• Il arrive que l'histoire devienne une passion débordante et qu'elle donne des ailes à de simples amateurs. C'est ce qui s'est produit pour Albert Fagioli, un mécanicien régleur sur machine offset de 44 ans que rien ne prédestinait à la recherche historique. Pourtant, aujourd'hui, il est incollable sur le fabuleux destin du duc d'Enghien. Il sait tout sur son enlèvement et sur les conditions lamentables dans lesquelles Napoléon fera enlever le descendant des prestigieux Condé. Avec constance et détermination, il a enquêté sur la fortune des Condé et sur les trésors perdus. Avec imagination et minutie, il a découvert la vérité sur l'étrange affaire de Marthille.

    Entre chasse au trésor et reconstitution historique, entre travaux de recherche et résolution de mystères, Albert Fagioli nous offre un livre passionné et passionnant. Fruit de plusieurs années de recherches, illustré et basé sur des documents d'époque, pour la plupart inédits, c'est un véritable voyage dans le passé qu'il nous offre, lui qui à découvert qui a écrit ce fameux testament et qui a su percer l'énigme des codes.

    Opiniâtre, ne lâchant pas là où d'autres se seraient résignés, il poursuit sa lutte sans relâche et progresse à petits pas dans son inlassable quête, apportant de nouvelles pièces inédites là où les historiens plus patentés avaient abandonné.


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  • Le Matin du samedi 10 décembre 1927. (Bibilothèque National de France) (Service Reproduction) (Gr. Fol. Lc2 4105)

    " Le Mystère (?) du Bois des Seigneurs. "

    " Un métapsychiste affirme l'existence du trésor de Marthille. "

    " Notre correspondant particulier.
    Nancy, 9 décembre- Par téléphone. Nous avons, ces jours-ci signalés les fouilles qu'ont entreprises quatre Mussipontains pour essayer de mettre à jours un trésor de 250 millions de notre monnaie actuelle et qui serait enfoui dans le Bois des Seigneurs, près de Marthille (Moselle ), où s'élevait jadis un château.


    À l'endroit approximatif qui était désigné sur le plan trouvé dans un vieux livre de prières, monsieur Adrien Fidel, notaire et ancien maire de Pont-À-Mousson, décida avec trois de ses concitoyens, messieurs Romier, Sansey et Véron de faire procéder à des fouilles. Des planchers d'une longueur de plus de 600 mètres et un puits de 14 mètres de profondeur ont déjà été creusés et ont permis de mettre à nu des murs d'enceinte et des fondations de l'ancien château.<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p><o:p> 

    </o:p>
    Ayant lu dans Le Matin les détails que nous avions donnés sur cette histoire romanesque, un métapsychiste de Paris, qui est en même temps un ingénieur chimiste, monsieur Félix Willey, fort connu aux Etats-Unis par ses travaux et président d'honneur de l'Institut Hypnotique Canadien est arrivé à Nancy pour se livrer à des expériences relatives au trésor de Marthille..."
    <o:p>

    </o:p>
    " Hier, monsieur Willey s'étant cette fois mis en état de clairvoyance obtint des souterrains et des ruines enfouis du château, un plan qui coïncide en tous points avec celui qui est entre les mains des prospecteurs. Les textes originaux de toutes ces révélations nous ont été confiés par monsieur Willey dans une enveloppe que nous avons scellés à la cire après y avoir inscrit la date. Monsieur Willey s'est rendu cet après-midi au Bois des Seigneurs à Marthille, les yeux bandés, tenant simplement à la main un pendule formé d'un cordonnet de coton tressé et d'une vieille médaille du 13° siècles. Il parcourut minutieusement le terrain avoisinant le puits de 14 mètres, au fond duquel les murs du château ont été découverts..."


    <o:p> </o:p>" Et il nous affirma qu'il était convaincu qu'en creusant à cet endroit précis le sol à une profondeur de 15,50 mètres on trouverait ces deux objets qui pourraient fort bien être les deux cassettes contenant les joyaux et les lingots du comte Savary. "
    <o:p> </o:p><o:p> </o:p><o:p> </o:p>

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  • Le Matin du lundi 28 novembre 1927. (Bibliothèque National de France) (Jean-François Chanal) (Gr. Fol. Lc2 4105)

    " Le Trésor de Marthille "

    " Les chercheurs ne perdent pas l'espoir de le découvrir "

    " Nancy, 27 novembre - télégramme. Matin. Les déclarations de monsieur Charles Sadoul, conservateur au musée historique Lorrain, que nous avons publiées, n'ont pas ébranlé la conviction de ceux qui cherchent le trésor de Marthille. Ils font observer en effet que, contrairement à ce que laissa croire une erreur d'impression, ce n'est pas de 1820, mais du 18 avril 1822 que le testament est daté..."<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p><o:p> 
    </o:p>
    <o:p> </o:p>
    " Les tours nord et sud ont été mises au jour. Elles sont séparées par un intervalle de six à huit mètres, où s'élevait, peut-être une porte à laquelle on accédait par une route en lacets qui s'appelle à Marthille " le Chemin des Seigneurs ". Sur le croquis adjoint au testament entre les tours, on remarque un dallage, avec une croix indiquant sans doute l'endroit précis où le comte Savary enfouit son trésor. Le sourcier Zaengerlé y fut amené, mais après ses exercices, on creusa en vain le sol."


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  • Le Matin du jeudi 24 novembre 1927. (Bibliothèque National de France) (Service Reproduction) (Gr. Fol. Lc2 4105)

    " Le Secret des ruines "

    " Le trésor caché dans le Château de Marthille a-t-il jamais existé ? "

    " Et le testament lui-même n'est-il pas seulement un mauvais plaisant de 1820 ... ou de 1927. "<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> 

    </o:p>
    " Nancy, 23 novembre - télégrammes. Matin. On fait grand bruit autour de fouilles entreprises pour essayer de mettre au jour un trésor, évalué à 250 millions de notre monnaie actuelle, et qui serait enfoui sous des ruines.Le testament, récemment retrouvé, d'un certain comte de Savary, intendant général aux armées sous Napoléon 1°, en date du 17 avril 1820, léguait à l'Evêque de Metz, une fortune considérable cachée dans les ruines du château de Marthille. Un croquis indiquait l'endroit où étaient caché des diamants, des sacs de pièce d'or et la couronne comtale que l'auteur du testament désignait voir attribuer au musée de Metz..."


    " Désirant savoir d'une façon précise si cette histoire romanesque reposait sur une base historique solide et sérieuse, nous sommes allés trouver un érudit « Lotharingiste », monsieur Charles Sadoul, conservateur au musée historique de Lorraine, à Nancy..."
    " Les historiens n'en signalent aucun. Quand à l'histoire du testament, elle me semble fantastique. Pourquoi cet énigmatique Savary aurait-il employé le parchemin qu'on se procurait moins facilement en 1820 que le simple papier ?


    Puis après avoir soumis à un sévère examen critique la personnalité même du testataire, monsieur Charles Sadoul conclut :En somme le procédé du prisonnier espagnol, daterait de 1820 à moins que le fameux testament ne soit l'oeuvre d'un mystificateur d'il y a un siècle ou bien d'aujourd'hui."

    <o:p> </o:p><o:p> </o:p>

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  • L'Immeuble du dimanche 22 janvier 1928. (Archives Départementales de Meurthe et Moselle) (Jérôme Leclerc)

    " Le trésor de Marthille "

    " Nous avons parlé, dans un récent numéro, des résultats scientifiques si troublants, obtenus par la baguette de l'ingénieur Jacquot, tant à Marthille qu'à Scarpone.
    Les recherches du savant investigateur ont continué. Elles ont amené des découvertes merveilleuses ; Nous avions parlé d'une épée qui se trouve enfouie dans les souterrains du château-fort de Marthille ; Cette épée, couchée, a la pointe dirigée (au dire de la baguette divinatrice) vers une dizaine de caisses en fer, qui renferment d'autres petites caisses, enveloppées de plomb.
    Dans l'une de ces caisses se trouve de l'or ; dans l'autre une couronne avec diverses pierres précieuses, reconnues par les couleurs. C'est pour le moins étrange et phénoménal..."
    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p><o:p> </o:p><o:p>


    </o:p>

    " Un prochain avenir nous le dira. C'est, en tout cas, plus palpitant que les pseudo-découvertes de Glozel."

     


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  • L'Immeuble du dimanche 8 janvier 1928. (Archives Départementales de Meurthe et Moselle) (Jérôme Leclerc)

    " Marthille et Scarpone "

    " Les fouilles dans les ruines. On a beaucoup parlé, ces temps derniers, des fouilles entreprises au sommet du bois de Marthille, dans le but de retrouver les ruines enfouies du vieux château-fort des sises de l'endroit, où serait caché un très important trésor en lingots d'or et d'argent. D'aucun en ont ri, d'autres les ont prises au sérieux. Nous ne prenons pas parti en la question, ni pour, ni contre les chercheurs de trésor. Mais nous avons vu cette semaine un excellent ingénieur-sorcier, monsieur Jacquot, qui nous a profondément troublé en nous montrant, d'une manière scientifique et méthodique, les merveilleux résultats à distance de sa baguette de sourcier, à la fois sur les plans de Marthille et de Scarpone, la grande cité gallo-romaine, à laquelle a succédé Dieulouard..."

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p><o:p>
    " Pour en revenir à Marthille et à Scarpone, monsieur l'ingénieur Jacquot a découvert, par sa baguette, tout le mur d'enceinte du château-fort de Marthille avec ses tours de défense ; il a retrouvé de même les tours d'angle du manoir féodal, un puits, un double rang de souterrains, une longue épée de fer forgé, un triangle de ferronnerie et des soupçons d'or..."<o:p> </o:p><o:p> </o:p><o:p> 


    </o:p>
    " Des fouilles méthodiques aux endroits ainsi indiqués sur le plan par la baguette miraculeuse qui opère ainsi rue de Metz, à Nancy, remettraient à jour certainement une quantité d'objets d'art. Plus authentiques et plus précieux que ceux tant discutés de Glozel." </o:p>

     


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  • Le Messin du dimanche 11 décembre 1927. (Service Départemental de Moselle) (Luc Dufrene)

    " La découverte du trésor de Marthille "

    " Par le professeur Félix Willey. "<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>" Le Messin a annoncé hier qu'un spirite monsieur Willey avait découvert le trésor de Marthille.
    Voici ce qu'écrit à ce sujet notre confrère " Le Matin " sous les auspices de qui l'expérience a été faite :
    <o:p> 
    </o:p>
    Ayant lu dans Le Matin les détails que nous avions donnés sur cette histoire romanesque, un métapsychiste de Paris, qui est en même temps un ingénieur chimiste, monsieur Félix Willey, fort connu aux Etats-Unis par ses travaux et président d'honneur de l'Institut Hypnotique Canadien, est arrivé à Nancy pour se livrer à des expériences relatives au trésor de Marthille.<o:p> </o:p><o:p> </o:p><o:p> 
    </o:p>
    De plus, l'auteur du testament et de l'enfouissement du trésor serait un homme riche originaire de la Touraine venu cacher son bien à Marthille. Or un érudit lotharingiste, monsieur Charles Sadoul, conservateur au musée historique Lorrain à Nancy, nous a confirmé qu'il y avait bien eu en Touraine une famille Savary. Vendredi monsieur Willey s'étant cette fois mis en état de clairvoyance obtint des souterrains et des ruines enfouis du château de Marthille, un plan qui coïncide en tous points avec celui qui est entre les mains des prospecteurs. Les textes originaux de toutes ces révélations nous ont été confiés par monsieur Willey dans une enveloppe que nous avons scellé à la cire après y avoir inscrit la date..."
    <o:p> </o:p><o:p> </o:p>
    " Et il nous affirma qu'il était convaincu qu'en creusant à cet endroit précis le sol à une profondeur de 15,50 mètres, on trouverait ces deux objets qui pourraient fort bien être les deux cassettes contenants les joyaux et les lingots du comte Savary."

     


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  • Le Messin du vendredi 9 décembre 1927. (Service Départemental de Moselle) (Luc Dufrene)

    " Le trésor de Marthille vient d'être trouvé par un spirite "

    " Un célèbre métapsychiste, le professeur Willey, s'est rendu hier, vers 2 heures de l'après-midi, sur l'emplacement des ruines du château de Marthille. Contrairement à la façon de chercher des sourciers, il opère avec une médaille du 13° siècles et par le moyen des sciences occultes (Somnambulisme, spiritisme, lucidité, etc.) en se bandant les yeux. Il a indiqué, après ses expériences, un endroit où, selon lui, gisent deux masses métalliques superposées à des profondeurs différentes (12,50 m et 15 m).<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> 
    </o:p>
    Cet emplacement est à 5 mètres des premières fouilles.<o:p> </o:p>Cette confirmation a rendu espoir aux chercheurs, qui sont décidés plus que jamais à reprendre les travaux.


    Mais un tiens vaut mieux que deux tu l'auras, l'un est sûr, l'autre ne l'est pas."

     


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  • Le Messin du dimanche 27 novembre 1927. (Service Départemental de Moselle) (Luc Dufrene)

    " Le château de Marthille "

     Les lecteurs du Messin sont au courant des recherches qui ont été faites ces derniers temps par quelques habitants de Meurthe-et-Moselle, qui pensaient trouver un trésor sous les fondations de l'ancien château de Marthille. Ces fouilles sont restées sans résultat. La grande presse Parisienne s'est encore emparée de cette affaire. Des doutes ont finalement été émis à propos de l'existence du château de Marthille. Voici un nouvel élément historique dans cette controverse que nous communique monsieur Maujean, le sympathique secrétaire de l'académie de Metz."<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> 

    </o:p>
    Dans un article de l'Est-Républicain du 23 novembre, monsieur Sadoul prétend qu'il n'a jamais existé à Marthille ni château-fort, ni prieuré, les historiens n'en ayant jamais signalé, et Dom Calmet et Durrival n'ayant même pas mentionné le nom du village.C'est une erreur.<o:p> </o:p>Dom Calmet dit, dans sa notice, à l'article Morhange, que d'après une ancienne tradition du pays, Louis-le-Debonnaire avait à Destry deux maisons royales, l'une contiguë au village, l'autre éloignée d'un quart de lieue et située sur une montagne couverte de bois, d'où la vue s'étend fort loin. On y remarque encore, ajoute-t-il, des tas de pierres et des fossés. Or, il n'existe aux environs de Destry qu'un seul endroit qui soit conforme à cette description : C'est le Bois des Seigneurs, ou, comme on l'appelle plus communément, le Haut-Bois.C'est dans l' un de ces châteaux que fut établie en 845 la donation, par Louis-le-Debonnaire, en faveur de l'abbaye de Saint-Arnould : " In palatio nostro apud Destracham "..."

    <o:p>
    </o:p>
    " En 1820, les ruines étaient, a peu de chose près, dans le même état qu'aujourd'hui ; elles l'étaient déjà, d'ailleurs, du temps de Dom Calmet, et il n'y subsistait ni souterrain, ni tour, ni réduit. Si un comte Savary a cru devoir y cacher sa fortune, ce n'est certainement pas pour la protection qu'elles lui offraient. Tout au plus lui auront-elles servi de point de repère. Les chances de succès des chercheurs semblent toutefois bien précaires."

    Léon Maujean.


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  • Le Messin du lundi 21 novembre 1927. (Service Départemental de Moselle) (Luc Dufrene)

    " Les chercheurs d'or "

    " Le trésor de Marthille "

    " On cherche un trésor à Marthille ! L'histoire de Glozel s'effondrera comme un château de cartes et bientôt la France haletante tournera son regard vers la Lorraine. C'est tout un conte, c'est tout une légende qui subitement, qui brusquement, grâce à un petit bout de parchemin, se transforme en réalité. Réalité troublante, réalité passionnante, qui bouleverse bien des têtes !<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>Mais, somme toute, est-ce une réalité ? Nous nous garderons bien de répondre par l'affirmative ou par la négative...
    Qui vivra verra !

    Ce qui intéresse actuellement, c'est de savoir comment l'existence dudit trésor fut découverts. Voici les faits, brièvement résumés. En l'an de grâce 1925, à Metz un jeune homme allait déchirer un ancien livre pieux acheté par son grand-père dans un lot de vieux bouquins. Il vit soudain un parchemin s'échapper de la reliure. Il l'ouvrit. C'était un testament, écrit avec de l'encre et du sang à l'aide d'un petit bout de bois ;
    Un croquis était annexé.<o:p> </o:p>On put non sans difficultés donner une date à ce document : 17 avril 1820. Le parchemin fut du reste soumis à l'examen sérieux d'une personne compétente, laquelle n'hésita pas à lui reconnaître un bon siècle d'existence. Le possesseur de cette trouvaille peu ordinaire put en reconstituer le texte, car bien des lettres n'étaient plus déchiffrables..."
    <o:p>
    " Cette affaire sans grande importance se rattache au trésor de Marthille. Les terrassiers avaient été embauchés pour constituer les fouilles qui devaient mettre à jour les 400 kilos d'or et de diamants enfouis au château du comte de Savary..."<o:p> </o:p></o:p><o:p><o:p>
    </o:p>
    <o:p> </o:p></o:p><o:p>
    " Après avoir dépensé une bonne partie de leur avoir, ils durent abandonner leurs recherches ; un cafetier, puis un industriel, puis un ancien officier ministériel les remplacèrent bientôt.On fit venir monsieur Zaenguerlé, sourcier à Pagny-sur-Moselle, qui confirma les espoirs des chercheurs d'or. On chercha, on creusa, 11, 12, 13 mètres. Les fouilles devenaient dangereuses de par la pluie persistante. On abandonna les recherches, mais pas la foi en ce trésor caché. Les fouilles, dit-on, seront reprises au printemps.
    Eh bien ! qu'en dites-vous ?
    La Moselle a son petit Glozel nouveau genre !"
    <o:p> </o:p> </o:p>

     


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