• Les templiers en Lorraine, 25 août 2010. (Albert Fagioli)

    Voir la vidéo sur You Tube :

    http://www.youtube.com/user/indiana57640?feature=mhum#p/a/u/1/Ix8O-EwUtvA  


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  • La Semaine, " Les dernières trouvailles en Lorraine " , du 19 au 25 août 2010. (Gaston Schwinn)


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  • La Semaine, " Trésor de Marthille ", du 19 au 25 août 2010. (Gaston Schwinn)

    " Albert Fagioli cherche aussi des mécènes "

    " C'était il y a un mois : le 13 juillet un équipe de télévision est venue interviewer Albert Fagioli pour un sujet sur la chasse aux trésors, programmé sur une chaîne du service public en octobre/ novembre prochain. Reconnu aujourd'hui comme un éminent spécialiste de la chose, l'habitant de Charly-Oradour de 46 ans se dit simplement un amateur aussi éclairé que passionné, un amateur qui a aussi le "don ", ses aptitudes en radiesthésie lui permettant de "sentir" et de "découvrir" cryptes et souterrains oubliés par le temps.

    Intéressé depuis son plus jeune âge par l'Histoire et les énigmes liées aux trésors, c'est en 1995 que ce mécanicien (régleur sur offset) de profession s'implique totalement comme chercheur après avoir lu et relu tous les livres de références qui lui tombaient sous la main. Son intérêt s'attache d'abord au "trésor de Marthille", petite localité du Saulnois, proche de Morhange. Cité déjà en 717 dans la charte, ce fief de seigneurs a été incendié en 1325, dévasté lors de la guerre de trente ans. Il s'énorgueillit toujours de vestiges galo-romains, d'une chapelle du XV° siècle et, surtout, recèle en son sol un trésor, celui dit de " Savary ".

    Ni une, ni deux : Albert Fagioli dépoussière tout ce qui a été dit sur le sujet. En 2001 il prouve que le trésor n'est pas celui de Louis François comte de Savary mais du duc d'Enghien, Louis Antoine Henri de Bourbon (héritier des Condé), l'une des plus grandes fortunes de France. Exilé en Allemagne dans le pays de Bade, c'est en voulant récupérer une part de ses immenses biens- alors qu'il a été attaqué vers Destry, sur le chemin du retour de Paris vers Strasbourg - que l'illustre personnage aurait décidé de cacher quelques 400 kilos d'or et de joyaux (ainsi que sa médaille du Saint-Esprit, la Croix de Malte et la Croix de Saint-Louis) dans l'un des souterrains d'un château dévasté à Marthille.

    Si Albert Fagioli a fait de ses recherches et de ses certitudes un roman, " Le testament du duc d'Enghien", il lui reste à exhumer ce trésor qu'il a -" c'est sûr " dit-il-localisé. Il a déjà l'autorisation du propriétaire des lieux. Reste à trouver un mécène pour lui donner un coup de pouce financier et, surtout, à obtenir l'autorisation de la DRAC (Direction régionale des affaires culturelles) pour effectuer ces " fouilles archéologiques ". Du courrier a été échangé. Un dossier doit être monté qui sera soumis à la commission interrégionale qui se prononcera en février 2011. L'heure de gloire pour l'Indiana Jones Mosellan ?

    Corne d'abondance
    D'autres pistes focalisent l'intérêt du chercheur mosellan, et non des moindres. Dans l'Aude, à Rennes-le-Château (trésor dit de l'Abbé Saunière), Albert Fagioli a détecté sur le célébrissime site une nouvelle crypte. Là aussi un dossier est à monter, un partenaire financier à trouver et des autorisations à obtenir.
    En Lorraine, ce sont six sites qui sont étudiés actuellement de près par le chercheur dont les compétences ont été également été sollicitées sur le front de l'Histoire templière dans la région. A Pierrevillers, un village mosellan cité dans des ouvrages pour " son trésor ", " il pourrait y avoir quelque chose dans une crypte ou un caveau " localisé dans l'église templère, souligne Albert Fagioli qui aimerait pousser d'autres recherches à Langatte, un site templier (ou teutonique) alors inconnu, mis en lumière lorsqu'un trou circulaire, de 4 mètres de profondeur s'est formé dans un champ de blé en mars 2010. A partir de cette découverte, ont été détectés plusieurs souterrains reliés à une ferme (ancienne commanderie) et à un château/forteresse dont il reste plus que l'empreinte dévoilée par des vues aèriennes.

    En savoir plus :

    " Le testament du duc d'Enghien. Le secret du fabuleux trésor de Marthille ".

    Editions Coprur.

    Contacts : http://albert-fagioli.blogg.org

     


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  • La Semaine, " Trésors Lorrains en devenir ", du 19 au 25 août 2010. (Gaston Schwinn)

    " Trésors Lorrain en devenir "

    (Marthille petite localité du Saulnois, proche de Morhange)

    " Avouez-le ! Qui n’a pas rêvé un jour de découvrir un trésor, plus d’ailleurs pour l’excitation de la découverte que pour son aspect pécuniaire. Du rêve à la réalité il y a un monde où mystères, énigmes, recherches, autorisations, articles du code pénal sont autant d’étapes à franchir. Le Mosellan Albert Fagioli, chercheur amateur infatigable, fréquente avec passion de depuis une quinzaine d’années ces chemins historiques pavés d’or et de pierres précieuses, de Marthille, près de Morhange en Moselle, à Rennes-le-Château en Languedoc-Roussillon, en passant par d’autres sites Lorrains. Certaines cibles sont déjà atteintes et si les buts semblent proches, la dernière ligne droite avant le succès est la plus ardue. "

    Par Gaston Schwinn.

     


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    La Semaine, " Où sont les trésors Lorrains ? ", du 19 au 25 août 2010, n°282. (Directeur et Rédacteur en Chef, Jean-Pierre Jager)


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  • Le Midi Libre / L'Indépendant / Limoux, " Un chercheur a répéré des cryptes et des souterrains ", 18 août 2010. (B. C.)

    Voici le premier article de presse publié dans le sud de la France sur les recherches de Mr Fagioli concernant Rennes-le-Château.

    " Un chercheur a repéré des cryptes et des souterrains "

    " Albert Fagioli est un Mosellan passionné par le mystère de l’ancienne Rhedae. Il a travaillé sur des archives avant de confirmer ses découvertes sur le terrain. " 

    Voici un an, Albert Fagioli, un Mosellan passionné par le mystère de Rennes-le-Château, a transmis un rapport intitulé «  Les chemins de l’histoire ». Il l’a envoyé à la DRAC (Direction Régional des Affaires Culturelles), à Montpellier, ainsi qu’à la mairie de Rennes et au sous-préfet, à Limoux.

    Ce document est le résultat de recherches ayant pour  but de repérer l’éventuel emplacement de deux cryptes, de cinq entrées de souterrains et d’une autre menant à deux cryptes situées dans l’église Marie-Madeleine.

    «  Ces données sont le fruit de recherches faites dans des archives, à plus de 1000km de Rennes-le-Château ». Précise-t-il. «  Car  je n’avais aucune connaissance du lieu au préalable. »

    Au début de l’année 2009, souhaitant confirmer ses résultats, il a pris contact avec la mairie de Rennes. Il a demandé l’autorisation d’effectuer une recherche plus approfondie sur le terrain à l’aide d’un « dowser » (un engin utilisé par les sourciers) afin de vérifier l’authenticité de ses révélations.

    Travaux très suivis. Le 5 mai, il est donc venu à Rennes pour la première fois de sa vie. Trois témoins étaient présent : André Galaup, président de l’APARC (Association pour la préservation de l’âme de Rennes-le-Château) ; Michel Vallet, auteur-éditeur, et Philippe Goloubenko, chargé de la culture au sein de l’équipe municipale.

    « Tous ont suivi mes travaux pendant la journée et ils peuvent attester de la localisation de souterrains départs et emplacements des cryptes, dans l’église, qui viennent conforter mon rapport ».

    A ce jour, on ignorait la présence d’une seconde crypte dont il donne l’emplacement exact.

    « Lorsque Saunière parle de la découverte d’un tombeau, on pense « Tombeau des Seigneurs près de l’autel», mais il pourrait bien s’agir d’un tombeau situé dans la grande crypte, dont l’accès devait se trouver soit sous la pierre tombale de la marquise d’Hautpoul, ou à proximité. Cette crypte se trouve à un niveau plus bas que celle située près de l’autel ».

    B. C.

    « Un homme qui « possède un don »

    «  En plus d’utiliser ce dowser, M. Fagioli a visiblement un don qui lui fait sentir la présence d’objets ou en tout cas de pierre enfouies », estime André Galaup.  « Et à ma grande stupéfaction, il m’a dit des choses, concernant Rennes, que je connais personnellement et qui n’ont jamais été écrites nulle part. Je crois réellement qu’il a un don. C’est un homme qui mérite qu’on s’intéresse à lui. Quand au mystère de Rennes, il me semble pertinent qu’il faudrait engager un travail de synthèse sur tout ce qui a été écrit depuis maintenant des années ».

    Philippe Hui, l’adjoint au maire de Rennes, a rencontré Albert Fagioli : «  C’est un passionné, certes, mais les fouilles qu’il souhaite entreprendre doivent d’abord obtenir l’autorisation de la DRAC. Sinon on ne peut rien faire » D’autant plus qu’un arrêté municipal interdit que l’on creuse dans le village.

    Les excès commis dans le passé n’ont pas laissé de bons souvenirs du côté des édiles et des riverains…

     

     


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