère ou couvent.

    Mais grâce à la perspicacité de Mr Streiff qui voulu chercher s'il y avait des dessins ou des signes sur les marches des escaliers. Quels fut leurs surprises quand en enlevant les quelques gravâts qui recouvraient les marches... Des signes inscrits du côté gauche des marches sur l'avant de celle-ci (La contre marche). Voir les photos :

    http://www.kizoa.fr/diaporama/d891910k2976436o1/escalierschapellerinting 

    Pour le moment seulement les quatre dernières marches on put être contrôlés et trois d'entre-elles ont des signes. (11, 10 et 8.)

    Certaines photos ont été faites depuis cette fameuse cache secrète, d'où la vision des marches des escaliers par le dessous.

    Mr Fagioli oubliait de dire que la toiture de la chapelle c'était effondrée il y a environ 1 mois et demi. Toutes les tuiles et la charpente sont tombées sur la dalle du rez-de-chaussée, ainsi que sur les marches de ces escaliers. C'est peut-être le choc des poudres qui ont fissurées les deux premières marches. Pour les autres elles sont dans un excelent état. Aujourd'hui il ne reste que les quatre murs de la chapelle.

    Nous venons d'apprendre qu'un permis de démolition avait été déposé pour les restes de la chapelle (D'après madame le maire de Bébing et Mr Bier).

    Le problème est que celle-ci n'avait jamais fait l'objet d'un classement aux Bâtiment de France et ni les escaliers en bois de la ferme.

    Donc personne pour effectuer les réparations... Les assurances ne couvrent pas ce type de dégâts...

    Le permis de démolition pourrait fort bien être accepté...

    Revenons-en aux fameuses initiales gravées sur les contre marches de ces escaliers. Apparemment il s'agit des chiffres des templiers ou des signes utilisés par ceux-ci à l'époque entre 1129 et 1312. Vous pourrez voir que ces chiffres sont d'origines. Des experts pourront venir le confirmer avant que la chapelle ne soit détruite. En attendant des experts voici quelques liens vers les templiers :

    http://www.lordredutemple.com/accueil.html 

    http://www.tresors.net/ddm1099_new.htm 

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Chiffre_des_Templiers 

    http://www.bibmath.net/crypto/substi/templiers.php3 

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Ordre_du_Temple 

    http://pagesperso-orange.fr/jean-francois.mangin/capetiens/capetiens_templiers.htm 

    Par contre Mr Fagioli et Mr Streiff ne savent pas encore quels sont les significations de ces signes et il se pourrait que d'autres marches aient également des signes similaires.

    On peut donner un petit coup de chapeau à Mr Streiff pour la découverte de ces initiales.

    Donc si la chapelle du Rinting a été construite par les templiers à partir de 1129. Le monastère de Rinting était donc aux templiers, ainsi que le  château de Langatte (fondations découvertes par Mr Fagioli) et la ferme du Fundenhoff, car ils étaient tous en liaisons par des souterrains que Mr Fagioli  a découverts grâce à son dowser. Le blason de la ferme du Fundenhoff qui semble bien être des templiers.

    Par la suite cette commanderie passa certainement aux chevaliers teutoniques car ceux-ci arrivèrent plus tard.

    Je pense que certains historiens devront revoir  leurs mémoires concernant la présence des templiers au Rinting et à la ferme de Fundenhoff. Je pense que l'on va parler de cette découverte dans les médias...

    Et surtout de la fameuse grande cryptes qui se trouve près de la ferme de Fundenhoff, localisé depuis près d'une trentaine d'années par Mr Streiff, mais hélas rien n'a bougé depuis ce temps...

    Mr Fagioli est à la disposition des sociétés d'Histoire de la région de Sarrebourg et de Metz pour leur exposer ses recherches.

    Il se pourrait qu'un dossier de fouille concernant cette commanderie templière pourrait voir le jour dans les années à venir.

    Affaire à suivre...

    Description d'une commanderie templière :
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Description_d%27une_commanderie_templi%C3%A8re 

    L'Ordre du Temple :
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Ordre_du_Temple 

    Voici la liste des commanderies templières en France, (apparemment 326) :
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_commanderies_templi%C3%A8res 

    Voici la liste des commanderies templières en Lorraine, (apparemment 12) :
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_commanderies_templi%C3%A8res_en_Lorraine 

    Il faudra bientôt rajouter celle de Langatte...

    " Une affaire de plus pour le CV de Mr Fagioli. "

    " Quand l'élève dépasse le maître...Peut-être que Fagioli deviendra notre " Indiana Jones " Mosellan...

     

     


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  • L'escaliers en bois de la ferme de Rinting, 25 mai 2010. (Albert Fagioli)

    D'après des recherches effectuées par des experts, ces escaliers auraient environ 700 ans. Donc vers l'an 1300...

    On peut voir qu'ils paraissent très anciens. Une datation réalisé grâce aux initiales qui se trouvent en bas de ces escaliers, voir les photos :

    http://www.kizoa.fr/diaporama/d891913k6570162o1/escaliersboisrinting


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  • Ferme de Rinting, 25 mai 2010. (Albert Fagioli)

    Après le trou de Langatte et la ferme de Fundenhoff, Mr Fagioli avait donné rendez-vous avec madame le maire de Bébing (Marie-Paule Bazin) pour une visite à la ferme de Rinting (anciennement couvent et monastère). Il invita également Mr Streiff pour cette visite. Le but  étaient de rechercher s'il y avait un ou des départs de souterrains de la ferme vers les vestiges du château de Langatte (vestiges découvert par Mr Fagioli).

    Le résultat :

    Il y a bien un souterrain qui part du bâtiment qui est juste à côté de la chapelle (lieue d'habitation de Mr Robert Bier, exploitant de celle-ci jusqu'en 2009). Celui-ci part  de l'arrière de la maison vers l'étang et il y a un autre départ (Y) quelques mètres de l'habitation qui part vers le nord. (vers Langatte en passant par les bois et la ferme de Misselhoff)

    Il y a également un autre souterrain qui descend de l'est et qui passe à 20 ou 30 mètres à gauche du bâtiment et se dirige vers l'étang.

    Mr Fagioli a également détecté de nombreuses cavités (caves) du côté gauche du bâtiment existant. Apparemment Mr Bier avait déjà trouvé ces cavités lors du passage de sa conduite d'eau dans les années 50. Il avait cassé une voute d'une cave et un peut plus loin celle d'un souterrain qui venait de l'est. 

    Mr Fagioli a découverte une autre cavité un peut plus loin, toujours du côté gauche, mais pas dans l'alignement du bâtiment existant.

    Le souterrain arrivant au bâtiment bifurque vers la chapelle. D'où le départ du souterrain...

    Mr Fagioli fera d'autres relevés par la suite.

    A suivre l'escaliers en bois de la ferme et l'escaliers en pierre (grès des Vosges) de la chapelle.

    Voir les photos de la ferme de Rinting et de ses caves :

    http://www.kizoa.fr/diaporama/d891921k7531926o1/rintingferme 

     Les quelques recherches ont eu lieu à quelques mètres du bâtiment principal et de la chapelle.

    Voir le livre de Louis Delaguépierre, membres titulaire de la Société Archéologique de Nancy, auteur de plusieurs légendes Lorainne, " La Vierge et le Monastère de Rinting ", Lunéville, 1869. Ce livre peut-être consulté sur le site de Books.Google.fr :

    http://books.google.fr/books?id=jQNFAAAAYAAJ&printsec=frontcover&dq=monast%C3%A8re+de+rinting&source=bl&ots=NUxRrXPwd1&sig=gcmHuYvOGqW-Rj9WvAEZMy1eGOc&hl=fr&ei=xJkBTKPTGaCG4gb_7-3LDg&sa=X&oi=book_result&ct=result&resnum=3&ved=0CCEQ6AEwAg#v=onepage&q&f=false 

    Vous verrez dans ce livre que l'on parle des souterrains du Monastère de Rinting et en quoi ils sont fait...(Voir page 13)

    (Les souterrains sont en pierres de tailles)

    Voir aussi à la page 43 :

    (entre 1727 et 1738) ( Les réligieuses étaient dans la misère. Les bâtiments étaient tellement ruinés qu'elles se logeaient sous le toit et dans les souterrains d'une  aile d'un des bâtiments, le reste n'étant point logeable.

     

     

     


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  • Réunion a la ferme du Fundenhoff, mardi 25 mai, 10h00. (Albert Fagioli)

    " Mr Fagioli avait donné rendez-vous ce mardi matin pour présenter les résultats de ses recherches lors de son premier passage à Langatte et à la ferme de Fundenhoff (vendredi 14 mai). Il avait convié le maire de Haut-Clocher, le maire de Langatte, le Républicain Lorrain et de nombreuses autres personnes.

    Beaucoup de personnes n’ont pas pu se libérer pour cette réunion.

    N’ont pas pu venir :

    Un conseiller de la mairie de Sarrebourg,

    Madame le maire de Bébing, (Marie-Paule Bazin)

    Mr fabrice  Karleskind,

    Les propriétaires de la ferme Misselhoff, (Léonard)

    Le maire de Marthille, (Gérard Hiéronimus)

    Par contre Mr le maire de Langatte est venu acompagné d’un conseiller de Langatte et de quatre personnes dont trois viennent du BRGM (Bureau de Recherche géologiques et minières)

    Ces personnes du BRGM ont pris notes des emplacements des souterrains et de la crypte qui se trouve près du trou de la ferme de Fundenhoff. Ils ont fait des relevées au GPS et ils vont en parler auprès de la DRAC de Metz pour savoir si celle-ci pourrait avoir des informations spécifiques dans le secteur de Langatte. Ils vont certainement faire un rapport au maire de Langatte.

    Le BRGM annonce qu’a priori ce trou à la ferme de Fundenhoff est bien un trou artificiel (fait de la main de l’homme)

    Ce trou sert à quoi? Pour le moment ils n’ont pas donné de réponse.

    Mr Fagioli  a confirmé la présence de trois souterrains partant de ce trou. La démonstration avec l’utilisation de son dowser à laisser les personnes présentes sceptiques.

    Par contre ils n’ont donnés aucun commentaire sur l’emplacement du château que monsieur Fagioli à découvert et confirmé par les photos satellites. Le BRGM ainsi que la DRAC parlent d’anomalies à cet endroit…pour le moment…

    Faut-il que Mr Fagioli mette à nu l’un des murs de la grande tour de droite pour qu’ils admettent qu’il y a bien un château à cet endroit ? Cela prendra que quelques minutes avec un tracto-pelle et une localisation rapide avec son dowser.

    Trois personnes se sont essayées  à l’utilisation de son dowser… Hélas aucune personne n’a obtenue de résultat positif, même pas un léger mouvement de cet appareil vers l’arrière,  comme le veut  son utilisation lors d’un passage au dessus d’un souterrain ou d’une crypte.

    La démonstration finie au Fundenhoff, les personnes du BRGM voulurent  aller voir le trou de Langatte. Nous nous retrouvions, pour ma part, pour la deuxième fois autour de ce trou mystérieux. Les premières constatations du BRGM allèrent dans le même sens que celle de Mr Fagioli.

    Il devrait y avoir un puits à cet endroit ou un puisard. Mais ils restent intrigués par la quantité de terre qui a disparue au fond du trou et qui continue à descendre.

    Voir les photos : http://www.kizoa.fr/diaporama/d887427k9661940o1/republicainlangatte 

     

    Il était environ treize heures lorsque Mr Fagioli reprit la route pour la deuxième fois du restaurant de Saint-Ulrich. (Où l'on mange très bien) (Auberge Saint Ulrich, Tél : 0387239548)

    Puis il décida d’aller rendre visite au propriétaire de la ferme du Rinting, propriétaire Mr Robert Bier. Il demanda à madame le maire de Bazin si elle pouvait venir à la ferme du Rinting pour effectuer des recherches d’un éventuel souterrain qui pourrait rejoindre les ruines du château de Langatte.

    Mr Streiff  fut également présent..."

    " Prochainement les résultats à la ferme de Rinting, découverte d'un souterrain partant de l'ancien couvent qui est juste à côté de la chapelle dont le toit vient de s'écrouler il y a environ 1 mois et demi. Ainsi que la découverte de nombreuses caves comme celle du couvent existant..."

     


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  • Les fondations du château de Langatte. (Google Earth) (Albert Fagioli)

    Voilà une photo qui parle...

    Apparemment personne ne connaissait cet emplacement de ce château. Mr Fagioli semble être le premier à annoncer cette découverte...

    Pour info 2003 est l'année de la grande canicule en France et en Europe : http://fr.wikipedia.org/wiki/Canicule_europ%C3%A9enne_de_2003 

    On  distingue bien les contours et les dimensions de ce château...Le grès des Vosges gardant l'humidité. On peut dire qu'il s'agit d'une photo exceptionellle.

    Google Earth semble être l'un des outils des grands chercheurs de vestiges enfouis :

    http://www.presence-pc.com/actualite/Google-Earth-11913/ 

    http://decouvertes-archeologiques.blogspot.com/2007/07/les-satellites-au-secours-des.html 

     


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  • Image Google Earth du 19 août 2003. (Google Earth) (Albert Fagioli)

    Un souterrain relie la tour droite du château à la crypte qui se trouve dans la zone entourée en jaune, près de la ferme de Fundenhoff et du fameux trou découvert par Mr Streiff.


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  • Image par Google Earth du 19 août 2003. (Google Earth) (Albert Fagioli)

    Un bon vent a porté Mr Fagioli jusqu’à Langatte, petit village près de Sarrebourg. C’est grâce à  Mr Patrice Traber-Seer (ami et passionné comme lui) qui lui a mis la puce à l’oreille, concernant l’histoire de la découverte d’un  trou en plein champ de blé. Patrice pensant que cela pourrait intéresser Mr Fagioli, lui proposa d’aller voir qu’est-ce qui ce cache derrière ce gros trou. (Percer cette étrange énigme)

    De suite, sans hésiter il prit le téléphone et  appela le propriétaire du fameux trou à Langatte, Mr Fabrice Karleskind. Il eut vent par celui-ci, de la présence d’un autre trou près de la ferme de Fundenhoff appartenant à Mr Claude Streiff.

    Il prit un rendez-vous avec ces deux messieurs pour le vendredi 14 mai vers 10 heures pour la ferme Fundenhoff, puis 14h30 pour le trou de Langatte.

    Seul différence entre ces deux trous :

    L’un c’est formé artificiellement et l’autre fut creuser il y a plus de trente ans. Pour ce dernier il est connu par beaucoup de monde.

    Mais pourquoi depuis environ trente ans celui-ci n’a jamais été rebouché par Mr Streiff ???

    La réponse arrive aujourd’hui par là venu de Mr Fagioli.

    Pensait-il qu’un jour qu’il allait reprendre les fouilles dans ce trou qu’il avait commencé avec son père en utilisant un palan, une corde et des sauts.

    Quels sont les documents qu’a découverts Mr Streiff dans sa maison ou dans ses recherches des archives de sa ferme. Apparemment il serait remonté jusqu’au 11°/13° siècle. Son père et sa mère sont arrivés là en 1911.

    Il demanda à Mr Fagioli s’il pouvait retrouver les passages de souterrains avec son dowser.

    Fagioli lui répondit :  « S’il y en a, je vais les trouver. »

    Ce qui surprit Mr Fagioli c’est qu’apparemment Mr Streiff était bien renseigné sur les zones à inspecter comme si (lui) avait des croquis de ces souterrains, et surtout de l’emplacement supposé d’une grande crypte.

    Mr Streiff dit : " C’est grâce au blason qui se trouve au dessus de notre porte et des documents qu’il a trouvé lors de ces recherches qui lui ont permis de localiser un trou très large où il y aurait un accès pour aller dans une crypte qui se trouve très proche de sa ferme. " Mais pourquoi avoir arrêté de creuser … !!! Mystère… !!!

    Il s’arrêta sur un banc de pierre à environ 4 mètres de profondeur…

    Voilà maintenant le rapport Fagioli concernant les vestiges qui se trouvent autour de la ferme Fundenhoff.

    Il y a bien la présence de trois souterrains autour de ce trou :

    L’un va en direction de la ferme de Fundenhoff.

    L’autre va plus bas dans le parc  et prend la direction  d’Imling. Peut-être la direction du vieux château Imling !!!

    Et le troisième prend la direction de l’ouest  vers le haut du parc, vers Langatte.

    Ce troisième souterrain  mène à une grande crypte ou plutôt une grande salle souterraine d’environ 8 m par 15 m (rectangulaire) (aucun relevé précis n'a été effectuer ce jour là) 

    Dans le prolongement de cette crypte part encore un souterrain qui va vers l’ouest. (Vers Langatte)

    Mais il n’arrive pas directement au fameux trou découvert à Langatte.

    Il arrive pas très loin d’une autre ferme (la ferme Misselhoff, propriétaire Mr Fernand Léonard) où là il y avait un ancien château ou commanderie templières (Ou teutoniques par la suite). (Voir les photos satellites)

    Google Earth : http://earth.google.fr/

    Géoportail : http://www.geoportail.fr/visu2D.do?ter=metropole 
    http://www.geoportail.fr/visu2D.do?cg=djoxLjEqYzptZXRyb3BvbGUqY3Y6MS4wKnZ2OjEuMSp4eTo2Ljk5Mzc3OTExMzc2Mzc0NHw0OC43NDA2MTU4NzMxNDMxMDYqczo2KnB2OjEuMCpwOmRlY291dmVydGUqbDpQaG90b3wxfDEwMHww

    Mr Streiff était très convaincu par mes révélations, car celles-ci confortaient les siennes.

    Je lui demandais s’il voulait venir avec moi  à  Langatte, il répondit de suite « oui ».

    Après un petit déjeuner à l’auberge de Saint-Ulrich, Mr Fagioli prit la route de Langatte. Il fut rejoint par Mr Streiff. Arriver à la ferme de Mr karleskind ils prirent tous les trois le chemin qui mène au trou de Langatte. Le blé avait commencé à pousser… Nous marchâmes environs 100 ou 200 mètres dans le blé encore humide…

    Une fois que l’on était arrivé au niveau du trou (voir les photos), Mr Fagioli sorti de son sac son dowser et fit le tour de ce trou  plusieurs fois. Il répéta cela plusieurs fois encore en augmentant le diamètre des recherches.

    Les résultats :

    Il n y a qu’un passage de souterrain et qui démarre du trou, vers le haut du champ (vers l’est) et qui bifurque légèrement vers la droite une fois arrivé en haut du champ. Il fit plusieurs passages environ tous les quinze mètres pour voir où ce souterrain se dirige. Il doit s’agir d’un puits qui se trouve à l’extrémité du souterrain (récupération de l’eau de pluie du château)

    Puis il en resta là avec messieurs Streiff et Karleskind.

    Mais une envie d’en savoir plus :  Il prit la direction de l’autre chemin  qui se trouve au bout de ce champ et chercha où ce fameux souterrain arrive. Il retrouva également l’autre souterrain qui vient de la ferme de Fundenhoff (et de la crypte)
    De cette zone (Zone du château) il a retrouvé deux autres départs de souterrains.

    Mr Fagioli avait demandé s’ils avaient entendu parlés d’un château qui pourrait se trouver en direction de ce souterrain : La réponse fut « non »

    En rentrant à la maison  Mr Fagioli voulu en savoir plus sur la zone de Langatte mais il n’avait pas de carte IGN au 1 /25 000ème. Il utilisa le logiciel Google Earth pour voir la région  par satellite.

    Quel fut sa surprise en voyant la zone où arrivent les deux souterrains !!!

    Ca se passe de tout commentaire :

    On peut distinguée la forme du château, ainsi que la grande tour circulaire dans la zone marqué d’un cercle rouge sur les photos. Apparemment Fagioli a eu de la chance que les satellites ont prit les photos avant que les végétations n’aient poussées. (Attention apparemment il y aurait la même tour du côté gauche)

    On voit bien l’emplacement des fondations de l’ancien château car il fut certainement construit avec du grès  rouge des Vosges (de couleur rouge, comme à Dabo)

    Je pense que beaucoup de découvertes ont été faite avec l’aide de photos vue du ciel par avion ou par satellite. En voici la preuve par cette photo prise en 2003.

    J’espère que ces révélations vont faire bouger les choses pour d’éventuelles fouilles archéologiques dans cette zone.

    Qui est enterré dans la grande crypte ? Il pourrait y avoir une quinzaine de sarcophages ou tombeaux !
    Des templiers ? Des chevaliers teutoniques ? Ou … ?

    Il pourrait bien y avoir une autre crypte dans l’un des deux autres souterrains qui part du château. (Seul des recherches sur place nous le confirmeront)

    D’après les photos satellites ont peut en déduire les dimensions :

    Château d’environ 150 m par (70-80m)

    Deux tours d’environ 20 à 25 m de diamètre.

    Les deux photos satellites prisent l’une par Google Earth (le 19 aoûit 2003) et l’autre par Géoportail (en 1993) sont complémentaires.

    Google Earth nous montre l’emplacement des fondations du château. Par contre on a du mal a distinguer la tour de gauche sur cette photo.

    Géoportail nous montre les emplacements des deux tours.

    Faite une superposition des deux photos… Cela semble incroyable !!! Deux photos du même lieu, à une date différente...

    Apparemment il y a quatre départs de souterrains depuis ce château. Trois départs depuis la tour de droite. Aucun depuis celle de gauche.

    De la tour droite du château partent ces trois souterrains

    1 départ vers le trou de Langatte.
    1 départ vers la crypte près de la ferme de Fundenhoff.
    1 départ vers Rinting.

    Il y aurait un quatrième souterrain qui partirait de l’angle sud-est du château et qui prendrait la direction du sud.
    Où ? Mr Fagioli n’a pas encore localisé le point terminal, de même que celui qui part en direction de Rinting.

    Mr Fagioli grâce à l’un de ses dons a retrouvé toutes ces informations en quelques heures sur le terrain. Ainsi que les directions des souterrains …

    Il va présenter ses conclusions à plusieurs élus locaux de la région, ainsi que les propriétaires des parcelles concernés, en présence d’un journaliste du Républicain Lorrain. Une date vient d’être fixée pour mardi prochain.

    Mr Fagioli a également contacté l'un des responsables de la DRAC de Metz (Mr Thion) pour la découverte de l'emplacement de ce très vieux château, qui fut peut-être construit sur une ancienne villa Gallo-Romaine. Ce château se trouve pas très loin de l'ancienne voie romaine qui relié Metz à Strasbourg.

    *** Voilà comment la découverte d'un gros trou, nous mène à la découverte d'une énigme populaire bien connue dans la région de Sarrebourg. ***


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  • Le blason de la ferme de Fundenhoff, 14 mai 2010. (Albert Fagioli)

    " Quels secrets sont-ils cachés dans ce blason ? Peut-on conclure à la présence d'une quinzaine de sarcophages dans une crypte !!! Voir le nombre de petit trou en forme de haricot tout autour de la croix..."

    L'Ordre Teutonique :
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Ordre_Teutonique


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  • Le trou de Fundenhoff, le 14 mai 2010. (Albert Fagioli)

    " Un mystérieux trou découvert par Claude Streiff (propriétaire de la ferme de Fundenhoff), il y a environ une trentaine d'années. Il est resté tel qu'il l'avait découvert... Beaucoup de questions à son sujet depuis plus de trente ans."

    Mr Fagioli  a également enquêté sur le mystère de ce trou et les vestiges se trouvant aux alentours. Il peut dire une chose, c'est que Mr Streiff est loin d'être "un Fou"... Il est au courant de beaucoup de choses concernant les vestiges se trouvant autour de sa ferme.
    A-t-il eut accès à des archives spécifiques ? A-t-il trouvait des documents dans sa ferme ? A-t-il un don également (utilisation d'un pendule) ?

    Mr Fagioli publiera les résultats de toutes ses recherches très prochainement.

    Voir les photos prises ce vendredi 14 mai :

    http://www.kizoa.fr/diaporama/a1155936k8555035o1/fundenhoff 

     


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  • Le trou de Langatte, 19 mars 2010. (Fabrice Karleskind, propriétaire du champ)

    " Un mystérieux trou bien circulaire est apparu dans un champ de blé à Langatte, près de Sarrebourg en Lorraine (57).

    Voir la vidéo sur You Tube :
    http://www.youtube.com/watch?v=YW22AMd8VhA 

    Voir également l'article du Républicain Lorrain de Sarrebourg du mercredi 31 mars 2010 :
    http://www.republicain-lorrain.fr/fr/permalien/article/2893394/Mysterieux-trou-a-Langatte.html 

    http://www.google.fr/url?q=http://www.republicain-lorrain.fr/fr/images/get.aspx%3Fimedia%3D16699096&sa=X&ei=lO_zS97tLpKcmAOvrfmYDQ&ved=0CBkQzgQoATAA&usg=AFQjCNEZa4MSRUqTag31Miyo9z5B-e3DLQ 

    Voir aussi sur :

    http://area51blog.wordpress.com/2010/03/28/mysterieux-trou-dans-un-champ-en-moselle/ 

    http://www.facebook.com/note.php?note_id=411239889223 

    http://blogerslorrainsengages.unblog.fr/2010/04/01/

    Mr Fagioli est allez enquêter sur place le vendredi 14 mai 2010.

    Le résultat de ses recherches sera communiqué très prochainement.

    Voir les photos prises ce jour là en présence de Fabrice Karleskind (propriétaire du champ de Langatte) et Claude Streiff (propriétaire de la ferme de Fundenhoff) :

    http://www.kizoa.fr/diaporama/a1155943k9397415o1/langatte

     


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  • L'APARC, " Association pour la Préservation de l'Ame de Rennes-le-Château ", " Le Rapport Fagioli ", 31 mars 2010. (André Galaup)

    Voir sur le site de L'APARC : http://www.aparc-rennes-le-chateau.com/le_rapport_fagioli.htm 

    Mr Fagioli tient à remercier Mr André Galaup pour la présentation de son rapport sur le site de L'APARC, qui apporte de nouveaux documents d'Archives et d'autres à venir  sur les Mystères de Rennes-le-Château.

    On vient d'apprendre que le Conseil Général vient d'envoyer un courrier à la Mairie de Rennes-le-Château suite à l'envoi du rapport Fagioli au Président du Conseil Général (Mr Marcel Rainaud), il y a plusieurs semaines.

    Fagioli espère que ces travaux apporteront une nouvelle pierre à l'énigme de Rennes et qu'ils contribueront à faire connaître les vestiges enfouis depuis des millénaires sous l'ancienne cité. (Sans parler d'un hypothétique trésor...)

    A votre avis y a-t-il que des découvertes à faire en Egypte ???  En France on n'a pas de Pyramide (A part la Pyramide du Louvre) mais on a d'autres vestiges à découvrir, tel que des cryptes et tombeaux d'hommes célèbres !!!

    Fagioli pourrait bien demander l'appui d'un célèbre Archéologue Egyptien, le Dr Zahi Havass, qui est un spécialiste des fouilles en Egypte... Il vient d'avoir ses coordonnées par l'intermédiaire de l'Ambassade d'Egypte en France.

    Son site avec des belles photos sur les découvertes en Egypte : http://www.drhawass.com/

    Voir également sur Twitter : http://twitter.com/ZahiHawass 

    Fagioli est abonné au Twitter du Dr Zahi Hawass : http://twitter.com/home 

    Fagioli a également un Facebook : http://www.facebook.com/ 

     

     


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  • Réponse de la DRAC de Lorraine suite au projet de fouilles pour récupérer le trésor personnel du Duc d'Enghien, le 30 septembre 2004. (Daniel Barroy, Directeur Régional des Affaires Culturelles) (Page 1)

     

    Objet : Trésor du Duc d’Enghien.

    Monsieur,

    Pour faire suite à votre courrier en date du 17 août 2004 et à votre entretien téléphonique avec l’un de mes collaborateurs du Service Régional de l’Archéologie  de Lorraine, j’ai l’honneur de vous confirmer les points suivants :

    En vertu de la législation en vigueur (Article L 531-1 du Code du patrimoine), « nul ne peut effectuer sur un terrain lui appartenant ou appartenant à autrui des fouilles ou sondages à l’effet de recherches de monuments ou objets pouvant intéresser la préhistoire, l’histoire, l’art ou l’archéologie, sans en avoir au préalable obtenu l’autorisation. La demande d’autorisation doit être adressée à l’autorité administrative ; elle indique l’endroit exact, la portée générale et la durée approximative des travaux à entreprendre. Dans le délai, fixé par voie réglementaire, qui suit cette demande et après avis de l’organisme scientifique consultatif compétent, l’autorité administrative accorde, s’il y a lieu, l’autorisation de fouiller. Elle fixe en même temps les prescriptions suivant lesquelles les recherches devront être réalisées. »

    De même, conformément à l’article L 542-1, « nul ne peut utiliser de matériel permettant la détection d’objets métalliques, à l’effet de recherches de monuments et d’objets pouvant intéresser la préhistoire, l’histoire, l’art ou l’archéologie, sans avoir obtenu une autorisation administrative délivrée en fonction de la qualification du demandeur ainsi que la nature et des modalités de la recherche ».

    Je vous précise enfin que la réalisation de terrassement dans un site anciennement occupé, comme par exemple un château médiéval, entraînera inévitablement la destruction de niveaux archéologiques jusqu’alors préservés dans le sol. Outre une perte d’informations concernant l’histoire et les états successifs du site, une telle destruction constitue une infraction, passible des peines portées aux articles 322-1 et 322-2 du Code pénal.

    En ce qui concerne votre question relative au véritable propriétaire du trésor du Duc d’Enghien en cas de découverte, il convient de préciser qu’il ne s’agirait pas ici d’un trésor au sens de l’article 716 du Code civil qui stipule que « Le trésor est toute chose cachée ou enfouie sur laquelle personne ne peut justifier sa propriété et qui est découverte par le pur effet du hasard ». Dans le cas qui vous intéresse, cette fortune reviendrait aux héritiers, sous réserve qu’ils soient en mesure de prouver leurs droits, la justice appréciant le cas échéant la validité des preuves fournies.

    Je vous prie d’agréer, Monsieur, l’expression de ma considération distinguée.

     

    Le Directeur Régional des Affaires Culturelles : Daniel Barroy.

     


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  •  

    Objet : Trésor du Duc d’Enghien.

    Monsieur,

    Pour faire suite à votre courrier en date du 17 août 2004 et à votre entretien téléphonique avec l’un de mes collaborateurs du Service Régional de l’Archéologie  de Lorraine, j’ai l’honneur de vous confirmer les points suivants :

    En vertu de la législation en vigueur (Article L 531-1 du Code du patrimoine), « nul ne peut effectuer sur un terrain lui appartenant ou appartenant à autrui des fouilles ou sondages à l’effet de recherches de monuments ou objets pouvant intéresser la préhistoire, l’histoire, l’art ou l’archéologie, sans en avoir au préalable obtenu l’autorisation. La demande d’autorisation doit être adressée à l’autorité administrative ; elle indique l’endroit exact, la portée générale et la durée approximative des travaux à entreprendre. Dans le délai, fixé par voie réglementaire, qui suit cette demande et après avis de l’organisme scientifique consultatif compétent, l’autorité administrative accorde, s’il y a lieu, l’autorisation de fouiller. Elle fixe en même temps les prescriptions suivant lesquelles les recherches devront être réalisées. »

    De même, conformément à l’article L 542-1, « nul ne peut utiliser de matériel permettant la détection d’objets métalliques, à l’effet de recherches de monuments et d’objets pouvant intéresser la préhistoire, l’histoire, l’art ou l’archéologie, sans avoir obtenu une autorisation administrative délivrée en fonction de la qualification du demandeur ainsi que la nature et des modalités de la recherche ».

    Je vous précise enfin que la réalisation de terrassement dans un site anciennement occupé, comme par exemple un château médiéval, entraînera inévitablement la destruction de niveaux archéologiques jusqu’alors préservés dans le sol. Outre une perte d’informations concernant l’histoire et les états successifs du site, une telle destruction constitue une infraction, passible des peines portées aux articles 322-1 et 322-2 du Code pénal.

    En ce qui concerne votre question relative au véritable propriétaire du trésor du Duc d’Enghien en cas de découverte, il convient de préciser qu’il ne s’agirait pas ici d’un trésor au sens de l’article 716 du Code civil qui stipule que « Le trésor est toute chose cachée ou enfouie sur laquelle personne ne peut justifier sa propriété et qui est découverte par le pur effet du hasard ». Dans le cas qui vous intéresse, cette fortune reviendrait aux héritiers, sous réserve qu’ils soient en mesure de prouver leurs droits, la justice appréciant le cas échéant la validité des preuves fournies.

    Je vous prie d’agréer, Monsieur, l’expression de ma considération distinguée.

     

    Le Directeur Régional des Affaires Culturelles : Daniel BARROY.

     

    *** Voilà le premier courrier reçu  des instances de la DRAC de lorraine suite au projet de fouilles. La demande de fouille n'a pas encore été déposée  car Mr Fagioli attends toujours d'avoir le ou les partenaires financiers pour pouvoir présenter ses dossiers. Et également l'appui scientifique et universitaire qui lui manquent.

    On peut voir dans ce courrier une petite piqûre de rappel concernant les lois sur les fouilles archéologiques.

    Une petite parenthèse :

    " Combiens d'homme politique et de Président de la République devraient être en prison si on respecter les lois du Code Civil... Je ne citerai personne et aucun dossier..."

    Alors merci pour ces conseils...

     


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  • Réponse de la Sous-Préfecture de Limoux suite à l'envoi de son rapport, le 8  octobre 2009, N°90/NMB. (Olivier Tainturier, Sous-Préfet)

    Monsieur,

    Par courriels des 28 mai et 5 octobre 2009, vous m'avez fait parvenir divers documents relatifs à vos recherches entreprises sur le site de l'église paroissiale de Rennes-le-Château.

    Par le présent courrier, je vous apporte confirmation que j'ai bien pris note de votre démarche archéologique et des divers contacts étabis avec la Direction Régionale des Affaires Culturelles et de la Mairie de Rennes-le-Château.

    Je vous prie d'agréer Monsieur, l'expression de mes sentiments distingués.

    Le Sous-Préfet : Olivier TAINTURIER.


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  • Réponse de la Mairie de Rennes-le-Château suite à l'envoi de son rapport, le 15 juin 2009. (Alexandre Painco, Maire de Rennes-le-Château)

     

    Objet : Suite au courrier de la DRAC.

    Monsieur,

    Je reçois ce jour une lettre de la DRAC du Languedoc-Roussillon qui me fait part de la réponse qui vous a été faite à propos de vos recherches.

    Il va de soi que, le dossier demandé étant constitué, nous nous efforcerons d'être disponibles pour la suite qui seraient autorisées par la DRAC.

    Dans l'immédiat nous ne pouvons rien faire sinon attendre l'évolution de la situation et vous souhaiter bon courage pour le montage du dossier.

    Je vous prie d'agréer, Monsieur, l'expression de ma considération distinguéee.

     

    Le Maire : Alexandre PAINCO.


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  • Réponse de la DRAC du Languedoc-Rousillon suite à l'envoi de son rapport, le 4 juin 2009. N/réf : PhG/EJ/09-1604. (Henri Marchesi, Conservateur Régional de l'Archéologie) (Page 1)

     

    OBJET : 11- Rennes-le-Château- Projet d’étude dans l’église paroissiale.

     

    Monsieur,

    Vous avez communiqué auprès de la DRAC Languedoc-Roussillon une présentation assez détaillée de vos recherches sur le site de l’église paroissiale de Rennes-le-Château (Aude). Ce travail vous a permis de conclure à l’existence de cinq souterrains (un sixième probable). Vous abordez également la possibilité d’une cachette dans la tour Magdala qui renfermerait selon vous entre 15 et 20 parchemins dissimulés par l’abbé Saunière.

    Les recherches que vous avez entreprises jusqu’à maintenant sont uniquement fondées sur des analyses de textes dans le cadre d’un travail auquel vous vous consacrez depuis de très nombreuses années. Votre demande semble indiquer que vous souhaitez désormais vous engager dans une phase de travail sur le terrain afin de pouvoir confirmer vos premières hypothèses.

    Comme vous le savez très certainement, ce type de travaux relève des dispositions prévues par le législateur dans le Code du Patrimoine (Titre 1°, art. L. 510-1, relatif à la définition du patrimoine archéologique et Titre III, arts. L. 531 et suivants, relatifs aux fouilles archéologiques programmées et aux découvertes fortuites). C’est dans ce contexte réglementaire que doivent désormais s’inscrire vos recherches. Il va donc vous falloir constituer un dossier de demande d’opération archéologique qui sera soumis à l’examen de la Commission Inter-régionale de la Recherche Archéologique (CIRA). L’avis scientifique rendu par cette instance permettra l’instruction administrative de votre demande.

    Afin de constituer ce dossier un certain nombre de pièces est indispensable : L’autorisation écrite du (ou des) propriétaire(s) spécifiant la (ou les) parcelles(s) concernée(s) et précisant, dans la mesure du possible, le lieu de dépôt provisoire et la destination définitive du matériel archéologique qui sera découvert ; la situation précise du lieu où doivent être réaliser les recherches (extrait de la carte IGN au 1/25.000ème indiquant la localisation du site et du plan cadastral avec indication des zones de fouilles) ; le curriculum-vitae du responsable scientifique ; l’attestation de participation signée de chaque membre de l’équipe scientifique ; le projet scientifique de l’opération ; le descriptif des travaux envisagés ; la description des moyens matériel qui seront mis en œuvre ; et enfin, la photocopie du contrat d’assurance couvrant les risques encourus par le responsable de l’opération, les membres du personnel du chantier (salariés ou bénévoles) et les visiteurs de passage, à adresser au service régional de l’archéologie dès réception de l’autorisation et au plus tard une semaine avant le début de l’opération. Lorsque vous aurez réuni ces pièces, il conviendra de remplir le formulaire de demande. Vous trouverez ci-joints plusieurs modèles qui vous aideront dans la constitution du dossier.

    Lorsque vous aurez réuni ces pièces, il conviendra de remplir le formulaire de demande. Je sais que vous êtes en contact avec un de mes collaborateurs, Philippe Galant, auquel vous faites régulièrement part de l’avancement de votre démarche. Aussi, je lui ai demandé de vous aider dans l’élaboration de ce dossier en répondant aux questions que vous pourriez avoir au cours de sa constitution. C’est là une des missions de mon service à laquelle je suis très attaché.

    Ce type de travaux entrant dans le cadre de la recherche archéologique programmée, votre dossier complet doit être déposé auprès de mon service au plus tard au 30 novembre 2009 dans le cas où vous envisageriez la réalisation de vos travaux au cours de l’année 2010.

    Néanmoins et afin d’assurer une bonne gestion des opérations, je vous demanderais de me confirmer votre volonté d’engager ces travaux en 2010 par courrier afin que je puisse les inscrire dans la pré-programmation que j’établirai dès le mois de septembre 2009.

    En espérant avoir répondu à votre attente, je vous prie d’agréer, Monsieur, l’expression des mes sentiments les plus respectueux.

     

    Le Conservateur régional de l’archéologie : Henri MARCHESI

     


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  • Réponse de la DRAC du Languedoc-Roussillon suite à l'envoi de son rapport, le 40 juin 2009. N/réf : PhG/EJ/09-1604. (Henri Marchesi, Conservateur Régional de l'Archéologie) (Page 2)

     

    OBJET : 11- Rennes-le-Château- Projet d’étude dans l’église paroissiale.

     

    Monsieur,

    Vous avez communiqué auprès de la DRAC Languedoc-Roussillon une présentation assez détaillée de vos recherches sur le site de l’église paroissiale de Rennes-le-Château (Aude). Ce travail vous a permis de conclure à l’existence de cinq souterrains (un sixième probable). Vous abordez également la possibilité d’une cachette dans la tour Magdala qui renfermerait selon vous entre 15 et 20 parchemins dissimulés par l’abbé Saunière.

    Les recherches que vous avez entreprises jusqu’à maintenant sont uniquement fondées sur des analyses de textes dans le cadre d’un travail auquel vous vous consacrez depuis de très nombreuses années. Votre demande semble indiquer que vous souhaitez désormais vous engager dans une phase de travail sur le terrain afin de pouvoir confirmer vos premières hypothèses.

    Comme vous le savez très certainement, ce type de travaux relève des dispositions prévues par le législateur dans le Code du Patrimoine (Titre 1°, art. L. 510-1, relatif à la définition du patrimoine archéologique et Titre III, arts. L. 531 et suivants, relatifs aux fouilles archéologiques programmées et aux découvertes fortuites). C’est dans ce contexte réglementaire que doivent désormais s’inscrire vos recherches. Il va donc vous falloir constituer un dossier de demande d’opération archéologique qui sera soumis à l’examen de la Commission Inter-régionale de la Recherche Archéologique (CIRA). L’avis scientifique rendu par cette instance permettra l’instruction administrative de votre demande.

    Afin de constituer ce dossier un certain nombre de pièces est indispensable : L’autorisation écrite du (ou des) propriétaire(s) spécifiant la (ou les) parcelles(s) concernée(s) et précisant, dans la mesure du possible, le lieu de dépôt provisoire et la destination définitive du matériel archéologique qui sera découvert ; la situation précise du lieu où doivent être réaliser les recherches (extrait de la carte IGN au 1/25.000ème indiquant la localisation du site et du plan cadastral avec indication des zones de fouilles) ; le curriculum-vitae du responsable scientifique ; l’attestation de participation signée de chaque membre de l’équipe scientifique ; le projet scientifique de l’opération ; le descriptif des travaux envisagés ; la description des moyens matériel qui seront mis en œuvre ; et enfin, la photocopie du contrat d’assurance couvrant les risques encourus par le responsable de l’opération, les membres du personnel du chantier (salariés ou bénévoles) et les visiteurs de passage, à adresser au service régional de l’archéologie dès réception de l’autorisation et au plus tard une semaine avant le début de l’opération. Lorsque vous aurez réuni ces pièces, il conviendra de remplir le formulaire de demande. Vous trouverez ci-joints plusieurs modèles qui vous aideront dans la constitution du dossier.

    Lorsque vous aurez réuni ces pièces, il conviendra de remplir le formulaire de demande. Je sais que vous êtes en contact avec un de mes collaborateurs, Philippe Galant, auquel vous faites régulièrement part de l’avancement de votre démarche. Aussi, je lui ai demandé de vous aider dans l’élaboration de ce dossier en répondant aux questions que vous pourriez avoir au cours de sa constitution. C’est là une des missions de mon service à laquelle je suis très attaché.

    Ce type de travaux entrant dans le cadre de la recherche archéologique programmée, votre dossier complet doit être déposé auprès de mon service au plus tard au 30 novembre 2009 dans le cas où vous envisageriez la réalisation de vos travaux au cours de l’année 2010.

    Néanmoins et afin d’assurer une bonne gestion des opérations, je vous demanderais de me confirmer votre volonté d’engager ces travaux en 2010 par courrier afin que je puisse les inscrire dans la pré-programmation que j’établirai dès le mois de septembre 2009.

    En espérant avoir répondu à votre attente, je vous prie d’agréer, Monsieur, l’expression des mes sentiments les plus respectueux.

     

    Le Conservateur régional de l’archéologie : Henri MARCHESI

     


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  • Rennes-le-Château, " Le rapport FAGIOLI ", mai 2009. (Albert Fagioli)

    Voilà bientôt une année que Mr Fagioli a transmit son rapport intitulé " Les chemins de l'histoire ". Il avait transmit ce rapport à la DRAC de Montpellier, à la mairie de Rennes-le-Château, et au sous préfet de l'aude. Il a pensé qu'il était temps de rendre public ce rapport. Celui-ci a également était envoyé à madame la Ministre Christine Albanel et dernièrement au nouveau Ministre de la Culture, monsieur Frédéric Mitterrand.

    On peut dire aujourd'hui qu'il y a eut, comme étude sur l'église de Rennes-le-Château, " Le rapport Cholet ", puis " le rapport Saussez " et maintenant " Le rapport Fagioli ".

    ""Rennes-le-Château.""

    Les chemins de l’histoire.

     

    C’est en novembre 2008, sur mon blog que j’ai communiqué mes premiers comptes rendus de  recherches effectuées sur le site de Rennes-le-Château.

    Recherches qui avaient pour cadre, les possibles emplacements de deux cryptes et cinq départs de souterrains et les deux entrées de cryptes dans l’église placée sous le vocable de Marie-Madeleine (Volontairement, je ne précisais pas les possibles points terminaux)

    De ces recherches il en résulte que :

    -Trois départs de souterrains sont sur le même niveau de la grande crypte que je situe dans la nef, avec un accès direct par le cimetière qui jouxte l’église.
    -Les autres souterrains se situent à un niveau inférieur à la grande crypte.

     

    Voir croquis ou sont repères par A,B,C ,D ,E les cinq souterrains.

     

    Je tiens à préciser que ces données sont le fruit de recherches faites sur papier et archives à plus de 1000 kilomètres de Rennes-le-Château. Je n’avais aucune connaissance du lieu au préalable.

     

    Pour confirmer mes dires en début d’année 2009, je prenais contact avec la Mairie de Rennes-le-Château et sollicité l’autorisation d’une recherche plus poussée sur le terrain, a l’aide d’un  "Dowser"  matériel utilisé par les sourciers pour vérifier l’authenticité de mes révélations faites sur la toile.

    Je faisais part aux élus, de mon intention d’effectuer ces recherches sur le terrain en présence

    de témoins et le 5 mai profitant de quelques jours de congés je découvrais Rennes.

    Trois témoins oculaires , Messieurs André GALAUP , président de l’APARC (Association pour la Préservation de l’Ame de Rennes-le-Château) et Michel VALLET, auteur , éditeur et Philippe GOLOUBENKO, chargé de la Culture au sein de l‘équipe municipale, ont pu suivre mes travaux tout au long de la journée et attester des localisations de plusieurs départs et emplacements des cryptes dans l’église confortant mes dires.

     

    LES DIFFERENTS RELEVES :

    Faute de temps, aucun relevé précis au décamètre n’a pu être effectué par rapport aux murs de l’église, mais l’essentiel fut enregistré. Lors d’une prochaine visite, des relevés de points précis pourront être fournis à l’intention des Archéologues et Scientifiques qui voudront participer à des prochaines fouilles non destructives pour le moment. Ils pourront ainsi avoir des zones très précises à sonder avec leurs Radars de sol de type GPR. En espérant qu’ils puissent atteindre une certaine profondeur, qui leur sera communiqué plus tard.

    Les souterrains A, B, D sont au même niveau que la crypte. Les souterrains C et E sont à des niveaux inférieurs.

    -Le souterrain A s’arrête au niveau de l’ossuaire.

    -Le souterrain B prend la direction de l’arrière du château des Hautpoul. Je n’ai pas pu définir son point terminal car n’ayant pas eu l’accès aux jardins mitoyens au cimetière pour définir son tracé.

    -Le souterrain C prend la direction du sud du village, vers le jardin de Saunière. Idem que le précédent, je n’ai pas pu définir le point terminal, faute d’avoir accès aux propriétés se situant dans son passage.

    -Le souterrain D s’arrête sous la Villa Béthania.

    -Le souterrain E prend la direction du nord-ouest, en passant sous l’ancienne tombe de Saunière et se dirige en dehors de Rennes à plusieurs centaines de mètres de l’église. Ce souterrain fut recherché en dehors de Rennes en présence de monsieur Vallet. Monsieur Galaup n’étant pas présent à ce moment car il resta avec nous jusqu’en début d’après-midi. Je terminais donc ma prospection et visite du site avec monsieur Vallet.

    Il existe également un accès direct à cette crypte sur le côté gauche du clocher. Ce souterrain ne fait que quelques mètres.

    J’ai également localisé avec précision la petite crypte ou Tombeau des Seigneurs d’environ 3X3 mètres, qui se trouve près de l’autel. Par rapport à mon croquis fait sur mon blog, elle se trouve plus ou moins décalé d’environ 1 mètre par la gauche. Apparemment cette crypte à bien été confirmée par le rapport des archéologues américains et italiens (Le Professeur Robert Eisenman de l’université de Long-Beach et le Professeur Andréa Barattolo de l’université de Macerata), avec l’aide d’un Radar de sol, de type GPR, en 2001 et 2002, et en 2008 par Sir Richard Heygate (anglais).

    Ce compte rendu se trouve également dans le nouveau Musée de Rennes-Le-Château, sur la planche n°9. Trois campagnes de sondages eurent lieu dans l’église (avril 2001, mars 2002 et mai 2008.)

    A ce jour,  on ignorait la présence d’une seconde crypte dont je donne l’emplacement et d’où partent les souterrains.

    Lorsque Saunière parle de la découverte d’un tombeau, on pense : « Tombeau des Seigneurs près de l’autel », mais il pourrait bien s’agir d’un tombeau situé dans la grande crypte, dont l’accès devait se trouver soit sous la pierre tombale de la marquise d'Hautpoul ou à proximité. Cette crypte se trouve à un niveau plus bas que celle située près de l’autel.

    Nous devrions avoir un  un sixième souterrain dont l’entrée se trouverait dans le cimetière et  part en direction du village. Ce souterrain ne communique avec aucun des cinq cités précédemment. Il n’y a qu’une seule entrée et qui mène à une autre crypte, cave ou grotte.
    Cet accès était soit une tour ou un puit. Dans cette troisième crypte se trouve un dépôt monétaire…

    Le bilan de mon séjour a été très instructif pour les deux personnes présentes et moi-même, grâce à la confirmation de la présence de ces cinq souterrains, d’une entrée pour accéder à la grande crypte, des deux cryptes sous l’église, et la présence d’un sixième souterrain débouchant sur une troisième crypte.

    Un prochain dossier viendra compléter celui-ci avec des cotations par rapport aux constructions.

     

    En ce qui concerne un possible emplacement d’un coffret en bois caché par Saunière dans la Tour Magdala, contenant entre 15 et 20 parchemins. Il s’agit d’un travail en parallèle qui n’a rien à voir avec l’emplacement des souterrains. Voir sur mon blog les détails. Des appareils de types utilisés pour détecter des vides dans les pyramides seraient le bien venu pour trouver la bonne pierre de coin…Mais à mon avis il n’y en a qu’une.

    Rapport FAGIOLI sur l’église de Rennes-Le-Château, ses souterrains et ses cryptes.

    Albert Fagioli, né en 1963, à Metz, historien, auteur d’un « Essai Historique », " Le Testament du duc d’Enghien ou le secret du fabuleux trésor de Marthille ", aux Éditions Coprur à Strasbourg, en avril 2008.

    À effectué un travail de recherche concernant l’histoire du trésor de Marthille, en Lorraine, département 57. Ces recherches commencées en 1995, mon permis de « résoudre » cette énigme et de faire éditer mes travaux par la sortie d’un essai en avril 2008.

    Ce livre est en vente tant au Château de Chantilly, qu’au Château de Vincennes, ainsi que dans la ville d’Ettenheim en Allemagne (où vivait le duc d’Enghien).

    Blog : http://albert-fagioli.blogg.org ""

    Voici donc le rapport Fagioli.
    Mr Fagioli tient encore à remercier le personnel de la mairie et messieurs Galaup et Valllet.

     

    Voici également un passage de son livre concernant une des énigmes du testament du duc d'Enghien. (page 214)

    " Dans le château tu puiseras de l'eau pour tes chevaux, dont tu auras besoins par la suite.
    Prends'en plus qu'il ne te faut.
    N'oublie pas tes chariots.
    A 80 pieds tu prendras la direction du nord-est.
    Puis à l'aide d'une bougie tu feras les 90 pieds qui te mèneront à 4....r.
    Fait attentions aux gardiens.
    Sache que seul un initié pourra percer cette énigme sans perdre la vie."

    S'agit-il du Château de Rennes-le-Château ???

    Une énigme qui pourrait intéresser beaucoup de personnes !!! Comme les deux autres du testament du dernier des Condé...

    Pour Fagioli ce testament du duc d'Enghien pourrait être " Le testament le plus cher au monde " par ces révélations et ses trésors...

    A suive prochainement, les premières réponses de la DRAC et de la mairie de Rennes-le-Château. Et également de l'Etat français...

     


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  • Plan sommaire de l'église et propriété de l'Abbé Bérenger Saunière, curé de Rennes-le-Château de 1885 à 1917, l'or de Rennes, 1968. (Gérard de Sède)

    Mr Fagioli a retrouvé un plan sommaire de Rennes-le-Château qui est tiré du livre  "L'or de Rennes" de Gérard de Sède, de 1968, Editions René-Julliard.

    On peut voir sur ce plan le possible emplacement d'une ancienne église nommé "Saint-Pierre". Mr Fagioli vous demande de faire une superposition du croquis qu'il avait publié en novembre 2008 sur ce blog.

    http://albert-fagioli.blogg.org/themes-rennes_le_château___la_fin_d_un_mythe_-219837-offset-15.html 

    Vous pouvez remarquer que le souterrain C va en direction de l'église Saint-Pierre.

    Où va ce souterrain ?

    Où se trouve le point terminal de ce souterrain ?

    Vous verrez bientôt sur ce blog la copie du rapport intitulé "Les chemins de l'histoire", qu'il a envoyé en mai 2009, à la DRAC de Montpellier, à la mairie de Rennes-le-Château et au sous-préfet de Limoux.

    Dans celui-ci vous verrez qu'il n'a pas effectuer les recherches des points terminaux des souterrains B et C faute de temps et de moyen. (discrétion)

    Il indiquait même que le souterrain C et E se trouvait sur un niveau plus bas que la grande crypte de l'entrée de l'église.

    Souterrain E, car celui-ci sort de Rennes-le-Château.

    Souterrain C, car il prend la direction du sud et il y a une forte déclivité de terrain entre les deux églises.

    Si l'église Saint-Pierre est l'ancienne église de Rennes, il est tout à fait normal qu'il y ait eu un souterrain qui va de l'ancien château à l'église. Alors peut-être qu'il y a une petite crypte sous le choeur de l'ancienne église de Saint-Pierre. Si on continu le tracé du souterrain  C on peut voir qu'il arrive vers l'emplacement du choeur de l'église Saint-Pierre, encore une autre coïncidence.

    D'après ses recherches, dans le passé, Rennes-le-Château était une belle cité avec un château qui n'a rien à voir avec le château moderne des Hautpoul. L'ancien château se trouvait juste à l'emplacement du domaine de Saunière. Il y avait des tours et un Donjon, le domaine des seigneurs de ces lieux se trouvait bien le plus au nord de Rennes-le-Château (Le point le plus haut du domaine). De ce Donjon on pouvait accéder à une crypte et de celle-ci par l'intermédiaire de souterrains rejoindre plusieurs endroits du village et également sortir de celui-ci par un passage secret se trouvant dans l'ancien château.

    Le château avait certainement une chapelle Castrale et qui devait-être sûrement l'emplacement du choeur actuel de l'église Marie-Madeleine.

    Comme l'église de Manom en Moselle, dans le passé il n'y avait qu'une petite chapelle à l'emplacement de l'église actuel et elle se trouvait sur l'emplacement du choeur. Par la suite elle a été agrandie et élargie.

    L'ancien cimetière de Rennes-le-Château ne devait pas être à l'emplacement actuel. Il devait être :

    Soit dans la partie la plus basse où se trouve l'église Saint-Pierre.

    Soit en dehors du village.

    La partie haute du domaine était réservée aux seigneurs de Rennes.

    Chercher et imaginer la cité de Carcassonne en miniature et transporter là sur le domaine de Rennes... Avec quelques modifications...

    Transporter également les vestiges encore existant de Montségur à Rennes...

    Imaginer les remparts ou les doubles remparts qu'il devait y avoir.

    Pourquoi il existe des châteaux encore en bon état aujourd'hui et d'autres où l'on ne retrouve plus une pierre ?

    Saunière n'a-t-il pas voulu nous montrer comment Rennes-le-Château était au temps de sa splendeur, en construisant deux tours et ses remparts !!!

     

     


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