• Le Messin du lundi 21 novembre 1927. (Service Départemental de Moselle) (Luc Dufrene)


    Le Messin du lundi 21 novembre 1927. (Service Départemental de Moselle) (Luc Dufrene)

    " Les chercheurs d'or "

    " Le trésor de Marthille "

    " On cherche un trésor à Marthille ! L'histoire de Glozel s'effondrera comme un château de cartes et bientôt la France haletante tournera son regard vers la Lorraine. C'est tout un conte, c'est tout une légende qui subitement, qui brusquement, grâce à un petit bout de parchemin, se transforme en réalité. Réalité troublante, réalité passionnante, qui bouleverse bien des têtes !<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>Mais, somme toute, est-ce une réalité ? Nous nous garderons bien de répondre par l'affirmative ou par la négative...
    Qui vivra verra !

    Ce qui intéresse actuellement, c'est de savoir comment l'existence dudit trésor fut découverts. Voici les faits, brièvement résumés. En l'an de grâce 1925, à Metz un jeune homme allait déchirer un ancien livre pieux acheté par son grand-père dans un lot de vieux bouquins. Il vit soudain un parchemin s'échapper de la reliure. Il l'ouvrit. C'était un testament, écrit avec de l'encre et du sang à l'aide d'un petit bout de bois ;
    Un croquis était annexé.<o:p> </o:p>On put non sans difficultés donner une date à ce document : 17 avril 1820. Le parchemin fut du reste soumis à l'examen sérieux d'une personne compétente, laquelle n'hésita pas à lui reconnaître un bon siècle d'existence. Le possesseur de cette trouvaille peu ordinaire put en reconstituer le texte, car bien des lettres n'étaient plus déchiffrables..."
    <o:p>
    " Cette affaire sans grande importance se rattache au trésor de Marthille. Les terrassiers avaient été embauchés pour constituer les fouilles qui devaient mettre à jour les 400 kilos d'or et de diamants enfouis au château du comte de Savary..."<o:p> </o:p></o:p><o:p><o:p>
    </o:p>
    <o:p> </o:p></o:p><o:p>
    " Après avoir dépensé une bonne partie de leur avoir, ils durent abandonner leurs recherches ; un cafetier, puis un industriel, puis un ancien officier ministériel les remplacèrent bientôt.On fit venir monsieur Zaenguerlé, sourcier à Pagny-sur-Moselle, qui confirma les espoirs des chercheurs d'or. On chercha, on creusa, 11, 12, 13 mètres. Les fouilles devenaient dangereuses de par la pluie persistante. On abandonna les recherches, mais pas la foi en ce trésor caché. Les fouilles, dit-on, seront reprises au printemps.
    Eh bien ! qu'en dites-vous ?
    La Moselle a son petit Glozel nouveau genre !"
    <o:p> </o:p> </o:p>

     


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